Querelle des Bouffons

composé de quatre discours (la France en deuil, le Peuple, le Chevalier et le Clergé) appelant à la paix, et de la Belle Dame sans mercy (1424), un débat composé de cent strophes en octosyllabes qui pointe une faille de l'amour courtois et déchaîne une querelle (la dame, image d'une féminité nouvelle qui n'accepte pas forcément avec gratitude le désir masculin, rejette un amour qui, non réciproque, ne saurait faire peser sur elle aucune contrainte). |    II- L'INVENTION DE LA POÉSIE 15- Christine de

libertinage de Dom Juan ne se réduit sans doute pas à cela, mais il s’inscrit très clairement dans ce mouvement. b. Sganarelle prend la défense de la religion. Indiquez quelle conception de la religion semble être la sienne et montrez en quoi son plaidoyer bouffon porte indirectement un coup à ce qu’il prétend défendre. Sganarelle défend la religion. Il croit en un Dieu tout puissant duquel l’homme dépend en tout et face auquel il doit faire preuve d’humilité et de respect. Ainsi, il est impossible pour lui

religions , de la morale . Il est fier et orgueilleux , il impose son autorité à tous y compris la morale et la religion . Il vit au jour le jour et profite de chaque moment sans se soucier de l’avenir . En 1665, Molière n'en a pas fini avec la querelle du Tartuffe et cherche encore sa revanche contre les dévots qui l'ont censuré. Mais pourtant, on ne peut pas dire que la naissance de Don Juan est seulement une réponse hostile aux ennemis de son auteur. En effet, en donnant comme dernier mot à Sganarelle

bro- Samson. – C'est vrai ; et voilà pourquoi les femmes étant les vases les plus faibles, sont toujours adossées au mur ; aussi, quand j'aurai affaire aux Montagues, je repousserai les hommes du mur et j'y adosserai les femmes. Grégoire. – La querelle ne regarde que nos maîtres et nous, leurs hommes. Samson. – N'importe ! je veux agir en tyran. Quand je me serai battu avec les hommes, je serai cruel avec les femmes. Il n'y aura plus de vierges ! Grégoire. – Tu feras donc sauter toutes leurs têtes

pendant toute sa vie. Les exécutions capitales auxquelles il assistera en Espagne vont influencer son combat contre la peine de mort. Un dernier personnage qui revient dans l’oeuvre à venir : un condisciple du collège : Elespuru (devient l’un des bouffons de la Cour). Ce séjour espagnol sera assez court, mais important. Le cabinet de lecture de Royol : 
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 Au retour à Paris, Sophie Hugo se retrouve seule avec ses trois enfants. Elle les élève avec un certain laxisme et les envoie chercher

douleur plus forte, Succombe à la douleur, mi-vivante, mi-morte ; Elle voit les mutins, tout déchirés, sanglants, Qui, ainsi que du cœur, des mains se vont cherchant. 25 Quand, pressant à son sein d'une amour maternelle Celui qui a le droit et la juste querelle, Elle veut le sauver, l'autre, qui n'est pas las, Viole en poursuivant, l'asile de ses bras. Adonc se perd le lait, le suc de sa poitrine ; 30 Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : " Vous avez, félons, ensanglanté Le sein qui vous

cour - compromissions et chemins peu intègres : hypocrisie et ingratitude du courtisan, théâtre de la cour : l' impossible stabilité du courtisan, étrangeté de la cour ; inversion de la logique des relations ; ironie du moraliste face à ce monde bouffon et loufoque. Jeux de cour et prison dorée du courtisan- esclave. Suite des relations du milieu de cour, de ses mirages, de son caractère étrange de tribu sauvage. Risques et périls de la parole et des conversations de cour. Politesse de cour. Traité

du 19e car le 18e parait bien mieux. Pensée d’un Christianisme qui serait une unité. Les « pointus » de tous les ultras. Le sentiment fondamental est le grotesque, le genre la comédie. Le choc des contraires entre le Grotesque/sublime ; terrible/bouffon ; tragédie/comédie= Drame (genre) Mais pourquoi ? Car correspond à la notion même du christianisme. Toute la critique est faite au nom du réalisme : c’est une innovation. C’est une idée totalement différente de l’épistémè Classique. Hugo parle au

beaucoup voyagé. Lui aussi est plein d'humanité, il a beaucoup de contact physique avec Médée, même s'ils ne se connaissent pas, ils se touchent, se rapprochent et se caressent sans gêne. A l'inverse, dans l'opéra chinois, Egée nous fait penser à un bouffon, il rigole et a l'air beaucoup moins désespéré que le précédent. Son maquillage est très travaillé avec du blanc, du bleu, du vert, du rouge... il porte une grande coiffe, c'est un roi donc rien de plus normal. Elle est très colorée aussi tout comme

au mur. SAMSON. - C'est vrai ; et voilà pourquoi les femmes étant les vases les plus faibles, sont toujours adossées au mur ; aussi, quand j'aurai affaire aux Montagues, je repousserai les hommes du mur et j'y adosserai les femmes. GRÉGOIRE. - La querelle ne regarde que nos maîtres et nous, leurs hommes. SAMSON. - N'importe ! je veux agir en tyran. Quand je me serai battu avec les hommes, je serai cruel avec les femmes. Il n'y aura plus de vierges ! GRÉGOIRE. - Tu feras donc sauter toutes leurs têtes