Racisme Scolaire

Xénophobie et racisme 1.définitions : Xénophobie et racisme  : La xénophobie désigne les sentiments systématiques de crainte, d'hostilité, voire de haine envers les étrangers, c'est-à-dire de ceux qui n'ont pas la même nationalité que soi ou qui n'appartiennent pas au même groupe (culture, religion, langue...). L'étranger est perçu comme une menace pour l'équilibre de vie et, donc comme un ennemi, ce qui entraîne des réactions de peur ou d'hostilité, ou les deux. Dans les formes extrêmes, la

radicalisation de la violence Avec la confrontation Allemagne-Nazi / URSS -> front de l’est ou la guerre paru avec les EU / Japon dans le Pacifique. Désormais on a à faire a des combattant qui ne se perçoivent pas comme apparemment a la même humanité (racisme, idéologie, non respect de la convention de Genève) p.121 Ex : Katyn (film) On va vers une généralisation des actes de cruauté et des entreprises d’anéantissements. (Massacre de Katyn en Pologne ou il y a 15m d’officier exécuté par les soviétique)

CLAUDE LEVI-STRAUSS RACE ET HISTOIRE 1952 CONTEXTE HISTORIQUE : En 1952, l’Unesco a publié une série de brochures consacrées au problème du racisme dans le monde. Claude Lévi-Strauss rédige pour l'occasion un essai, Race et Histoire. Le racisme est une question qui préoccupe l'Unesco depuis l'entre-deux guerre, période durant laquelle nous assistons à une augmentation des problèmes de race, dont le point culminant fut l'extermination des Juifs et Tziganes durant la Seconde Guerre Mondiale

désormais radicalement transformé par son incarcération. En sortant de prison, il découvre que son frère cadet a cédé lui aussi aux démons du racisme. Un film d'une violence rare, mais pourtant exceptionnel dans son sujet et sa réalisation. Ce film n'a pas de but politique mais à plutôt une vocation culturelle. ce n'est pas une propagande contre le racisme et le nazisme, mais bien un film pour instruire les générations futures des erreurs du passé et de ce qu'il ne faudrait pas répéter ! La combinaison

discrimination. On prendra l’exemple de L’Oréal, dont le président Jean-Paul Agon annonce : « Un candidat qui a un prénom d’origine étrangère a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche ». L’AGRIF (association contre le racisme anti-blanc et antichrétien) a porté plainte mais sa demande a été déboutée. Elle a aussi été condamnée à verser 2 500 euros de dommages et intérêts au directeur de L’Oréal pour poursuites abusives. 2-La non-discrimination sur le lieu de travail

mélange d'ambitions typiquement modernes visant à redessiner et reconstruire la société, et d'un concentré typiquement moderne de pouvoir, de ressources et de compétences administratives.» Modernité et Antisémitisme/Racisme . L’auteur analyse la conception moderne du racisme comme étant différente de l’hétérophobie ou de l’inimitié ouverte. La modernité tend à effacer les différences naturelles entre groupes sociaux, rendant ainsi incertaines les frontières délimitant l’identité («L'antisémitisme

territoires.  : « Ils ont [les gouvernements des pays attardés] d'une manière ou d'une autre, à réaliser une véritable mobilisation idéologique. Le prétexte commun reste la lutte contre le colonialisme et le racisme; ce fut le Leitmotiv des représentants réunis à Bandoeng. »Le Tiers monde, 1956 racisme  Ensemble de théories et de croyances qui établissent une hiérarchie entre les races, entre les ethnies. Doctrine politique fondée sur le droit pour une race (dite pure et supérieure) d'en dominer d'autres

une représentation ultime du mal, un génocide unique. Autant par son caractère systématique qu’intentionnel. Lors de la Shoah, on estime la mort de plus de 5 millions de Juifs, soit 40% des juifs du monde. La Shoah est à la base d’une forme de racisme spécialement contre les juifs, l’antisémitisme. L’antisémitisme lui, est la base du parti Nazi. Selon eux, les juifs sont considérés comme le mal absolu, responsable de tous les malheurs de la terre depuis la défaite de l’Allemagne en 1918, voilà

jamais de rendre la pareille . Amine n’est pas de ceux pour qui la violence est une option. Il ne s’est donc jamais mêlé au combat opposant son peuple à son peuple d’adoption. Pourtant, L’attentat côtoie constamment la violence, l’intolérance et le racisme, car le terrorisme entourant le conflit israélo-palestinien est le thème principal de ce récit. Effectivement, dès le début du roman nous sommes confrontés à l’attentat-suicide de Sihem qui luttait pour la cause intégriste. Lorsqu’il cherchera à comprendre

domination d’une idéologie passe avant tout par la transformation du langage. Les Nazis l’ont fait : la langue de la philosophie, de la poésie, de la musique et de la littérature est devenue, sous leur joug, la langue de l’ordre, de la terreur, du racisme[19] ». Réalité ou fiction ? Les intentions d’Emmanuel sont d’abord d’établir les faits puis d’en épouser le fil conducteur jusqu’à mettre au jour l’inquiétante menace qu’ils sont censés traduire mais, comme on l’a vu, sans jamais le dire