Querelle Des Investitures

Santander, a déclaré aux journalistes après la réunion que la province souhaitait voir le nouveau président colombien élu Juan Manuel Santos prendre des mesures pour réduire l'impact économique de la crise diplomatique entre les deux pays, après son investiture le 7 août."Une fois que le nouveau président sera entré en fonctions, nous lui demanderons de déclarer l'état d'urgence économique et sociale pour cette région frontalière et de prendre des mesures appropriées", a affirmé M. Cristo.Depuis le "gel"

les Dictatus Papaé (les sentences du pape) : repose le principe de la primauté du pouvoir pontifical face au pouvoir royal : réaction à la montée en puissance du Roi = Thèse de la Plénitude de la Puissance, idée d’un empire théocratique Querelle des investitures : oppose l’empereur du SERG et le Pape. Question de la nomination : qui nomme l’autre ? L’empereur décide de faire déposer le pape en en nommant un 2ème, Grégoire 7 répond en excommuniant l’empereur, l’empereur s’excuse, partisans du Pape

les années 80. Années 80 Mouvement libéral, retour au nationalisme pour un régime stable (car il faut une identité collective forte). Partisan de l’homogénéité culturelle. Réhabilitation du passé national. Ex = Stürmer qui s’oppose à Habermas. Querelle entre les deux. Habermas défend l’idée d’une identité post-national, il se base que l’après guerre favorise la dissociation entre identité culturelle allemande l’idée à l’Etat nation et l’identité politique. Réaction au passé nazi et à la RFA (ouverture

religieux se mit à décliner peu à peu, jusqu’à se réduire à rien. Il reste que le monastère, à travers la remarquable personnalité de certains de ses abbés, avait marqué son temps jusque dans le déroulement des affaires politiques. Lors de la querelle des Investitures(7), c’est l’abbé Hugues, présent à Canossa, qui sut fléchir le pape Grégoire VII, ancien clunisien, et l’amener à accorder son pardon au souverain pénitent, dont il était le parrain. Le rayonnement de Cluny s’était étendu plus loin encore :

catégories de droit. • Novelles. Nouvelles lois promulguées après justinien. Section 3 = le legs politique I/ La naissance du droit public Pendant très longtemps la Grèce est une mosaïque en plusieurs îles et très souvent ces îles se querelles les unes des autres. Néanmoins les grecs ont le sentiment de former une unité que l’on peut qualifier de culturel et qui tient essentiellement a la langue. C’est ainsi que ceux qui parlent grec appartiennent à une civilisation différente des autres

révision. Il y a une gradation entre les deux constituants. Le dérivé est censé être subordonné à l'originaire. La différence c'est que l'originaire n'est pas un pouvoir de droit juridique c'est une capacité, une puissance. Le dérivé, c'est une investiture, un droit. → Distinction que l'on doit à KARL SCHMITT CHAPITRE 1 : LE POUVOIR CONSTITUANT ORIGINAIRE Hypothèse : le pouvoir constituant originaire est un pouvoir « délinquant » : infraction légitime Vérification de cette hypothèse

spirituel et l’Eglise réagit d’une façon très vive au 11ème avec le Pape Grégoire 7 qui affirme qu’il a un pouvoir universel supérieur au pouvoir des souverains, et retire à l’empereur Romano-Germanique la nomination des évêques. Au 11ème, la querelle des investitures se termine par une victoire temporaire du pape sur l’Empereur. Du coup, il n’a pas vu la montée en puissance d’une réalité politique nouvelle dans le reste de l’Europe qui va être à l’origine de l’Etat moderne. En France, le pape va même

(l’évêque de Rome) a excommunié l’évêque de Constantinople. Cette excommunication est partie d'une querelle théologique. C'est la querelle du « filio que », c'est le moment où le père et le fils reçoivent la même gloire. Pour les orthodoxe, cette équivalence entre le père et le fils est refusée, il y a pour eux toujours une hiérarchie. Et à l'inverse l’évêque de Rome affirme une parfaite égalité. Cette querelle était un simple prétexte pour pratiquer la rupture avec l'Orient. Ceci a débouché sur une nouvelle

C’est le critère essentiel du régime parlementaire. Le gouvernement ne peut agir qu’avec la confiance et le soutien de la majorité parlementaire. Ainsi, le gouvernement sollicite la confiance parlementaire au moment de son entrée en fonction = investiture (article 49 alinéa 1 de la constitution). Le gouvernement peut à l’initiative du 1er ministre mettre en jeu sa responsabilité politique pour obtenir le vote d’un texte de loi auquel il tient particulièrement (article 49 de la constitution). Par

pas un chef de parti, mais il ne peut pas non plus resté indifférent au sort de la France, il est à la fois arbitre et responsable. Il ne peut rester un spectateur muet. Comme arbitre, je m'expliquerai avec modération hors des polémiques et des querelles de personnes. Comme responsable, je vais vous parler du bon choix". Mitterrand adopte une conception beaucoup plus gaulliste : il a affirmé dès le début qu'il "exercera dans leur plénitude les pouvoirs que lui confère la Constitution". Il parle