Quierzy

Chauve accepte le texte. Les grands exercent le pouvoir en son nom et il ne peut plus retirer ce pouvoir s’il n’y a pas eu forfaitures. Le capitulaire de Quierzy sur Oise en 877. Appelé au secours par le pape Jean VIII, menacé par les musulmans, Charles le Chauve entreprend une expédition en Italie. Préalablement, il réunit une assemblée à Quierzy pour régler la bonne marche de son empire. Dans cette même assemblée, il promulgue un capitulaire dont deux articles qui n'avaient qu'une portée ponctuelle

pas attribuer les charges à n’importe qui, ceux qui l’ont la conserve — et en échange, ceux-là reconnaissent la puissance publique (l’honore donc) de Charles le Chauve. C’est ici le premier pas vers l’hérédité. La deuxième étape est l’assemblée de Quierzy-sur-Oise en 877. Une fois devenu empereur en 875, et après la mort de Lothaire, Charles le Chauve prépare un expédition en italie pour défendre le Pape qui est menacé par les arabes. Lors de cette assemblée, Charles le Chauve règle avec les Grands

possibilité de transmettre son patrimoine à son fils c’est le seul moyen pour le seigneur d’être sur de la fidelité de son vassal et donc on passe d’une féodalité de bénéfice à une féodalité de fief les vassaux deviennent des feudataires l’ordonnace de quierzy sur oise va poser ce principe. Lesl iens deviennentp lus fort entre les vassaux et leur seigneure plus qu’entre le roi et ses vassaux, le roi qui avait une place importante dans la hiéarchie se retrouve démuni et donc o nse retrouve à une fragmentation

en effet, de viager le fief devient héréditaire. Les seigneurs s’incrustent dans leur fonction au point de trouver normal de léguer ces fonctions à leur fils. La royauté va valider cette évolution. Charles le Chauve, en 877, par le capitulaire de Quierzy-sur-Oise, va reconnaitre le principe d’hérédité des fonctions comtales et ducales. Le roi adopte ce capitulaire car à court terme, il a besoin de ressources financières. Il n’a d’autre choix que d’accorder au duc, au comte et évêque ce qu’il désire

rituel du sacre. Lors du rituel du sacre, ce n'est qu'après avoir fait cette promesse que le roi était sacré. Autrement dit, si lors du sacre il s'abstient de faire ces promesses, l'archevêque a droit de ne pas le sacrer. • Les engagements de Quierzy-Sur-Oise de 877 : En 877, nous nous retrouvons à la fin de Charles le Chauve. Nous pouvons constater l'emprise toujours plus importante des Grands laïques et ecclésiastiques sur le pouvoir royal. En effet, les circonstances historiques amènent

et ruptures de barrage dans l'Aisne Dans l'Aisne, les dernières crues importantes sont survenues pendant les hivers 1993-1994 et 1994-1995. Plusieurs PPRI ont été approuvés (débordement de la rivière Marne, vallée de l'Oise aval entre Travecy et Quierzy, vallée de l'Oise médiane de Neuvilette à Vendeuil) ou sont partiellement approuvés (vallée de la Serre et du Vilpion entre Versigny et Rouvroy-sur-Serre) ou prescrits (Vallée de l'Epte mineure, Vallée de l'Oise entre Bernot et Logny-lès-Aubenton)

révoquer le comte sans motif sérieux , l'inamovibilité du comte est reconnue. b. L'hérédité de la fonction comtale En 877 le roi s'apprete à partir pour l'Italie au secours du pape menacé par une invasion et réunit les grands , l'aristocratie , à Quierzy et organise la gestion du royaume en son absence et il décide notemment que si un comte meurt en son absence , son fils pourra temporairement exercer la fonction de son père. Une situation que le roi pourra confirmer à son retour. La fonction de

engagements de Coulaines. Ultime précaution prise par les Grands, ici archevêque de Reins Hincmar, les engagement de Coulaines vont être incorporés au rituel du sacre. Ce n’est qu’après avoir fait cette promesse que le roi était sacré. Les engagement de Quierzy-sur-Oise de 877 En 877, à la fin du règne de Charles le Chauve, on constate l’emprise toujours plus important des grands laïcs et des grands ecclésiastiques. En effet, les circonstances historiques amènent de nouvelles concessions de la part

pactes, avec toujours un fort/un faible. France divisée en 2 entre forts et faibles. Problème : cette société de pacte va affaiblir le pouvoir du Roi (arrière vassal n’obéit pas). Charles le Chauve prend un 2ème capitulaire en 877 LE CAPITULAIRE DE QUIERZY-SUR-OISE : Charles le Chauve prépare à l’époque la guerre en Italie pour aider le Pape, mais la plupart de ses vassaux ne veulent pas l’accompagner car ils pensent qu’ils vont mourir (guerre mal enclenchée), pour être sur de se faire accompagner Charles

édit par lequel il interdit aux potentes de construire des firmitates et des haias, c'est-à-dire de construire des remparts autour de leurs propriétés sans l’autorisation du roi. Et donc la mission de police va passer du roi aux comtes. En 877 à Quierzy sur Kierzy, les comtes demandent une héridité du comté. Et le roi dit dans ce texte que lui le roi se réserve le droit de nommer le successeur du comte. D’où, en 888, Paris est assiégié par les Vikings et le rois n’est pas capable d’assurer la défendre