Quentin Tarantino

intéressante et très singulière. Amitié, amour, haine, revanche et trahison sont au diapason dans une partition polyphonique très inspirée. Les références au cinéma sont nombreuses : du Scarface[pic] de Brian De Palma[pic] à Pulp Fiction[pic] de Quentin Tarantino[pic] (pour la violence sourde et le coup de feu intempestif notamment). Dans une certaine mesure, l'élève surpasse les maîtres auxquels on peut ajouter Martin Scorsese[pic] de Gangs of New York[pic] dont le thème générique est proche de celui

de six longs chapitres racontés par quatre narrateurs différents (quatre «je»). Il s’agit donc d’une sorte de «roman choral» au sens des films choraux (comme Nashville de Robert Altman, l’Auberge espagnole de Cédric Klapisch, Pulp Fiction de Quentin Tarantino ou 21 Grams d’Alejandro Gonzalez Inarritu), dans la mesure où il y a plusieurs personnages importants dont les destins semblent s’entrecroiser. En ce sens, l’histoire d’amour d’Éliane et Pin-Pon en cache quelques autres. L’intrigue et les personnages

unfortunately gets him ran over and has him lose a shoe. The directing from Gabriele Muccino resembles that of Quentin Tarantino, the film is cut up in six parts with Will Smith narrating as Chris Gardner at the start of each part. This creates a book-like effect that can be found in movies such as the two Kill Bill movies, as well as Inglorious Basterds, all of which are Tarantino movies. In terms of the scenery, Muccino has tried to contrast as much as possible the busy city life of San Francisco

font preuves d’inventivité et créent des films de tout genre. Ayant réussi leur reconversion après la crise de 1960, les studios hollywoodiens ne cessent d’imposer leurs productions. C’est à cette époque que se révèlent de jeunes prodiges comme Quentin Tarantino qui réalise « Reservoir Dogs » et qui enchaîne avec « Pulp Fiction » , deux films ayant rencontrés un succès impressionnant. En1998 paraît à l’écran le film « Titanic », le succès est phénoménal, à travers le monde entier le film fait salle

fait sur la rédemption ». Il ne faut pas oublier non plus son acteur principale Harvey Keitel dans se film qui a sûrement été l’un des meilleurs de sa carrière, attendu que la carrière de l’acteur soit au point mort à l’heure actuel même si Quentin Tarantino l’a relancé avec Reservoir Dogs ou encore Pulp Fiction. Attendu que les plus grandes forces du film sont résumé ici, il faut aussi noter que le tournage n’aura duré que dix-huit jours, ce qui pour un film de cette envergure est un exploit.

kind. Quentin Tarantino, the Mister exploitation of the American cinema, decides to pay tribute to the Blaxploitation with his movie Jackie Brown ( 1997 ). He can so pay tribute in it, one of the figures of this kind: Pam Grier. Pam Grier plays the first role movie, an air hotess who meets police and weapon‘s thief. The title and the poster of the movie are a tribute to Blaxploitation and specially to Coffy Brown. The BO of the movie uses the classic pieces of the blaxploitation. Tarantino, unintentionally

surconsommation. Quoiqu’il en soit, sans mâcher ses mots, Oliver Stone nous dirige sans concession vers l’une des critiques les plus virulentes que le cinéma ait jamais osé retranscrire sur grand écran. Lointainement adapté d’un scénario de Quentin Tarantino (ce dernier reniera en bloc les choix scénaristiques et visuels d’Oliver Stone et les deux hommes resteront très longtemps fâchés à cause de ce film), Tueurs-Nés est l’odyssée sanglante d’un couple sanguinaire se retrouvant du jour au lendemain

enfants (celui qui oriente la mère de Cole vers une assistante sociale). La personne qui incarne ce psychiatre n'est autre que le réalisateur et scénariste de ce film, Manoj Night Shyamalan, qui aime, à la manière d'Alfred Hitchcock ou même de Quentin Tarantino, faire des caméos (apparitions en forme de clin d'œil) dans certains de ses films. Le sixième sens est caractérisé par une finale, ce qui fait toute l'originalité du film. Shyamalan reprendra par la suite ce procédé. Peux-tu répondre à ces

est que l'auteur est inconnu. « Nous ne savons réellement pas qui il est », explique Marie Misandeau, éditrice chez Sonatine. Ce qui n'empêche pas les internautes d'émettre des hypothèses sur l'écrivain. Certains, par exemple, penseraient à Quentin Tarantino du fait du caractère « badass » du livre1. L'auteur tient à rester dans l’ombre, même s'il dispose d’une page Facebook au nom de Bourbon Kid. Pour son éditrice française : « A priori c’est plutôt un inconnu, mais le fait qu’il tienne absolument

négatif est la longueur du film. Je l’ai trouvé particulièrement long et peut-être même un peu trop. En conclusion, le fond et la forme font de ce film un chef-d’œuvre absolu. Même le grand réalisateur du fameux film Pulp Fiction, Quentin Tarantino estime que The Good, the Bad and the Ugly est « le film le mieux dirigé de tous les temps »1. Abordant plusieurs thèmes et sujets intéressants, ce film est recommandé pour tous les genres.