Que Puis Je Dire Mien

je t'aime Jamais je ne t'oublierai ! […] Une chanson traditionnelle YEAR 5 La rentrée Je voulais dans mon cartable Emporter mes châteaux de sable Mon cerf-volant, des coquillages Et le portique de la plage Maman m'a dit C'n'est pas permis Et puis tout ça Ca n'rentre pas Alors j'ai pris un beau stylo Pour le goûter quelques gâteaux Et que des choses raisonnables Plus trois petits grains de sable Pierre Ruaud Comptine J'avais une vache elle est au salon j'avais une rose elle est en chemise

 La Parure est une nouvelle réaliste écrite par Guy de Maupassant, parue en 1884. L'histoire se déroule à Paris, au XIXème siècle. La Parure est parue pour la première fois dans le quotidien Le Gaulois le 17 février 1884, puis reprise dans le recueil Contes du jour et de la nuit en 1885. Les personnages principaux sont : Mathilde Loisel et son mari, de prénom inconnu. Résumé : Mathilde Loisel est une parisienne au foyer qui rêve d'une vie de faste, de richesses et d'élégance. Elle est l'épouse

« J'ai le gout des remords , j'ai le parfum des regrets , essayer encore c'est mieux que de dire je m'en vais , notre amour n'est pas mort .. J'ai beau essayer de t'oublier , J'ai beau essayer de t'effacer .. Je peine a t'oublier » T'arrive a la maison, Tu montes dans ta chambre tête baissé, Bouche fermée, Tu fermes bien toutes les portes, Tu fermes ton volet (&) tu descends ton store, Tu t'appuie contre un mur tu te laisse glisser jusqu'à terre, Tu penses, Tu regrettes, tu pleure, tu veux

les mange. Ça fait mal au ventre. Je dors à côté de maman. Il n’y a plus de petits pois. Il y a un truc dans le congélateur. Ça pue. Je le lèche et ma langue colle dessus. Je le mange. Ce n’est pas bon. Je bois de l’eau. Je joue avec mes voitures, puis je dors à côté de maman. Maman est froide, et elle ne veut pas se réveiller. La porte s’ouvre tout d’un coup. Je couvre maman avec mon doudou. Il est là. Putain. Qu’est-ce qui s’est passé ici, bordel de merde ? Sale pute. Merde. Putain. Fous le

comprise et ne la comprendra jamais ? Mais franchement ? Alors voilà ? C'est tout se qu'on avait à ce dire ? Quelques injures et c'est tout, fin ? J’veux dire, merde quoi ! 0n à quoi, 15, 16,17 ans et on est là à parler de la vie comme si on en connaissant tout. Comme si on avait vécu assez longtemps pour se permettre de juger du bonheur ou du malheur des autres. Mais on sait rien, on ne peut pas dire qu’on va mettre fin à nos jours sous prétexte qu’on traverse une période difficile. On sait rien de

de bonté. Son succès ne m’a point fait de honte sur le théâtre, et j’ose dire que la représentation de cette pièce capricieuse ne vous a point déplu, puisque vous m’avez commandé de vous en adresser l’épître quand elle irait sous la presse. Je suis au désespoir de vous la présenter en si mauvais état, qu’elle en est méconnaissable : la quantité de fautes que l’imprimeur a ajoutées aux miennes la déguise, ou pour mieux dire, la change entièrement. C’est l’effet de mon absence de Paris, d’où mes affaires

s’agit d’un récit à la première personne. La présence insistante d’indices personnels de 1° personne marque la volonté de l’énonciateur de se donner une place dans la scène : les pronoms personnels «je » (3 fois) et « moi » ; l’adjectif possessif « le mien ». b)un narrateur qui s’identifie clairement à l’auteur : La précision « j’allais à la Chambre » suggère d’identifier le narrateur avec l’auteur lui-même : une note nous indique en effet qu’Hugo était membre de la Chambre des Pairs. Cette analyse

Dans  un  premier   temps,  nous  allons  étudier  la  mise  en  scène  de”  l’apparition”,  puis  nous  verrons que le poète nous présente cette apparition sous forme d’un tableau.    (​ le décor)  le  poète  est  originaire  de la région  d’ Anjou, on retrouve ici des références à sa terre natale à  laquelle  il  est  très  attaché  :  vers  8  “les  prés”,  vers  10  “verte  rive”,  vers  11  “fleuve  mien”  qui  évoque  la Loire, finalement vers 14 “l’angevin”.  Ce poème reflète une expérience personnelle 

exempt de dire des fadaises : le malheur est, de les dire curieusement : Næ iste magno conatu magnas nugas dixerit. Cela ne me touche pas ; les miennes m'eschappent aussi nonchallamment qu'elles le valent : D'où bien leur prend : Je les quitterois soudain, à peu de coust qu'il y eust : Et ne les achette, ny ne les vends, que ce qu'elles poisent : Je parle au papier, comme je parle au premier que je rencontre : Qu'il soit vray, voicy dequoy. A qui ne doit estre la perfidie detestable, puis que Tybere

personne d’autre, je me suis dis qu’il fallait que j’aille de l’avant, donc j’ai songer a t’avouer l’amour que je portais pour toi mais.. sans succes . Il était encore trop tot.. je detestait te voir avec un autre , j’était jaloux. J’était contre de te le dire de peur que tu ne me prenne pour un imbecile.. Mais au fond sa m’énerver plus qu’autre chose. Quelque temps passerent et je repris le contrôle des choses. Tu revenais sur mes genoux on s’asseillait dans un banc seul et tout jusqu’au moment ou cette