Quel Lien Le Théatre Entretient Il Avec Le Reel

réalité, cette pièce relève plus de la tragi-comédie et elle pose la question fondamentale du théâtre : le théâtre est il illusion ? Acte I scène 1 Cette scène est une scène d’exposition : deux personnages sont présents : Primadant, qui a perdu son fils, et Dorante, qui connaît le magicien. Un personnage est absent : il s’agit d’Alcandre, le magicien que Primadant s’apprete à rencontrer. On passe du réel à l’illusion et on est mis au courant de la quête du père. Une scène d’exposition

1885 à Paris, Victor Hugo est un écrivain, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé qui aura marqué le XIXe siècle. Chef de file du romantisme, il révolutionne la poésie avec l’avènement de la poésie romantique, mais également le théâtre avec le drame romantique. Parmi ses œuvres les plus célèbres on peut citer le roman Notre-Dame de Paris, les pièces Hernani ou Ruy Blas ainsi que le recueil Les contemplations, publié en 1856 par le poète alors exilé. C’est du livre I de ce recueil

Mais son récit n’est pas répétition d’une tradition. Sa narration est création, un récit qui tisse un nouveau lien avec le présent, notamment la situation dangereuse où elle se trouve, face à un roi dépressif et violent.. Ses récits loin de chercher à éloigner le roi de ses malheurs, l’amènent au contraire à en reprendre l’histoire pour les transformer. C’est un véritable travail sur le réel que l’oralité réalise par cette cure de la parole. La narration est distanciation. En narrant au roi insomniaque

I-Lien entre le choix de l’ouvrage et les objectifs de formation Notre idée de départ était de trouver un ouvrage qui parlait de la médiation, de la relation à trois avec un outil qui fait le lien entre le professionnel et l’usager. Ne trouvant pas de livre correspondant à nos attentes, nous avons dû préciser notre thème : l’art comme outil thérapeutique et pédagogique. Le choix a été limité par la diversité des ouvrages présents au centre de ressources documentaires. Ce livre nous a paru accessible

d'Érato, muse antique de la poésie lyrique et érotique représentée couronnée de roses et de myrtes, et portant une lyre à la main. L'adjectif «lyrique» apparaît en premier au XVe siècle en relation avec la poésie grecque antique et garde longtemps un lien avec la musique qui existe encore dans l'expression «art lyrique». Attaché cependant à une forme plus mineure de la poésie dès le XVIe, le mot va, en opposition à la poésie épique ou la poésie dramatique qui incluait la tragédie comme la , définir

débuts de ce genre littéraire, assimilé pendant longtemps à une littérature de femmes oisives (→ connotation péjorative). -Le roman a connu une grande évolution. Au 17eme et 18eme, il est toujours considéré comme un genre mineur, loin derrière le théâtre et la poésie. C'est au 19eme siècle que le roman va obtenir ses lettres de noblesse (→ siècle phare du roman avec le romantisme puis le réalisme.) -Les caractéristiques du roman lui sont spécifiques : narrateur, personnages, données spatio-temporelles

semé d’obstacles ou de conflits qui vont le modifier , voire le transformer. Le personnage du début n’est plus le même que celui de la fin. Depuis le XVIIe siècle jusqu’au XXe , le héros romanesque a connu une évolution , tout comme le héros dans le théâtre. Il a perdu de la valeur , et de nos jours , le roman moderne se passe volontiers de héros. De La Princesse de Clèves ( 1678 ) à la Jalousie ( 1957 ) en passant par Le Rouge et le Noir (1830) , Madame Bovary (1857 ) , l’Ecume des jours (1947) et

Faut-il toujours préférer la vérité à l'illusion ? Dans sa piécette Boubouroche (1893), Georges Courteline met en scène le trio classique du théâtre comique : Boubouroche, sa maitresse Adèle et le jeune amant de celle-ci. Le voisin de palier prévient Boubouroche des infidélités quotidiennes d'Adèle, mais celui-ci ne veut rien entendre : Adèle partage, en fait, son appartement avec son jeune amant, qui se cache dans le placard à chaque visite de Boubouroche. Pris d'une terrible colère, Boubouroche

poètes qui composaient des poèmes déclamés avec accompagnement de lyre »2. Ce sens s'applique techniquement à la poésie gréco-latine de l'Antiquité (Théocrite - Pindare - Anacréon – Virgile - Horace - Catulle...) avec des genres comme l'élégie. Ce lien avec la musique caractérisera aussi l'expression des trouvères et troubadours du Moyen Âge et de leurs successeurs qui chantent les thèmes de la reverdie et de la fine amor dans les chansons de toile, les aubes, les pastourelles, les lais, les rondeaux

trdauit par Jacques Schérer) · Marie-Claude Hubert, Les Grandes théories du théâtre , Collection U, Armand Colin, 2008 · Florence Naugrette, L’Esthétique théâtrale , Cursus, Lettres, Armand Colin, 2010 · Jean-Jacques Roubine, Introduction aux grandes théories du théâtre , Lettres Sup., Armand Colin, 2009 Introduction : La réflexion grecque sur l'esthétique