Radovan Karadžić

science et la culture C)-Le TPI : tribunal pénal international La TOIY a été créé en 1993 La TOIY a été créé pour apporter un jugement aux personnes soupçonnées de crimes de guerre dans les Balkans au cours de années 1990 | Radovan Karadzic | Ratko Mladic | Date d'arrestation | 21/07/08 | 26/05/11 | Date de transfère au TPIY | 30/07/08 | 31/05/11 | Date d'ouverture du procès | 26/10/09 | 16/05/12 | Accusations | Il est

la communauté européenne et les Etats-Unis reconnaissant celle-ci dans la foulée. La Bosnie adhère à l'ONU en mai 1992, en compagnie de la Croatie et de la Slovénie. En réponse, la République serbe de Bosnie, entité des Serbes dirigée par Radovan Karadzic, déclare à son tour son indépendance mais ne sera jamais reconnu en tant que telle par la communauté internationale. B. Sarajevo, ville martyre Le jour même de la déclaration d'indépendance, les Serbes de Bosnie, qui avaient déjà encerclé

cette anecdote qui n'en est pas une, tant elle montre la folie de cette guerre : lorsqu'il jouait au FK Sarajevo de 1975 à 1985, Pasic avait un coach mental. Un psychologue chargé de canaliser l'agressivité des joueurs. Cette homme s'appelait Radovan Karadzic. Le coach pacifique deviendra le bourreau de Sarajevo. Pour la démocratie "Il n'était pas le meilleur. Mais il était le plus singulier". Singulière comme l'histoire dans laquelle Socrates a emmenée son club de Sao Paulo. Imaginez une véritable

temps, le siège de Sarajevo fait de ses multiples acteurs sa singularité. En effet, ce conflit intra étatique sur une base raciale - les Bosniaques musulmans et Croates cibles de la purification ethnique perpétrée par les Serbes incarnés par Radovan Karadzic - se voit d'abord pris en charge par les casques bleus, soldats rattachés à l'ONU et non à un pays, dont le rôle est de maintenir ou créer la paix dans les zones de tensions puis par les États-Unis, qui interviennent au nom du droit d'ingérence

complicités entre les Serbes de Serbie, Serbes de la République serbe de Krajina et Serbes de Bosnie-Herzégovine sont renforcées. Ces Serbes sont représentés par des partis nationalistes et conservateurs, notamment le Parti démocratique serbe de Radovan Karadžić. Cette situation de repli du pouvoir serbe en Serbie pour rassembler « tous les Serbes en un État », marque un tournant, puisqu'il s'allie avec le nationalisme violent et radical. En Bosnie, comme en Croatie et Slovénie, se déroula le

Bosnie. Huit mille habitants sont absents et présumés morts. Il s’agit peut-être d’un des crimes de guerre les plus atroces commis depuis la Seconde Guerre mondiale. Celui que l’on présente comme le commandant de l'armée serbe Ratko Mladic et Radovan Karadzic, homme politique influent de la république serbe, seront inculpés par le Tribunal international des crimes de guerre à La Haye. Ce documentaire examine cependant la possibilité de complicité, volontaire ou non, entre ces hauts dirigeants de l’armée

« Partenariat pour la paix », premier pas vers la candidature de ces trois pays à l’OTAN. Il s’agit d’un revirement de stratégie pour l’OTAN qui privilégiait jusque-là la conditionnalité, à savoir l’arrestation des criminels de guerre Ratko Mladic et Radovan Karadzic comme préalable à tout rapprochement, et qui espère par cette décision favoriser les forces progressistes serbes et bosniaques.

appuyées par l’Union Européenne (UE) s’émancipent rapidement, la Bosnie entre dans une guerre de purification ethnique imposée par Belgrade. Les Serbes de Bosnie (44% de la population de Bosnie-Herzégovine), emmenés par leur président autoproclamé, Radovan KARADZIC et le général Radko MLADIC, soutenus par le président de la Fédération Slobodan MILOSEVIC, mènent une guerre de massacres et de viols. Lors de la chute de Srebrenica les 12,000 hommes et enfants masculins sont exécutés, les femmes déportées. C’est

particulièrement enchevêtrées. Sarajevo, capitale et symbole d’une région multiethnique, est un des principaux enjeux de l’affrontement. 2 – les acteurs et les enjeux - Les Serbes de Bosnie, organisés en groupes paramilitaires ( = milices ) menés par Radovan Karadzic et soutenus par l’armée régulière de la Serbie de Slobodan Milosevic. Ils refusent toute accession à l’indépendance et défendent le principe d’une « grande Serbie » à la place de la défunte Yougoslavie - face à eux , les milices bosniaques

laisse la Slovénie accéder sans dommages excessifs à l’indépendance, il n’en est pas de même pour la Croatie et surtout la Bosnie Herzégovine, région où les diverses populations sont particulièrement enchevêtrées. Les Serbes de Bosnie, menés par Radovan Karadzic et soutenus par la Serbie de Slobodan Milosevic, refusent toute accession à l’indépendance. Sarajevo, capitale et symbole d’une région multiethnique, est un des principaux enjeux de l’affrontement. • Les Serbes harcèlent les habitants de Sarajevo