Quartiers de noblesse

empêcha. La famille, cependant, n'appartenait pas à la noblesse : C. Octavius, le père, était un homo novus, originaire de Velletri (Vellitrae), vieux municipe étruscisé du Latium. La branche paternelle d'Auguste, jusqu'à son grand-père inclus, se contenta du rang équestre et des honneurs municipaux ; son grand-père exerça même la banque. L'origine d'Octave n'est donc pas particulièrement relevée, et lui-même n'entrera dans la très haute noblesse, celle des Livii, des Claudii, que par alliance. Cependant

Extrait : V. Hugo raconte un épisode qu’il a vécu suite au coup d’état de Napoléon III. Dans le désordre d’une insurrection républicaine qui a été réprimée, un enfant est mort. Bouleversé par cette scène, V. Hugo décrit sa toilette funèbre, dans un quartier populaire. Remarques : V. Hugo écrivit Les Châtiments depuis l’île de Jersey, lieu où il avait une plus grande liberté d’expression. Son recueil visait à dénoncer le régime politique de Napoléon III qu’il méprise fortement et qu’il considère comme

la satire se porte sur la société du XVIIIème. Voltaire, fils d’un bourgeois, a toujours été méprisé dans son propre pays par la noblesse, situation différente en Angleterre où il s’est exilé. Il tourne alors les préjugés de la noblesse en dérision : le baron est désigné par ses possessions, le supposé père de Candide « n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers » et Candide ne peut épouser Cunégonde parce qu’il n’est pas noble. Plus loin, Voltaire s’attaque aux intellectuels et leur faux

grandissant, elle règne sur les galopins du quartier ; elle quitte la maison au cours du roman, a des amants et se fait entretenir. * Goujet : voisin de Gervaise et Coupeau ; il vit avec sa mère ; il est forgeron, d'une force impressionnante ; sobre et économe, il est secrètement amoureux de Gervaise ; avec sa mère, il prête à Gervaise la somme nécessaire pour ouvrir la blanchisserie ; elle ne parviendra jamais à les rembourser ; Goujet travaille avec noblesse, soigne son travail ; c'est le type même

« digne » , « admirablement » . Superlatif renforçant aspect «élogieux , « un des plus puissants » , « meilleur » , « le plus beau » , « la meilleur » : hyperbolique . Exagération déplacée , harmonie , équilibre familial . La famille appartient à la noblesse . Ce texte empreinte au conte traditionel certains aspects par la suite parodiés . a)Éléments problématiques -Vestphalie , plus dans un lieu réel (province allemande) Détail réaliste qui rompt avec l'univers traditionnel du conte de fées

matérielle et la valeur vénale du patrimoine, mais aussi dans les domaines scolaires, culturels, sociaux, dans la valeur symbolique de tous ces biens, matériels ou immatériels. La multidimensionnalité des patrimoines des grandes dynasties familiales de la noblesse et de la bourgeoisie constitue une base objective pour l’affirmation du groupe. Autrement dit la richesse dans ses différentes formes permet à la bourgeoisie d’être une classe en soi. Dans une enquête, réalisée auprès de familles fortunées, de Paris

épreuve externe, le filet change de forme et change les relations entre les mailles du filet. Nous n’avons pas forcément choisi d’être en lien les uns les autres. La relation est 1ère, cette relation de dépendance. Il va montrer comment quelques quartiers riches en Angleterre vont se fermer. Cette logique d’exclusion est vouée à l’échec car on ne peut faire sans l’autre. Dès lors que l’on est né sur un territoire de proximité, on ne peut vivre sans l’autre sous peine de le tuer. Même l’emprisonner

Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était fils de la sœur de monsieur le baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. ___Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une

officiellement entérinée qu’en 1874. Elle vécut au Poinçonnet de 1850 à 1861. Enfant du peuple devenue reine de Paris, courtisane qui mourut comtesse, la vie d’Elisabeth-Céleste Vénard (1824-1909), surnommée « La Mogador », ne manque pas de piquant. Du quartier du Temple où elle naquit à la lointaine Australie où elle résida en passant par le Poinçonnet où elle fit bâtir une demeure, Céleste Vénard emprunta bien des chemins avec toujours une grande soif de reconnaissance sociale. Tour à tour fille publique

et politique. Une œuvre de propositions : 1) Valeur de la raison : Les différentes cibles de la satire voltairienne suggèrent un combat en faveur de l’usage renforcé de la raison : Ex 1 : L’obsession de la noblesse et de ses « quartiers » aboutit à refuser la possibilité de l’amour (la mère de Candide, chap 1) Ex 2 : La superstition mène à un renforcement des malheurs (Chap 6 : l’autodafé) 2) Valeur de la fraternité : L’anabaptiste qui aide