Rabelais Humour Grotesque

Grandousier de retour de voyage retrouve son fils, qui lui raconte avoir trouvé le meilleur torche-cul, Il nous décrit alors une 13 véritable méthode expérimentale : encore ici l"humour scatologique. Dans les chapitres (12 et 13), on met l’ingéniosité du jeune Gargantua en avant sauf que chez Rabelais, ces talents sont pour le moins spéciaux. L'éduca tion de Gargant ua Chap | Grandousier admirant les dispositions intellectuelles de son fils, lui donne alors un précepteur

ce que les autres ne voient pas, car le poète est un «voyant», qui ne doit pas se censurer, quitte à choquer le bourgeois. Nulle décence, nul arrangement, nul interdit, pas même celui du bon goût, ne peut arrêter le poète, un homme libre. Même le grotesque ne lui est pas étranger. Aussi ne sommes nous pas surpris ici d’être face à un texte qui se veut: I ) d’une violence exacerbée, très expressif A)      De par ses répétitions angoissantes, martelantes, prenantes: Reprise, avec effet d’encadrement

ses études à Saint-Brieuc, puis à Rennes. Entre 1885 et 1888, il compose déjà des comédies en vers et en prose. Au lycée de Rennes, M. Hébert, professeur de physique, incarne aux yeux de ses élèves « tout le grotesque qui est au monde ». Il était pour les élèves l'incarnation même du grotesque ; on le surnommait « le père Hébert ». À ce titre, il est le héros d’une littérature scolaire abondante, dont un texte intitulé Les Polonais : plusieurs des farces écrites par les lycéens relataient les aventures

Sabrina Vega Français: dissertation Sujet n°3 « C'est pourquoi il faut ouvrir le livre et soigneusement peser ce qui y est traité. » François Rabelais, Gargantua, Prologue En parlant de Gargantua a un ami, il m’a dit qu’il avait entendu dire que c’était l’histoire d’un homme gros qui passait son temps à manger. En regardant les peintures, gravures et caricatures de Gargantua, on peut voir des bébés énormes, joufflus, braillant à tour de bras, des ogres gigantesques, nourris à la fourchette, à

garanti par la constitution française c'est la liberté d'expression. Cependant le rire doit respecter  certaines limites. Le rire est soumis à des pressions c'est pourquoi il doit être utilisé avec subtilité par les humoristes à la recherche d'un humour universel. Le rire a évolué à travers les générations et s'utilise de différentes manières. D'après  le document 2 qui est un article d’Elodie Emery extrait de Marianne.fr  publié le  samedi 16 octobre 2010  le rire est devenu bâillonné par les craintes

et de l’élève | Roman, essai, portrait, littérature didactique, poésie | -sentences, maximes -citation de la bible et des auteurs de l'Antiquité -interpellation du lecteur a travers le questionnement | -Érasme, Éloge de la Folie(1509) -Rabelais, Garguantua (1534) -Montaigne, Essais (1580-588) | | La Pléiade | Les poètes de la Pléiade défendent les qualités de la langue française et renouvellent la poésie. | -exaltation du sentiment amoureux -fuite du temps et mélancolie

rassurer par sa « chattemite » mais bien sûr imposera sa nature féroce. _ Les procédés du comique *ironie : « du palais », « le Maître » : ce n’est qu’un petit lapin et terrier « où lui-même il n’entrait qu’en rampant ». description du chat * humour : *« allé faire sa cour » : courtisan allant à Paris, La Fontaine fait la même chose *« brouté, trotté, fait tous ses tours » : ridicule propre aux gens de la cour, brouté = profité des faveurs du roi, trotté = se montrer, danser

violence sous toutes ses formes Procédés d’écriture : - l’usage des sentences et des maximes - la citation de la bible et des auteurs de l’Antiquité - l’interpellation du lecteur à travers le questionnement Ecrivains et œuvres : - Rabelais : Pantagruel (1532), Gargantua (1534) - Montaigne : Essais (1580-1588) 2. La Pléiade Participant à l’humanisme, les écrivains de la Pléiade veulent retrouver l’inspiration qui a fait la grandeur de la culture antique. Ils rejettent les

PANTAGRUEL GARGANTUA François Rabelais LE TITRE ET LE GENRE 1. Le titre du Pantagruel mentionnant des « faits et prouesses », il s’agit d’un récit épique. Celui du Gargantua est moins explicite sur ce point, mais l’épithète inestimable respecte l’isotopie de la démesure propre à l’épopée. Autre renseignement générique : épouvantables, horrible, le nom et le titre de l’« auteur » relèvent du registre comique. Nous sommes donc dans l’imitation parodique des récits médiévaux, mêlant les codes épique

Sciences de Sousse, 2007 * Elisheva ROSEN, Sur le grotesque : l’ancien et le nouveau dans la réflexion esthétique, Paris, P.U.V., 1991 * Victor HUGO, Cromwell (La préface), Paris, Ed. Flammarion, 1941 * Christian CHELEBOURG, Jules Vernes 8 : Humour, ironie, fantaisie, Paris, Ed. Lettres modernes, 2003 * André BRETON, Anthologie de l’humour noir, Paris, Ed. du Sagittaire, 1950 * Mikhaïl BAKHTINE, L’œuvre de François Rabelais et la culture populaire au moyen âge et sous la renaissance