Raconte Ta Plus Grande Peur

1- L’imaginaire prend une grande place dans la vie de Momo. Son ami Arthur est un parapluie et il lui donne beaucoup d’importance car il lui procure un certain bonheur. Il fait beaucoup d’activité avec Arthur, il habille ce parapluie, lui donne un nom, le maquille, etc. Il va même faire un spectacle en public et fait de l’argent. Le parapluie est là pour combler un manque dans la vie de Momo, celui de l’amitié, car les jeunes avec qui il évolue ne sont pas matures. Il répare Arthur lorsqu’il est

d’édition : 1975 – Mercure de France Synopsis : Histoire d'amour d'un petit garçon arabe pour une très vieille femme juive : Momo se débat contre les six étages que Madame Rosa ne peut plus monter et contre la vie parce que « ça ne pardonne pas » et parce qu'il n'est « pas nécessaire d'avoir des raisons pour avoir peur ». Le petit garçon l'aidera à se cacher dans son « trou juif », elle n'ira pas mourir à l'hôpital et pourra ainsi bénéficier du droit sacré « des peuples à disposer d'eux-mêmes » qui

le narrateur nous donne des éléments que seuls les enfants peuvent savoir. Tout d'abord, nous pouvons dire que ce texte comporte beaucoup de descriptions que ne sont pas toujours très utiles et qui paraissent importantes pour des enfants: « Le grand-père vint plusieurs fois, pieds nus, son manteau passé sur son pygama(...) » (lignes 2-3) Les enfants remarquent souvent des détails auxquels les adultes, eux, ne font pas attention alors qu'à nos yeux à nous ces détails sobt inutiles pou eux, ils

Texte d’étude : Le Horla de Guy de Maupassant (pages 64 & 65) Le passage à analyser est un court extrait du Horla de Guy de Maupassant. Dans cet extrait, le narrateur raconte son état d’esprit face au Horla. Cette version est rédigée sous forme de journal. Ce sont les journées du 14 et 15 aout que je vais étudier. La journée du 14 aout apparaît comme l’apogée d’une des nombreuses crises du narrateur et celle du 15 aout comme une phase de calme. Dans une première

cabane, on a décidé d'aller chercher du bois pour terminer sa construction. Avec mes amis on aimait se faire peur et donc il y en avait toujours un qui essayait de faire peur aux autres en faisant du bruit. Après deux ou trois blagues du genre, Corentin, un ami qui possédait un pistolet à billes a dit “le prochain qui fait du bruit je lui tire une balle dans le pied !". Environ cinq minutes plus tard, on a entendu une voix féminine fredonner. À ce moment-là, on s’est tous regardés et quand on a compris

je l'ai vu Ce quartier faisait peur à voir. Personne n'est plus venu depuis qu'il a été desinfecté même les chats évitaient d'y aller. l'atmosphère était lourde et pleine de mystère.Depuis des années, les gens évitaient de passer à côté. les bâtiments étaient meurtris à cause des années qui passaient . L'entrée de ce quartier était jonché de fracas de mur tombés en morceau et de poubelle laissaient à l'abandon. Mais alors pourquoi un quartier si beau autrefois et devenu un quartier vide

l’Anderer. <L’Anderer sut s’entourer malgré lui d’un charme propre à amadouer les plus hostiles car tout le monde voulait le voir, enfants, femmes, vieillards…> b.     Les villageois sont-ils des gens hospitaliers ? Justifiez. Relevez d’autres aspects étonnants de l’Anderer mentionnés dans ce chapitre. Les villageois sont surtout curieux de l’Anderer, ce qui peut les faire paraître plus hospitaliers qu’ils ne sont en réalité. Cependant, je dirais que les villageois sont

intergouvernemental pour les réfugiés. Suite à la mort de sa mère, en 1943, ce qui lui laissera de profondes blessures il publie en 1954 le Livre de ma mère qui précède son oeuvre la plus connue, Belle du Seigneur, qui sort en 1968. III. LE GENRE Ce livre est un roman autobiographique et mémoire. IV. LE CADRE Le narrateur nous raconte des brides de sa vie se déroulant en France, de Marseille à Genève. V. LES PERSONAGES PRICIPAUX Le narrateur et sa mère sont les personnages principaux de ce roman

et blanc Pointe vers le bas, Manouchian, chef du réseau. -Les portraits sont patibulaires de manière à véhiculer la peur, le rouge rappelle toujours le sang, le crime. -La pyramide hiérarchique pointe vers les photos (déraillement de trains, corps criblé de balles, armes, assassinats, cadavres) photos choquantes Les photos veulent véhiculer la peur et l’imagination de la population, elles sont sorties de leur contexte et donc ne sont pas forcément des actions de résistants. -Sous-titre :

EXPOSES SUR LE HORLA ① La structure temporelle Ecrit sous forme journal intime. C’est une forme originale. Narrateur raconte chaque jour ce qui lui arrive. Dans chambre d’hôtel, il raconte brûlage maison. Journal intime : au jour le jour. 1er 139 jours dernier jour. 39 jours racontés, 100 pas racontés. Dates + importantes que d’autres. ② La structure géographique Début : maison entre Rouen et Paris : 8 mai au 3 juin expédition au Mont-Saint-Michel : 4 juin au 2 juillet maison : 3 juillet