Quartier

souvenir de la guerre d’algerie. Par la suite, l’histoire de Merine commence, Il commence a braquer différents commercants, Puis des bijouteries et des banques. Il sera condamné plusieurs fois, Mais sera connu pour ses incroyables evasions ( des quartiers de hautes securité par exemple ) . Il passera le reste de sa vie, a exercer sa criminalité, Braquer banques et bijouteries, fuir et se cacher entre différent pays. Il se fera tué en 1979 a 42 ans . Toute sa vie et son opposition permanente a la

déplacer. | - Aider une personne en difficulté à s'habiller et se déshabiller. | - Parler un maximum avec les usagers car ils en ont réellement besoin. | Présentation d'une personne. | Monsieur R. a 56 ans, habite dans le quartier de la Bastide, dans un appartement au premier étage, vit avec sa compagne, il est hémiplégique côté droit, actuellement en pleine rééducation il commence à retrouver l'usage de sa jambe mais ne peut vraiment plus utiliser son bras droit. Monsieur

toute au long du récit. 1) Un texte narratif : un conte Dès la première page, c’est un cadre réaliste et qui se rapproche du conte. -imparfait ( impossible de datée. -La mention « icelui » est un pronom démonstratif médiéval. -La mention des quartiers de noblesse rappelle l’époque avant la Révolution. -première pers. Présenté Candide, le baron, la baronne, Cunégonde, le fils du baron et Pangloss. Le passage consacré à Candide sont développés ainsi que ceux de Pangloss. -Les femmes sont des

plusieurs personnages qu'on peut qualifier de schématisés car il reflète bien chaque milieu social présent à l'époque. Le frère de Cunégonde incarne l'orgueil des nobles en refusant à Candide de le marier à sa sœur jugeant qu'il n'a pas assez de quartier de noblesse : « Je ne souffrirai jamais, une telle bassesse de sa part et une telle insolence de la vôtre ; Cette infamie ne me sera jamais reprochée : les enfants de ma sœur ne pourraient entrer dans les chapitres d'Allemagne. Non jamais ma sœur

l'asphyxie devint si gênante pour la ville qu'il fallut créer un marché moderne, géant, adapté aux contraintes d'une ville qui avait doublé de volume en quelques décennies. En 1969, on créa donc l'immense marché de Rungis et on entreprit la démolition du quartier des Halles de Baltard. Deux pavillons furent sauvés et réinstallés l'un à Nogent-sur-Marne (France) et un autre transporté à Yokohama au Japon. A la place fut construit en souterrain sur 7 hectares: une grande gare du métro et du RER, des voies routières

leur niveau génèrent des inégalités : la Triade abandonne à leur sort des régions vastes comme des continents, les métropoles laissent de côté les espaces à l’entour mal desservis et comme oubliés, les CBD jouxtent des banlieues à problèmes ou des quartiers défavorisés .Cette proximité entre espaces de commandement, créateurs de richesses et espaces oubliés ne fait-elle pas naître d’autres aspirations, d’autres visages possibles de la mondialisation ?

Effectivement, la physiologie des rues, des habitats, et de ses habitants dont avec précision mis en évidence. Dans chacune des descriptions il y a l'explication de la rue, avec son nom, comment elle est, ce qui l'entoure... Pour le 2ème texte on a le quartier des Halles de Paris, dans le 3ème, ce sont quelques rues de Marseille. Les auteurs utilisent très souvent une succession de termes afin d'accentuer le caractère descriptif, et afin de créer une dynamique, un mouvement. «...masques de faiblesses,

Foucart et la rue Désiré Desmet. Elle prolonge la rue de l'Agriculture. La numérotation des habitations va de 1 à 77 pour le côté impair, et de 2 à 26 pour le côté pair. La rue Godefroid Guffens longe le parc Albert Ier. La crèche se trouve dans un quartier résidentiel. Les types d'habitations sont des buildings modernes, des grandes maisons. Cette rue porte le nom d'un peintre belge, Godefroid Guffens, né à Hasselt le 22 juillet 1823 et décédé à Schaerbeek le 11 juillet 1901. La dénomination de la

cent mille licences de psychologie enfantine. Et ça ne marche pas. Les enfants s’ennuient, le dimanche et les autres jours. Alors je me demande si tous ces spécialistes n’auraient pas intérêt à se demander pourquoi, nous, nous étions heureux dans ce quartier de Paris. Un Paris gris, avec les lumières des boutiques, les toits hauts et les bandes du ciel par-dessus, les rubans des trottoirs encombrés de poubelles à escalader, de porches pour s’y cacher et de sonnettes, il y avait de tout, des concierges

groupe d'hommes d'affaires malhonnêtes, en quête d'argent et de pétrole, à une clocharde, une comtesse excentrique, Aurélie, qui a deux amies : Constance et Gabrielle. Soutenue par Irma la plongeuse et ses amis, elle va mobiliser les petites gens du quartier de Chaillot pour déjouer les plans criminels des hommes d'affaires. Le second acte se passe dans un sous-sol de la rue de Chaillot, et qui comprend une trappe. C'est le procès des exploiteurs de l'humanité qui sont condamnés à disparaître, alors