Quelles Sont Les Différentes étapes Historiques Du Rapport éducation Répression

accompagner une personne dans les actes essentiels de la vie quotidienne en tenant compte de ses besoins et de son degré d’autonomie. Thème : la santé publique : politique de santé – prévention – risques sanitaires – système de santé français. I / HISTORIQUE ET EVOLUTION DU CONCEPT DE SANTE PUBLIQUE (quelques repères). « Il y a 2500 ans Hippocrate a inventé l’épidémiologie et défini le champ de la santé publique en établissant un lien de causalité entre l’environnement et la maladie. Au Moyen Age la

: « …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le 19ème siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : Jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au chapeau, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident que

fari qui signifie « parler ». Pour les Romains, l’enfant est celui qui ne parle pas. Ce qui suppose de nombreuses évolutions, car on dit aujourd’hui qu’un enfant parle ou qu’un enfant apprend à parler. Le statut de l’enfant est donc une question historique, géographique, culturelle et juridique. Afin d’approcher de manière globale la question du statut de l’enfant, je commencerai par évoquer son histoire, son évolution dans le monde, puis je parlerai de la fonction de l’éducation pour l’enfant. Enfin

: « …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le 19ème siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : Jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au chapeau, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident que

: « …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le XIXe siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au sous-titre, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident

rentrer directement dans le sujet du poème, sans même l’avoir lu, car il ne fait que reprendre le nom qu’on donné les journaux a cette histoire qui l’a ému et dont il veut nous faire réagir. Grâce aux différents paratextes donnés par l’auteur ou l’éditeur on se place dans un contexte historique qui nous éclaire dans l’intention qu’avait l’auteur quand il a écrit ce poème. 1.2) PARATEXTES DOCUMENT 2 Cet article de journal est structuré de manière à ce qu’avant de lire le texte nous sachions

« …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le XIXe siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au sous-titre, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident

« …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le XIXe siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au chapeau, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident

: « …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le XIXe siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au chapeau, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident que

« …comme si l’on pouvait éduquer un délinquant en l’enfermant… Depuis le XIXe siècle, toutes les politiques d’enfermement ont échoué… ». Le titre de l’article, dans ce contexte, vient juste rappeler la problématique : jeunes délinquants entre éducation et punition. Quant au sous-titre, Le fantôme des maisons de redressement, il montre clairement que Bourquin redoute la position répressive des deux ministres en question, le mot fantôme n’évoquant pas de joyeux souvenirs. Remarque : il est évident