Raconte Ta Plus Grande Peur

graves qu’il se pose ? Que cherche t-on quand on ouvre un livre : un simple divertissement ou une réponse à des questions essentielles ? Le lecteur y cherche parfois et y trouve souvent des solutions aux questions inquiétantes qu’il se pose, comme la peur de la mort par exemple. Peut-on trouver dans la littérature des réponses aux interrogations graves que nous nous posons ? La lecture apporte parfois du réconfort mais certains auteurs offrent un regard pessimiste sur le monde, peu réconfortant. Enfin

décrit le château où l’histoire se déroule avec beaucoup de minutie : « […][il] vi[t] une grande pièce en désordre […] un lit sans draps, […][un] matelas et [des] oreillers, dont l’une port[e] l’empreinte profonde d’un coude ou d’une tête […] » (l. 121-122-123) COMMENTAIRE : Le regard photographique du récit où il regne le souci du détail permet au lecteur de mieux s’integrer à l’histoire, il devient plus protagoniste au lieu d’un simple spectateur. Le narrateur rend l’espace vivant aux yeux

la peur du loup, Découverte Gallimmard, Histoire Naturelle, 1991 M.Confalonieri, L'univers en couleur, les animaux, Agence belge des grandes éditions, Bruxelles Cette partie donne une définition précise de l’animal et explique sa façon de vivre. Finalité didactique : à l’aide de cette définition, représenter un loup dans son environnement ou donner une définition personnelle du loup. 2. Mythes et légendes 5 http://www.reportage.loup.org/html/mythologie.html G.Carbone ,la peur du

La classe de neige - Emmanuel Carrère 1. Dans le premier chapitre, Nicolas est en route avec son père. Il raconte des bons qu’il obtient quand son père achète de l’essence. Avec ces bons il peut obtenir des bonhommes en plastiques (dont le dessus se soulevait, découvrant le squelette et les organes), des bâteaux gonflables… Il rangeait les bons dans le coffre-fort. La dernière partie du trajet, s’effectua sur des petites routes. Auparavant, sur l’autoroute, il y avait un bouchon. Son père était

qu’on demande son nom au garçon. Les autres enfants, au début… _ Et, toi, tu es nouveau par ici ? D’où viens-tu ? Qu’est-ce qu’il fait ton père ? T’as quel âge ? T’es en quelle classe ? Tu sais jouer au Belvédère ? Des questions d’enfants. Mais la plus fréquente était justement celle que le loup venait de poser à l’intérieur de sa tête : « Comment tu t’appelles ? » Et personne ne comprenait jamais la réponse du garçon. _ Je m’appelle Afrique. _ Afrique ? C’est pas un nom de personne, ça, c’est

titre.   -Philippe Claudel est né le 2 février 1962 à Dombasle- sur -Meurthe. Agrégé de lettres, il a choisi après quelques années de lycée d’enseigner à des enfants handicaps moteur, à la maison d’arrêt de Nancy, puis à l’université de Nancy II. Grand admirateur de Simenon et du Giono d’après guerre, il tisse avec maestria des univers où la simplicité, tente de dissimuler l’obscur des drames qui jalonnent nos existences .Il fait remonter son désir d’écrire aussi loin que sa mémoire. Il devient en

jours. Robinson a peur de devenir fou p23. Il se rend sur l’épave du bateau et emmène certains objets p23-25. CHAPITRE 2 P26 Il construit une embarcation qu’il nomme « Evasion ». il n’a toujours pas de notion du temps p27. Son aspect physique se détériore, il est sale p29 et nu p30. Il éprouve également une « défaillance » au niveau du moral p30. Il voit Tenn (le chien du capitaine Van Deyssel) qui vit sur l’île mais celui-ci ne semble pas reconnaitre Robinson et ayant peur, s’enfuit. Robinson

Espagne .Tout au long du livre les deux personnages sont traversé par des sentiments extrême et incontrôlable.La passion qui dévore Don José le rend malade de jalousie et le pousse a tué Carmen. Au chapitre 6, Don José en prison pour avoir tué Carmen , raconte le jour de leur rencontre à cet archéologue. Il revient sur les premiers sentiments qu'il éprouve avec beaucoup de détails.Nous verrons pourquoi Carmen est une femme très provocatrice et nous analyserons ensuite le comportement de Don José face a

certains écrivains se sont aventurés dans les thèmes du surnaturel et des esprits. C’est le cas de Guy de Maupassant dans son chef-d’œuvre Le Horla (1887), dans lequel il met de l’avant la progression de la folie. Il s’exprime plus précisément sur l’inexplicable ainsi que sur le combat contre soi-même qui trouble grandement le narrateur. D’abord, l’inexplicable se présente notamment

paru en 1887. Il est présenté sous la forme d’un journal intime et structuré par les comptes rendus discontinus de journées et de nuits. Le narrateur raconte son histoire à la première personne et il date chaque début de récit. On compte deux principaux personnages : le narrateur, qui est soumis à des angoisses qui le conduisent à la folie et qui raconte au lecteur une expérience étrange et le Horla, un être invisible. L’homme qui tient le journal, se sent harcelé par cet être invisible. Malgré les