Quels Sont Les Principaux Caractères Du Fascisme Italien

H. LES FASCISMES C'est la troisième ligne de force de l'entre-deux-guerres, avec la crise de la démocratie classique et le rayonnement du communisme soviétique. Au départ, le mot fascisme vient de l'italien FASCIO ou Fasci italiani di combattimento, associations composées essentiellement d'anciens combattants et de bourgeois nationalistes qui s'emparent du pouvoir en 1922 sous la conduite de Mussolini. Le nom s'étend de l'organisation au régime : le fascisme italien durera d'octobre 1922 (marche

communisme d'un côté, les « fascismes » de l'autre) ; celle du régime économique (le libéralisme), par le recours au dirigisme et à l'interventionnisme étatique. Le début des années 1920 inaugure en effet, en Europe, une crise des idéologies politiques traditionnelles. Partout, la démocratie recule alors que les dictatures progressent et se lancent dans une politique extérieure expansionniste. C'est pourquoi on a parlé pour désigner cette période d'une « époque du fascisme » (Ernst Nolte), d'une

entre 70 et 80, pouvait accueillir environ soixante-treize mille personnes. Les spectacles les plus appréciés étaient les combats de gladiateurs et les combats d’animaux. - D’autres lieux publics réservés aux divertissements présentent également un caractère monumental : le cirque Maxime, utilisé pour les courses de char ; les Thermes (ceux construits par l’empereur Caracalla à partir de 212 ou ceux de l’empereur Dioclétien construits entre 298 et 306) comprenaient bains, gymnases, stade, bibliothèque

Gramsci publiées ou simplement écrites de 1914 à 1926, soit avant son arrestation, le 8 novembre 1926. Ce titre, il va sans dire, ne prétend nullement opposer ces textes aux Cahiers de prison ni préjuger du contenu de ces derniers. Désignant le caractère plus immédiat du discours politique déployé dans ces textes, il a le mérite tout banal de la commodité. Celle anthologie de Gramsci aurait dû porter, à l'origine, sur la totalité de l'œuvre. Pour des motifs que l'on exposera le moment venu,

de + en + populaires. J. Staline est issu d'un milieu modeste et devient un militant communiste très jeune. Il est de + en + important au sein du parti. B. Mussolini (père forgeron, mère institutrice) entre au PSI (Parti Socialiste Italien) en 1900 dont il dirige le Journal (L'Avanti). Il est blessé pdt la 1ère GM puis rompt avec le PSI et fonde son journal, « Il Popolo d'Italia ». Il organise les « Fasci » (Groupe nationaliste) et fonde au début des années 1920 le PNF (Parti National

Les Etats totalitaires (fascisme, nazisme,stalinisme). Période 1919-1939. Le module se divise en 5 parties: 1.Définition des mouvements totalitaires. 2.Traits communs du fascisme et du nazisme. 3.Différences. 4.Une approche chronologique de la prise de pouvoir des deux dictateurs. 5.Le stalinisme. 6.La marche à la guerre. 1. -Le fascisme tire son origine du mot ''fasci''. Celui-ci fait allusion aux symboles du pouvoir dans la République romaine de l'Antiquité. Ils sont constitués de

invention à Giovanni Amendola3,4, opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de pensée et de lutte politique. Son emploi se répandit dans les milieux antifascistes italiens. Ainsi Carlo Sforza (libéral républicain), Gaetano Salvemini (gauche anticommuniste) et surtout Luigi Sturzo (démocrate-chrétien) furent dans l'Entre-deux-guerres des utilisateurs du concept de totalitarisme. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte

société coopérative appartenant aux quotidiens italiens. Fondée à Rome le 13 janvier 1945 sur l’initiative des quotidiens qui étaient publiés dès que fût rétablie la liberté de la presse dans les régions de l’Italie déjà libérées, l’ANSA entame son activité le 15 du même mois. Précédemment, il y avait en Italie l’Agence ‘’Stefani’’. Une Agence Privée, fondée en 1853 et qui, durant le fascisme était passé à la totale dépendance du régime. A la chute du fascisme, l’Agence Stefani s’effondra avec lui et

que la profonde crise du système économique dominant n’aboutisse à une situation convergeant avec celle de la fin des années 20 (crise de 1929). Ces mêmes avis voient leur thèse étayée par la forte montée de ce qui est aujourd’hui appelé à tort le fascisme européen, lequel mouvement politique serait plus justement défini par un nationalisme extrême. Cette montée se traduit concrètement- c’est à dire de façon élective- en Europe de l’Est ou encore en Italie, et se manifeste indifféremment par des groupuscules

qui lui vaut d’être bien implanté dans les régions traditionnellement royalistes (l’Ouest et le Sud,) mais aussi en Algérie et en Rhône-Alpes, régions assez antisémites. Mais l’essor de ce mouvement connaitra plusieurs coups d’arrêt. Notamment le principal lorsqu’en 1926, le Vatican condamne le mouvement pour statolâtrie (idolâtrie de l’Etat) et pour rationalisme. Charles Maurras qui se dit athée et qui trouve le catholicisme insupportable considère cependant l’Eglise comme un point d’appui naturel