Racine Marivaux Musset

représentent l’affrontement et le théâtre. Tout d’abord, l’intrigue au théâtre prend souvent ça source dans les conflits. Il peut être d’ordre amoureux : conflits direct entre deux amants ou encore d’un conflit entre passion et jalousie. Dans Andromaque de Racine, Hermione laisse exploser sa jalousie car son mari, Pyrrhus, est amoureux d’Andromaque. Elle exprime sa colère, elle se sent trahis et humiliée. Mais aussi d’ordre social : conflits opposants deux personnages de deux classes sociales différentes,

maîtres sauront se souvenir de ce salutaire séjour dans «  l’île des esclaves ». I - UNE « BERGERIE RÉVOLUTIONNAIRE » L’Île des Esclaves occupe une place à part dans l’oeuvre de Marivaux. À son propos, Sainte-Beuve, le célèbre critique du xixe siècle, écrit: « Ce sont les saturnales de l’âge d’or. Cette petite pièce de Marivaux est presque à l’avance une bergerie révolutionnaire de 1792 ». L’allusion aux fêtes romaines des « saturnales » durant lesquelles les esclaves, provisoirement affranchis, avaient

l’Avant-propos de son ouvrage Marivaux dramaturge, Françoise Rubellin précise que nous n’avons que très peu de documents sur la vie de Marivaux et que de nombreuses informations à son sujet sont erronées. Par exemple : sa date de naissance est inconnue (on ne connaît que sa date de baptême[2], sa date de naissance le 4 février 1688 étant supposée car à cette époque on baptisait les enfants trois ou quatre jours après leur naissance), le nom « Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux » n’apparaît jamais comme

Molière, Corneille, Racine ont sût faire de cet art lié à la fête leur spécialité. À l'origine, les pièces de théâtre n'étaient pas spécialement rédigées, ni publiées : elles étaient simplement réfléchies puis directement représentées. L'unique dessein d'une œuvre théâtrale de l'époque était la représentation : cela est parfaitement compréhensible dans la mesure où la racine grecque du mot théâtre « thea » signifie voir, contempler. On peut le souligner par exemple avec la pièce de Racine, « Phèdre » qui

fatalité, de la souffrance, de la passion; ponctuation expressive : questions rhétoriques et phrases exclamatives ; hyperboles ; apostrophes et interjections. Auteurs : Eschyle, Sophocle, Euripide (auteurs grecs), Sénèque (auteur latin), Corneille, Racine, Musset, Ionesco, Beckett…. Un registre pathétique (la souffrance d’un être faible confronté à la violence et suscite la pitié chez le lecteur.) Les genres de prédilection sont la tragédie et le mélodrame. Indices : champ lexical de la souffrance ;

leurs émotions, leurs passions qui les tenteraient comme par exemple l’amour excessif dans « Phèdre » de Racine tandis que de nos jours c’est pour se cultiver que l’on vient au théâtre et les émotions sont décrites comme de grands sentiments comme par exemple l’honneur (comme dans « le Cid » tragi-comédie de Corneille qui est une alternative à la médiocrité du quotidien).L’auteur Alfred de Musset, dans sa pièce « on ne badine pas avec l’amour » s’appuie sur le jeu de la jalousie et de la déception

divertissement de la cour française. II. XVIIe siècle : Le théâtre classique Ce n’est qu’au XVIIe siècle que le théâtre littéraire gagne en France son statut de premier plan, avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et de Racine. Leurs pièces appartiennent au théâtre dit « classique » car elles répondent à un ensemble de règles très strictes, inspirées du théâtre Antique. * La règle des trois unités Elle vise à ne pas éparpiller l’attention du spectateur avec des

Mot pour un autre de Tardieu, l'auteur fait un comique de mot pour transmettre un message aux lecteurs. La scène paraît ainsi ridicule. Les didascalies internes sur l'action mais aussi parfois sur la psychologie du personnage, comme dans Phèdre de Racine ou sa servante dit s'accrocher à ses genoux pour l'empêcher de mourir. Obn a ainsi des informations sur sa posture mais également sur sa psychologie; elle ne veut pas laisser Phèdre mourir. Enfin, le metteur en scène a un rôle crucial, puisque

basées sur l'abondance et l'émotion. Le roman La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette Lettres de la religieuse portugaise de Guilleragues Le théâtre Horace, Cinna, Polyeucte… de Pierre Corneille Andromaque , Britannicus , Phèdre…de jean Racine Dom Juan , Tartuffe , Le Malade imaginaire de Molière La poésie Fables de La Fontaine Les genres brefs Maximes格言f et sentences morales de François de La Rochefoucault Les Caractères de Jean de La Bruyère (posthume): Lettres de Mme de Sévigné

nous avons eu à étudier, présente trois extraits de pièces de théâtre, tous des affrontements verbaux entre deux personnages l’un aimant l’autre mais n’en étant pas aimé en retour. Le premier texte est extrait de l’Andromaque tragique de Jean Racine (1667). Ce dernier a pris très grand soin à écrire sa pièce en vers et en langage soutenu. C’est une partie de l’acte III, scène 7. Pyrrhus amoureux d’Andromaque, sa captive troyenne, lui impose un chantage odieux : soit elle l’épouse et son fils