Racine Marivaux Musset

véridiques, dans la vie réelle la mort peut être vue, elle n’est jamais cachée ou résumée par quelques lignes de paroles formulées par un personnage. La bienséance est utilisée lors de la mort d’Hermione dite par Pylade dans le dernier acte d’Andromaque de Racine ainsi que la mort de Pyrrhus dite par Oreste. De même, ce reflet déformé est aussi présent dans les monologues. Les monologues se représentent quand un personnage exprime ses doutes, ses sentiments et ses pensées à voie haute. Cette méthode là n’est

(1606-1684) Racine (1639-1699) Molière (1622-1673) La Fontaine (1621-1695) La Bruyère (1645-1696) Boileau (1636-1711) Pascal (1623-1662) Au 18è siècle : -La philosophie des Lumières : née dans les salons intellectuels,elle s'appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l'esprit critique et lutter contre toutes les formes de préjugés . *Ecrivains représentatifs : Montesquieu (1689-1755) Voltaire (1694-1778) Rousseau (1712-1778) Diderot (1713-1784) Marivaux (1688-1763)

|Molière, Racine, Pierre et |Le Cid, Iphigénie, Le Malade imaginaire | | |tragédie classique, comédie classique, |Thomas Corneille | | | |tragi-comédie | | | |XVIIIe | |Beaumarchais, Marivaux |Le Mariage de Figaro

connaître ces œuvres et être capables de dire pourquoi elles sont intéressantes, d’un point de vue littéraire. XVIème siècle : extraits dans le livre de français Montaigne ; Rabelais ; Ronsard ; Du Bellay ; Shakespeare XVIIème siècle Racine, Corneille, Molière : connaître les titres de leurs pièces les plus célèbres pour chacun de ces écrivains, être capable de définir le genre de leurs pièces. La Fontaine : Fables Pascal : Pensées Descartes : Discours de la méthode ; savoir brièvement

tensions ; portée moralisatrice. | Auteurs et quelques œuvres |   France, XVII° :Racine(Phèdre, Andromaque) Corneille(Cinna, Médée) | France, XVII° :Molière(Les Fourberies de Scapin , l’Avare, le Bourgeois Gentilhomme, le Malade Imaginaire) France, XVIII° :Marivaux(Le jeu de l’Amour et du Hasard ; Le Triomphe de l’amour) | France, XVIII° :Beaumarchais(Le Mariage de Figaro) France, XIX° :Victor Hugo(Hernani)Musset(Lorenzaccio) |

tragédiens, on retiendra Corneille, qui écrivit également des comédies, et Racine. Le XVIIè est aussi l'époque du théâtre baroque : non codifié, non défini dans le temps, certains des plus grands auteurs comme Corneille, avec L'Illusion Comique, ou Molière, avec Dom Juan, s'y sont essayé. Le XVIIIè : les comédies de moeurs Au XVIIIème siècle, la comédie s’exprime avec des auteurs comme Beaumarchais (1732-1799) ou Marivaux (1688-1763). Commençant timidement la rupture avec les règles du classicisme

fois le 16 mars 1737 par les comédiens italiens et écrite par Marivaux. Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux de son vrai nom (4 février 1688 - 12 février 1763) est un journaliste, un romancier, mais surtout un auteur dramatique , qui aimait regarder le monde et la société qui l’entourait. Ainsi il écrivit des pièces de théâtre et écrivit pour les Comédiens italiens, entre 1722 et 1740. Il est, après Molière, Racine, Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par la Comédie française[]

fantômes des Enfers et le public appréciait ses effets « surnaturels ». Dans le théâtre classique (soit du 17ème siècle), on a également un décor plutôt réaliste car les metteurs en scène doivent faire preuve d’une unité de lieu, de temps et d’action. Racine par exemple dans la pièce de Britannicus explique que les différentes scènes se déroulent dans un palais et que l’on est à l’époque latine, à Rome précisément. Il en est de même pour le théâtre Elisabéthain où Shakespeare dans Roméo et Juliette par

de Lafayette, Boileau, Racine, La Bruyère ... . 1610 – 1643 : règne de Louis XIII ; 1643 – 1661 : régence d’Anne d’Autriche ; 1661 – 1715 : règne de Louis XIV (création de l’Académie française). XVIII ème siècle : - les lumières. Caractérisé par la défiance à l’égard de l’autorité, des traditions et des préjugés ; mais aussi par l’invitation à juger par soi-même et la foi dans la raison et dans l’éducation pour assurer vertu et bonheur. . Marivaux, Montesquieu, Voltaire

l’exploration de l’œuvre. Il est alors en mesure de découvrir tout le plaisir d’un style particulier. Pour Henry Gouhier, « l’âme du théâtre, c’est son corps ». Le lecteur peut, par exemple, être émerveillé par l’écriture recherchée et poétique de Racine, dont les tragédies, souvent rédigées en alexandrins, contiennent un vocabulaire riche et regorgent d’images saisissantes. Prenons l’exemple de cette tirade dans laquelle, Hippolyte cherche à se défendre d’accusations portées contre lui par Oenone