Que Peut Une Preuve Contre Un Préjugé

de la conscience. 1. La conscience sur le plan psychique. C’est la perception plus ou moins claire par le sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. Cette conscience peut être spontanée : Elle désigne alors l’impression première, éprouvée par le sujet de ses propres états psychiques. La conscience peut être réfléchie : C’est le retour volontaire du sujet sur la première impression. L’expression « conscience de soi » désigne le sentiment de sa propre identité. Kant fait remarquer que

eux même leur propre servitude en instituant par exemple des rapports de dominations mutuel où le maître crée une dépendance, une aliénation de sa propre liberté par rapport à ses esclaves. Par conséquent, ce sont les erreurs, les illusions, les préjugés les plus courants, qui sont facteurs de servitude. Ce n’est pas sans nous faire penser la fameuse allégorie de la caverne : les hommes sont d’autant plus serviles qu’ils nourrissent des confusions quant à la nature de leurs libertés. Notamment une

politique et morale, les camps opposé à eux et une opinion personnelle. Il faut souligner que la tolérance a une connotation bien différente pour certains. En fait, la tolérance représente l'habileté que peut avoir une personne à accepter les choses et les situations qui sont soit contre ses convictions personnelles ou celles de la société. Alors on ne tolère pas nécessairement parce qu'on le veut, la tolérance nous est parfois imposée. Pour d'autres, la tolérance est plus politique et est mise

Introduction Par définition la croyance c'est avant tout l'attitude de l'esprit qui affirme quelque chose sans pouvoir en donner une preuve (synonyme d'opinion). Mais, en conséquence mais dans un champ plus spécifique c'est l'adhésion de l'esprit à des vérités qui ne sont pas connues par la raison (synonyme de foi). En ce sens la croyance semble s'opposer radicalement à la raison, entendue comme faculté de calculer, de raisonner,c'est-à-dire de combiner des concepts et des jugements, de déduire

imprégné de sa culture, puisqu’il est élevé à l’intérieur de celle-ci, pour regarder ce qui l’entoure. Ainsi, on peut comparer la culture à des lunettes qu’il porte, il voit à travers elles. Mais peut-il les retirer pour les observer ? Peut-il prendre du recul par rapport à ce qu’il voit sans et ce qu’il voit avec ? N’est-il pas aveuglé par la lumière et sa nouvelle vision du monde ? Peut-il juger, c'est-à-dire relier un fait à une valeur ou une idée à une autre, sa propre culture ? Pour juger une

philosophique. Ils s’interrogent sur le destin de l’Homme, dénoncent les préjugés et se donnent pour mission d’éclairer les esprits aveuglés par les croyances trompeuses, d’où leur nom de « philosophes des Lumières ». Les penseurs de l’époque ont un esprit très critique, tels que Voltaire, Diderot et Rousseau ; ils revendiquent un état d’esprit, une démarche scientifique et des raisonnements logiques. Ils veulent combattre les préjugés et rétablir la vérité sans censure. Les Lumières militent à travers

Manifestation incontestable de l’intelligence humaine puisqu’il nécessite un recul par rapport aux choses et aux personnes. Il peut donc nécessiter une certaine culture voir une subtilité. Tout est il risible ? A fortiori non. En principe, la mort ne prête pas à rire mais dans les faits oui. On ne peut pas pleurer de tout même si il existe des larmes d’émotion et de joie en revanche on peut rire de tout. Dans la série télévisée Six feet under, on raconte la vie d’une entreprise de pompes funèbres. La vie

Abbeville (petite cité de Picardie), le crucifix de bois posé sur le pont neuf est mutilé par des inconnus. L’enquête est menée par Duval, lieutenant de police d’Abbeville. N’hésitant pas à fournir de fausses accusations et de faux témoignages ! Sans preuves le chevalier de La Barre (son ennemi) est accusé. Après s’être enfuit le 28 février 1766, le Chevalier de La Barre est condamné à :

Dans le Deutéronome on peut lire : « tu ne feras pas fléchir la justice et tu n'auras pas égard aux personnes ; tu n'accepteras pas de présents car les présents aveuglent les yeux du sage et compromettent la cause des justes ». On peut voir que l’idée d’impartialité apparaît dès à l’époque de la Bible hébraïque. Cette idée est reprise au XXième siècle par la Convention européenne des droits de l’Homme et des libertés fondamentales à l’article 6 paragraphe 1, au coté de l’indépendance, en tant que

témoigne le ton conversationnel empli d’humour qu’il emploie dans son « essai ». Le choix de ce genre ne semble d’ailleurs pas fortuit puisqu’il échappe à nombre de règles. Et quand on sait que le sujet de ce texte est justement une thèse contre le dogme des règles, on ne peut que s’interroger sur ce choix. En outre, au-delà de cet humour saillant, la présence manifeste d’une argumentation rigoureuse nous rappelle que nous sommes bien en présence d’une thèse qui même si elle se moque des conventions, maîtrise