Racine Les Frères Ennemis

ne bat jamais Tom. Comme tous les septièmes fils d'un septième fils, John Gregory est gaucher. Dans son passé, il a eu des relations avec plusieurs femmes. D'abord Emily Burns, une femme originaire du même village que lui et promise à l'un de ses frères. Ils sont tombés amoureux et sont partis vivre ensemble. Son frère ne lui a jamais pardonné. Par la suite, Emily s'est lassée de lui mais ils sont restés bons amis. Quand il venait de devenir Épouvanteur, Gregory a rencontré Meg, une sorcière lamia

Et ce choix est le nôtre. Au centre de cette poésie se trouve une image très vive, un contraste entre deux types de plantes: L’arbre, rempli de fruits, au feuillage bien vert, qui boit librement, tout son soûl… La paille, étiolée, sèche, sans racine, qui s’envole au loin. Une description, et aussi une invitation. Que choisirons-nous ? La vie sèche, sans fruit ou la vie débordante, saine, et productive ? Lecture… Le chemin du bonheur (1.1-3) Le bonheur est une conséquence (1.1a) « Heureux…

Phèdre, RACINE Dans la mythologie grecque, Phèdre est l’épouse de Thésée, célèbre pour avoir conçu une passion tragique pour son beau-fils, Hippolyte. Fille de Minos, roi de Crète, et de sa femme Pasiphaé (elle-même fille d’Hélios, le Soleil), Phèdre a pour sœur Ariane et Acacallis, et pour frères Glaucos, Deucalion, Androgée et Catrée. Elle est donnée en mariage par son frère Deucalion à Thésée, héros qui a auparavant, après avoir vaincu le Minotaure, séduit puis abandonné Ariane sur l’île de

déclin de Zarathoustra. 2. Zarathoustra descendit seul des montagnes, et il ne rencontra personne. Mais lorsqu’il arriva dans les bois, soudain se dressa devant lui un vieillard qui avait quitté sa sainte chaumière pour chercher des racines dans la forêt. Et ainsi parla le vieillard et il dit à Zarathoustra : « Il ne m’est pas inconnu, ce voyageur ; voilà bien des années qu’il passa par ici. Il s’appelait Zarathoustra, mais il s’est transformé. Tu portais alors ta

commença le déclin de Zarathoustra. 2. Zarathoustra descendit seul des montagnes, et il ne rencontra personne. Mais lorsqu’il arriva dans les bois, soudain se dressa devant lui un vieillard qui avait quitté sa sainte chaumière pour chercher des racines dans la forêt. Et ainsi parla le vieillard et il dit à Zarathoustra : « Il ne m’est pas inconnu, ce voyageur ; voilà bien des années qu’il passa par ici. Il s’appelait Zarathoustra, mais il s’est transformé. – 11 – Tu portais alors ta cendre à

affrontement militaire entre des volontés d’États qui ont décidé d’en découdre. Les deux amis paysans qui habitent de part et d’autres de la frontière sont citoyens de deux États différents. Dès que la déclaration de guerre est faite, ils deviennent des ennemis ;   ils sont emportés dans la guerre selon une volonté qui n’est pas la leur, mais qui appartient à leur statut de citoyen d'un État. La guerre, pourtant, est à l’image du combat singulier de deux hommes entre eux. Deux peuples qui s’affrontent, sont

disputes d’enfants. Lorsque Mathilde parle de ses souvenirs d’autrefois, elle les évoque comme une période « de malheurs » où elle n’était pas elle-même et qui ont nourri sa « rancune » contre des gens qu’elle nomme d’une façon très forte ses « ennemis », en utilisant un vocabulaire de la guerre. Ce qui ne laisse rien présager de bon. Pourtant l’entretien progresse en faisant percevoir des efforts de civilité de part et d’autre. Le frère fait des efforts de bon accueil à sa sœur, il se sert de

commença le déclin de Zarathoustra. 2. Zarathoustra descendit seul des montagnes, et il ne rencontra personne. Mais lorsqu’il arriva dans les bois, soudain se dressa devant lui un vieillard qui avait quitté sa sainte chaumière pour chercher des racines dans la forêt. Et ainsi parla le vieillard et il dit à Zarathoustra : « Il ne m’est pas inconnu, ce voyageur ; voilà bien des années qu’il passa par ici. Il s’appelait Zarathoustra, mais il s’est transformé. – 11 – Tu portais alors ta cendre

centaines d’hommes, d’autres des dizaines seulement. Mais aucune de ces guerres n’est comparable aux croisades, véritables exploits de l’Église chrétienne. L’Église a réussit, durant près de 180 ans, à réunir un grand nombre de royaumes, jusque-là ennemis, contre un opposant commun, les Sarrasins. Ces expéditions guerrières, au nombre de dix, ont opposé plusieurs groupes. Tous ces conflits avaient leurs motivations, le plus souvent religieuses, sauf quelques exceptions. Toutes les croisades ont une

ne suffit pas par la sollicitude que nous leur devons, de s’affliger de ces faits ; la charité fraternelle et l’exemple de notre Rédempteur nous imposent de mettre nos vies en péril pour délivrer nos frères. Car de même qu’Il a donné sa vie pour nous, nous devons aussi donner notre vie pour nos frères. Sachez donc que, pour notre part, confiant dans la miséricorde et la toute-puissance de Dieu, nous nous disposons et nous préparons par tous les moyens à porter secours le plus tôt possible à l’empire