Râle

| |bagarre gene- | |romantiques dénonçaient | | | |rale, mais la pièce ne s’arrêta | |notamment les règles du théâtre| | | |pas pour autant et alla jusqu'à | |classique. V. Hugo qualifiait | |

d’apaisement pour la famille. Dans la chambre de la malade en présence de la famille, l’infirmière prononce des phrases courtes et laisse des silences assez long, « elle est en train de mourir », « c’est bien que vous soyez là » et après un troisième râle « ce n’est pas une nouvelle respiration », « c’est fini…elle est morte…elle vient de nous quitter » et après un silence, une ultime question : « souhaitez-vous rester seule avec elle ? ». J’ai été sensible à la qualité du dialogue établit avec la famille

LA LIBERTÉ GUIDANT LE PEUPLE Les bruits de la bataille qui faisait rage autour de lui lui firent reprendre ses esprits. Les balles fusaient ; les cris retentissaient ; le râle des agonisants se mêlait au chant de guerre de la Patrie ; les pleurs disparaissaient sous les crissements des épées que l’on croisait et les bruits sourds de la Révolution montante atteignaient peu à peu son esprit troublé. Il ouvrit péniblement les paupières découvrant la scène de chaos dans laquelle il se trouvait. Commerçants ;

derrière lui dans l’appartement. Charles était de l’autre côté, à genoux, les bras étendus vers Emma. Il avait pris ses mains et il les serrait, tressaillant à chaque battement de son cœur, comme au contrecoup d’une ruine qui tombe. À mesure que le râle devenait plus fort, l’ecclésiastique précipitait ses oraisons ; elles se mêlaient aux sanglots étouffés de Bovary, et quelquefois tout semblait disparaître dans le sourd murmure des syllabes latines, qui tintaient comme un glas de cloche. Une convulsion

passer un bon moment en famille avec les ami et le voisinage, c' est un moment de partage, Les différents type de bèlé : Il existe plusieurs rythme de bélè, un rythme pour chaque occasion : Un bélè pour les divers travaux : le lasoté ( champ) ; le ralé ( la pêche) etc ,,, Le Grand Bélè pour la fécondité de la terre : avec souvent des chants mélancolique/ dramatique Bélè pour annoncer une nouvelle ou un rassemblement (Béliya) Le bélè (lin'klè), qui se pratique au claire de la lune, elle peut exprimer

(1,5 point) Friauche, taule, tronche, sorbonne 8) Précisez la figure de style employée dans chacun des énoncés suivants a) La porte l'avait vomi. Métaphore et/ou personnification. b) …..lui, prolongeant son rire qui ressemblait à un râle. (1 point) Comparaison.

plus le chant du batelier Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile aux nattes repliées Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Astres cruels, et vous dieux inhumains Astres cruels, et vous dieux inhumains, Ciel envieux, et marâtre

pierre céda, et il se mit à l’ouvrage avec la pioche. Moi, je le regardais faire, plus noir et plus silencieux que la nuit elle-même; quant à lui, courbé sur son œuvre funèbre, il ruisselait de sueur, il haletait, et son souffle pressé avait l’air d’un râle d’agonisant. C’était un spectacle étrange, et qui nous eût vus du dehors nous eût plutôt pris pour des profanateurs et des voleurs de linceuls, que pour des prêtres de Dieu. Le zèle de Sérapion avait quelque chose de dur et de sauvage qui le faisait

d’habitude, on surcharge la barque des profs de français, déjà la plus plombée de toutes les matières. On colle à des élèves qui ont souffert en première avec six heures d’enseignement pour un coefficient de 3 + 2, deux heures pour un coeff 4 ! Bref, assez râlé [1], je m’y colle cette année, avec enthousiasme, puisque nous avons déjà en stock un article sur Zazie dans le métro de Raymond Queneau (que je bêcherai à l’occasion). Quant à Alfred de Musset, c’est un vieux pote, mais j’avais négligé de lire ses

comme la cloche mais il nʼy parvient pas. Les « chants » (v.10) renvoient aux « carillons qui chantent » (v.4). Seulement ici le résultat est complètement différent. Avec la cloche on a un « cri religieux » (v.7) tandis quʼavec le poète on a un « râle » (v.12). Lʼopposition entre Vie et Mort est donc nettement marquée. De plus, le poète aspire au caractère universel du chant de la cloche mais une fois encore cʼest impossible à cause de « sa voix affaiblie  » (v.11). On retrouve vaguement lʼimage