Rafael Alberti

portrait • Reflet sur le dossier de la chaise : idée du tableau dans le tableau (on y voit une fenêtre hors champs qui a été peint par un hollandais), ce détail peut faire penser à d’autres tableaux de Van Eyck - Autoportrait par miroir convexe & Rafael - Velasquez fait référence à une tradition sur 26 44 La grande odalisque, 1814, 162x190cm • Commande de Murat (reine de Naples) • On l’appelle aussi Pourtales • 1955 : présenté à l’exposition universelle • Fait critique dans la presse notamment

entreposés les imprimantes et les journaux : tombent en même temps les deux militants déjà cités qui s’occupaient des tirages, Miguel Díaz Lopez et Germán Aliaga. Simultanément sont arrêtés plusieurs militants dans plusieurs zones de la province : à Elche Rafael García Caro et son épouse Emilia Sánchez Barba, José Ramón Marcos Gilabert et son épouse Maria Estrella Portellano García, Bernardino García Caro, Juan Manuel González Bleda, Luis Sanz Tejedor y Joaquín Carreras Juan ; à Alcoy José Linares Montava

En el deporte Titre : Voya a hacer lo que ellos me digan Type et source : Narrativo y diálogo C. Arribas – El País Semanal 10/07/2005 Manuel : Cuenta conmigo - Première p. 16 Nombre de lignes : 25 Thèmes : Deporte (tenis) – Famosos (Rafael Nadal) – Comunicar (publicidad) Titre : Jugadores mediáticos Type et source : Narrativo M. Vázquez Montalbán Fútbol, una religión… Manuel : Juntos - Première p. 146 Nombre de lignes : 26 Thèmes : Comunicar - Deporte (Fútbol) – Economía (marketing

revista Caballo Verde para la poesía, en la cual es compañero de la Generación del 27[36]. En 1934, es cónsul en Barcelona, España; en Madrid en 1935. Durante este período, mantiene relaciones amicales particulares con Federico García Lorca (1898-1936), Rafael Alberti Merillo (1902-1999)[37] y Jorge Guillén (todos miembros de la Generación del 27). Cuando estalla la Guerra Civil Española en la que murió su amigo Lorca después del golpe de Franco (1892-1975)[38], regresa de nuevo a Chile, destituido de su cargo

dernier acte d’implantation portugaise en Afrique du Nord. [2]  La conception de cette forteresse a été pendant  longtemps attribué à Francisco da Hollanda, alors  que l’attribution à Benedetto da Ravenna est plus  récente. Dernièrement, l’historien Rafael Moreira,  qui avait tranché sur la question avec sa publication  de 2001, revient sur ses pas pour reproposer l’attribution à Francisco de Hollanda. Pour le moment,  donc, l’attribution de paternité est à considérer  comme non certaine à 100%. 

appartenu à la « Generación del 27 », un groupe de poètes qui admiraient le poète Góngora et les expressions savantes de la tradition littéraire espagnole. Ces jeunes poètes parmi lesquels figuraient Pedro Salinas, Gerardo Diego, Luis Cernuda, Rafael Alberti et Miguel Hernández, donnent ses lettres de noblesse à la métaphore. Cette nouvelle génération d’auteurs s’inspire d’œuvres traditionnelles de registre populaire («romancero» et «cancionero») et soutenu (poésie lyrique de Góngora et du Siècle

est pensionnaire à la Residencia de Estudiantes où, selon ses propres termes, il est « découvert » par le petit groupe d’intellectuels que forment, entre autres, Federico García Lorca, Luis Buñuel, Eugenio Montes, Pedro Grafias, Pepín Bello et Rafael Alberti. Se réunissant dans les cafés et restaurants de la capitale, ils amènent Dalí à se détacher progressivement de l’Académie dont il sera exclu en 19266. Au cours de ces années, il noue une amitié toute particulière avec Lorca qui vient passer ses

est pensionnaire à la Residencia de Estudiantes où, selon ses propres termes, il est « découvert » par le petit groupe d’intellectuels que forment, entre autres, Federico García Lorca, Luis Buñuel, Eugenio Montes, Pedro Grafias, Pepín Bello et Rafael Alberti. Se réunissant dans les cafés et restaurants de la capitale, ils amènent Dalí à se détacher progressivement de l’Académie dont il sera exclu en 19266. Au cours de ces années, il noue une amitié toute particulière avec Lorca qui vient passer ses

laisser apprivoiser par eux: la poésie n’est pas une nourriture qui élargit immédiatement l’essence dont elle est faite, il faut savoir s’en approcher pour bien la goûter, il faut se garder de toute banalisation. À l’occasion de la mort de Rafael Alberti, un grand artiste espagnol capable de s’exprimer à travers différentes formes d’art, J. Saramago, un grand écrivain portugais, prix Nobel de la Littérature, a repris des vers d’Alberti pour honorer la force de son écriture. Voilà les vers

(Vasari). La Renaissance qui naît en Italie, redécouvre l’idéal humaniste, politique, philosophique et artistique de l’Antiquité. Elle redécouvre l’œuvre vitruvienne dont le traité est édité pour la première fois à Rome en 1486, avec Leon Batista Alberti (1404-1472), architecte génois. Ce dernier nous livre en 1450, son traité, De re aedificatoria influençant radicalement ses contemporains qui imitent les formes antiques et s’en inspirent. Parallèlement à ce regain d’intérêt vitruvien, s’affirme