Radicalisme

comprendre. Ils vont aussi livrer des combats, avec un ton de fureur assez neuf par rapport à celui de leurs prédécesseurs, contre le despotisme, etc... . Au cours de cette période naît, beaucoup plus à l'étranger, un mouvement de réaction contre le radicalisme des Lumières, contre l'usage de la «raison desséchante», c'est le préromantisme qui se met en place. II) Les traits majeurs de la pensée des Lumières Les Lumières se sont des hommes, des femmes aussi, qui vivent tout au long du siècle, ce sont

du peuple » fut assassiné le 13 juillet 1793 et ce crime fut considéré par les révolutionnaires comme un attentat contre la nouvelle Constitution. La Convention commanda à David cette toile au fond hautement politique. Marat était une figure du radicalisme révolutionnaire représenté par les Montagnards, qui venaient d’éliminer les Girondins (dont Charlotte Corday était une sympathisante). Charlotte Corday, la meurtrière de Marat, est écœurée par le terrorisme révolutionnaire et elle voit des ennemis

question de l’héritage de Mao Zedong, d’autant qu’avant sa mort, devant l’échec de la révolution culturelle et l’apparition de dissensions au sein du PCC les clivages idéologiques s’articulent autour de l’acceptation au non du maoïsme et de son radicalisme. A l’image de la déstalinisation, l’expression de démaoïsation suggère une autocritique du régime communiste chinois, un assouplissement idéologique et une remise en cause des principes de gouvernement. Il faut donc se demander de quelle façon la

le pacifisme, en participant aux gouvernements en guerre. Cette modification du paysage politique amène les gauches à chercher une nouvelle place et dans certains cas, à remettre en question leur contenu idéologique. En ce qui concerne le radicalisme par exemple , le mouvement des « Jeunes radicaux » qui émerge en France en 1926, composé notamment de Pierre cot et de Pierre Mendes France, se mobilise pour une rénovation de la doctrine du parti et par ailleurs pour une modernisation de la société

totale de l'oeuvre n'existe pas (on observe des points), l'observateur doit se mettre à une certaine distance pour que les taches puissent disparaitre. La proximité donne la division. L'éloignement donne la totalité. Seurat considérerait un radicalisme, en réduisant les taches au minimum. On pourrait donner une structure fixe. C'est le pari de Seurat: construire l'impressionnisme avec des règles. Les règles scientifiques seraient: - couleurs complémentaires ainsi qu'une juxtaposition des couleurs

combattants dévoués au maréchal, incarne bien sûr le courage. L’industrie est absente. A gauche, la maison s’est à demi effondrée parce qu’elle reposait sur de mauvaises fondations : - La démocratie parlementaire (parlement démocraties, radicalisme) - Les mauvais Français (juiverie, franc-maçonnerie, communisme) - L’esprit de jouissance (pastis, désordre, système D) - L’absence d’esprit de sacrifice (égoïsme, antimilitarisme) - Les rapports à l’argent (spéculation

proche des français, proche des travailleurs II. La gauche, une union retrouvée C. Mitterrand, l’Homme de la gauche François Mitterrand est un ministre quasi-permanent de la 4e République de 1947 à 1957. Mais il n’appartient ni à la SFIO, ni au radicalisme. François Mitterrand se porte comme un antigaulliste, avant de se convertir au socialisme. L’ombre du Président est omniprésente dans le discours de Pierre Mauroy. « François Mitterrand, l’homme du rassemblement des socialistes, l’homme de l’union

gratuite et obligatoire. Ce programme va plus loin que les opportunistes. Le radicalisme reprend un peu les opportunistes mais va très, très loin. Ce radicalisme se développe dans les milieux scientifiques, avec Maximilien Littré (médecin), Émile Combes (qui portera la loi de 1905). Les Radicaux ont beaucoup de liens avec la franc-maçonnerie. Enfin, il faut ajouter que Clemenceau donne une teinte jacobine au radicalisme, la république démocratique et sociale qu’ils envisagent est essentiellement

pas vers le pacifisme au lendemain de la guerre D)- Briand, « l'apôtre de la paix ». II/ - Divergences et Limites du Pacifisme en France……………………Page 5 à 7 A)- Les différentes positions des gauches B)- Les divisions de la gauche C)- Le radicalisme de la droite D)- Les Accords de Munich et la fin du Pacifisme Conclusion…………………………………………………………………..Page 8 Bibliographie et Sitographie…………………………………………..Page 9 Introduction : La Première Guerre Mondiale fut une guerre longue et d'une intense

laisserait que peu de place aux acteurs de la société civile donc des syndicats. Sphère de l’entreprise : « goût des hiérarchies paternalistes » » Un patronat qui serait peu enclin à la négociation. Sphère syndicale : « domination d’un radicalisme conflictuel et contestataire » Les syndicats français ne seraient que peu disposés aux compromis. Il résulte de ses positions une mauvaise qualité des relations sociales française, donc du dialogue social, qui aboutit à un régime de négociation