Quatre libertés

oxymore mettant en évidence la souffrance de la population, d'autant plus cruelle qu'elle ne peut s'exprimer à cause de la terreur répendue par les nazis. La strophe 3 est également un rappel de la réalité terrible de l'Occupation : l'absence de liberté ("les barreaux des prisons"), la terreur et la chasse aux Juifs "("la haine à nos trousses"), la faim qui meurtrit chaque jour la population, l'absence de rêves ect... Le texte dénonce cette situation grâce à un vocabulaire hyperbolique : "misère"

trois hexasyllabes puis d'un tétrasyllabe, ce qui donne un effet de répétition, de cercle vicieux comme pourrait ressentir le poète dans la prison entre ces quatre murs. En outre, l'extérieur, provoque un sentiment de liberté et de vie chez le poète. A partir de la troisième strophe le poète commence à l'évoquer. Il utilise deux symboles de liberté « oiseau » et « brise » personnifiés par une double apostrophe: « oiseau qui fends l'espace...Et toi, brise qui passe ». On peut supposer que les points

présence de la mort. Un thème apparaît d'emblée à la lecture de ce poème : le thème de la fuite. Le personnage central, l'évadé, fuit ses "assassins" qui "là haut entre quatre murs", le retenaient prisonnier, le privaient de ce qu'il y a de plus cher au monde : sa liberté. Il échappe à l'enfer de la prison, évoqué par ses "quatre murs", sombre, triste, sans vie. S'il a voulu fuir, c'est pour quitter ce lieu clos et sans âme de la prison, mais aussi et surtout pour retrouver la nature, les joies intenses

"Désert" de J. M. G. Le Clezio - analyse du texte C'était comme s'il n'y avait pas de noms, ici, comme s'il n'y avait pas de paroles. Le désert lavait tout dans son vent, effaçait tout. Les hommes avaient la liberté de l'espace dans leur regard, leur peau était pareille au métal. La lumière du soleil éclatait partout. Le sable ocre, jaune, gris, blanc, le sable léger glissait, montrait le vent. Il couvrait toutes les traces, tous les os. Il repoussait la lumière, il chassait l'eau, la vie, loin

« La liberté peut-elle être un fardeau ? » Il est important de voir que ce sujet, dont l’intitulé se trouve présenté sous la forme d’une question, comporte quatre dimensions, qui sont les suivantes : 1) le thème du questionnement est la liberté ; 2) la seconde notion en jeu est celle de « fardeau », mot signifiant un poids ou quelque chose de lourd à porter. En son sens figuré, son usage est péjoratif ! « quel fardeau ! », dit-on de quelque chose de difficilement supportable. On comprend dès

premier temps, on va analyser la situation actuelle dans les médias, la possibilité et les conséquences de l’interdiction totale de la violence. Ensuite, on va aborder un autre point de vue extrême, le tout-permis de la télévision par respect de la liberté des médias. Au final, on va proposer une solution de l’encadrement de la diffusion à la télévision : l’établissement du contrôle partiel de la programmation et l’éducation des enfants aux médias à laquelle doivent attribuer l’école et les parents

Pareille prise de conscience est rare, personnelle et incommunicable. Elle peut surgir de la « nausée » qu'inspire le caractère machinal de l'existence sans but : « Il arrive que les décors s'écroulent. Lever, tramway, quatre heures de bureau ou d'usine, repas, tramway, quatre heures de travail, repas, sommeil et lundi mardi mercredi jeudi vendredi et samedi sur le même rythme, cette route se suit aisément la plupart du temps. Un jour seulement, le « pourquoi » s'élève et tout commence dans cette

trace les destinées. Voltaire développe ici une thèse selon laquelle c'est la Providence qui décide des destinées et que il n'y a pas de hasard, cependant, il n'est pas entièrement d'accord avec celui qui a ecrit ça a cause du point de vue de la liberté. On comprend aussi que grâce à l'épisode avec l'ange , que la sagesse de Zadig à finit par être récompensée, et que touts les malheurs n'étaient pas là par hasard, cependant, Jesrad n'éclaire pas totalement Zadig puisque dès que Zadig commence

Ainsi il fait face et défie la Liberté, donc les lois comme la Loi de la pesanteur. Mais se qui différencie surtout l'Homme et l'animal, c'est que l'animal est dans l'incapacité de n'être qu'à quatre pattes, il ne peut pas se lever, «L'animal ne peut de lui-même...», c'est à dire qu'il n'en a pas les facultés, et donc cela insinue que l'Homme a une capacité que l'animal n'a pas, entre autre la conscience pour Hegel. Car l'Homme débute sa vie en se déplaçant à quatre pattes comme un animal et c'est

vie…………………………………………………………p.4 I-a) Le sentiment de l’absurde…………………………………………………p.4 I-b) Définition de l’absurde……………………………………………………..p.4 II- L’absurde en lui même………………………………………………………p.5 II- a) Le défi………………………………………………………………………p.5 II-b) La liberté……………………………………………………………………p..5 II-c) La passion…………………………………………………………………..p.5-6 Conclusion………………………………………………………………………..p.7 Sources……………………………………………………………………………p.8 Albert Camus écrivain français est né le 7 novembre 1913 en Algérie. C’est