Querelle des rites

que on souligne le lien entre les hommes reliés par la religion. ID de communauté. Dimension intime De fait, ttes les def° de religion vt souligner ces 2 sens : 1) instit° sociale caractérisée par l’existence d’une communauté d’ind unie par des rites et croyances, une spiritualité commune = sens A 2) sentiment ou système individuel de sentiment de croyance et d’action habituelle ayant Dieu pour l’objet = sens B Au sens A, on peut dércire la modernité comme un engagement fort vers une nette

remplacée par un gouvernement oligarchique qui entretint des relations amicales avec Sparte et Athènes. Période classique Avec la montée de l'impérialisme athénien dans la seconde moitié du Ve siècle , les relations avec Athènes se détériorèrent et la querelle entre les deux cités à propos de Corcyre et de Potidée aboutit à la guerre du Péloponnèse en -431. Les Corinthiens furent parmi les plus farouches et les plus actifs adversaires d'Athènes pendant toute la guerre, bien qu'ils aient été très éprouvés

indo-européens. Le langage viking serait un dérivé de la langue germanique. Cet élément vient appuyer le fait que les trois régions précédemment mentionnées ont une histoire et une culture commune. Leur religion était également similaire puisque les rites, mythes et croyances comportaient tous les mêmes éléments essentiels. Mais même si ces territoires se ressemblaient en plusieurs points, leurs zones et types d’activité étaient cependant assez différents. Premièrement, les Norvégiens étaient portés

clergé, les druides. Les prêtres romains n’étaient que des citoyens ordinaires remplissant à l’occasion une fonction religieuse. Les druides étaient au contraire de véritables prêtres et constituaient une caste sacerdotale protégée par de mystérieux rites initiatiques. Ils croyaient et enseignaient l’immortalité de l’âme. Cette croyance confortait le courage des guerriers. À cause d’elle, ceux-ci ne craignaient pas la mort mais seulement « que le ciel leur tombât sur la tête ». Les druides coupaient

pour toute décision qui engage l'Empire. La dimension religieuse du Saint-Empire Le Saint-Empire est aussi singulier par sa vocation chrétienne. Avant même d'être dit « romain » (1254), il est, dès 1157, «saint». S'affirmant au temps de la Querelle des Investitures (1076-1122), il est très tôt un levier dans la lutte contre la papauté. Dès 1517, la protestation luthérienne épouse l'entrelacs politico-religieux de l'Empire. Luther conteste, en effet, la vente des Indulgences alors que la succession

aurait composé quelque six cents pièces, dont seulement trente-quatre nous sont parvenues. La période classique Le classicisme codifie le théâtre de manière très précise, reniant tout ce qui n’entrerait pas dans les régles. Ce qui donna lieu à la querelle du Cid en 1636 ( Corneille) mais aussi à un rejet de Tartuffe (1669) ou Dom Juan de Molière , pièce plus baroque que classique. Tout semble calculé pour ne pas heurter la cour . Règles du théâtre classique selon Boileau : Nicolas Boileau 1636-1711

que l’origine même de cette dernière puise sa source dans un bassin historique commun. Si nous voyageons dans le temps, nous pouvons remarquer que les premiers signes de religiosité ont été relevés 500 000 ans avant notre ère, caractérisés par des rites appliqués aux crânes des Homos Erectus en Chine. Puis 75 000 ans avant J.-C., l’apparition des vestiges de rituel de sépultures marqua l’histoire de l’Europe occidentale, pour s’étendre peu à peu au reste du monde (Smart, 2000). Il est certain

établies par Newton en 1687. Cette révélation devint un sujet de querelle important dans les milieux scientifiques et philosophiques. Voltaire y pris part et publia les Éléments de la philosophie de Newton qui envenimèrent ses rapports avec Fontenelle. Les arts L’allusion est moindre, mais on note cependant la présence de peintres, de sculpteurs (l. 27) et surtout de Lulli, musicien du XVIIe siècle. La remarque du conteur rappelle la querelle qui opposa, au XVIIIe siècle, les partisans de la musique

_________________________________________________________________________________ “La jalousie du Barbouillé” (1650) Farce Le Barbouillé, c'est à dire le fariné, est jaloux et cocufié par sa femme coquine et sensuelle, Angélique. Dans cette querelle conjugale viennent se mêler, le Docteur philosophe, pédant ridicule tout farci de latin ; Gorgibus vieillard acariâtre et cupide, Cathau, soubrette maligne et rusée, et Valère, le jeune premier timide et maladroit. Commentaire La pièce paraît

supposé prendre soin de sa femme, était en général un peu plus âgé et d'une condition sociale égale ou supérieure à celle de l'épouse. À leur mariage, elles ne changeaient pas de gentilice. La monogamie était de règle. Les cérémonies suivent des rites très précis. Durant le confarreatio, les époux mangent un gâteau d'épeautre (pannis farreus) en présence du flamen dialis et du Grand Pontife qui consacre le mariage. Elles sont à peu près semblables dans les diverses formes de mariages. Cérémonie