Ralentissement économique Et Tertiarisation

terrible dépression économique et 6 ans d'un conflit mondial qui a détruit un nombre considérable de richesses, le monde et en particulier les pays développés ont connu une prospérité économique pendant environ 30 ans de 1945 au début des années 70. Comme toutes les phases de croissance, elles sont cycliques, et donc suivies de crises, comme notamment celle de 1970, ou encore celles suite aux chocs pétroliers. Nous verrons donc quelles sont les différentes phases économiques de 1950 à nos jours.

s’orientent vers ce type de formation pour faciliter l’insertion des jeunes sur le marché du travail. Écarter les seniors et freiner l’entrée des jeunes est dangereux à la fois sur le plan économique mais aussi sur le plan social : ( Sur le plan économique : la concentration de l’activité économique sur les personnes d’âge intermédiaire(25-54 ans) n’est pas forcément la meilleure solution pour le marché du travail, les plus de 55 ans peuvent jouer un rôle très utile notamment vis-à-vis des

professions libérales) et d’une classe moyenne inférieure (travailleurs sociaux, infirmières). II. Les beaux jours des classes moyennes (1945-1975) 1) La prospérité économique des Trente Glorieuses profite aux classes moyennes bénéficiaires de redistribution des richesses par l’Etat-providence et de la tertiarisation de l’économie. Le pouvoir d’achat de ces classes est plus élevé avec l’entrée massive des femmes dans le secteur tertiaire et elles voient leurs taux d’équipement largement augmenter

a également participé à l’Association internationale des travailleurs. Ses principaux ouvrages sont Le Manifeste du Parti communiste (1848), Contribution à la critique de l’économie politique (1859) et Le Capital (1867-1894). I) Le contexte économique et social La révolution industrielle a des répercutions sociale. C’est ainsi qu’apparaissent les classes sociale : le prolétariat et le patronat. Le libéralisme de l’époque laisse désormais face à face salariés et employeurs ce qui génère des

krach de 1929 est une crise boursière qui se déroula à la Bourse de New York entre le jeudi 24 octobre et le mardi 29 octobre 1929. Cet évènement, le plus célèbre de l'histoire boursière, marque le début de la Grande Dépression, la plus grande crise économique du xxe siècle. Les jours-clés du krach ont hérité de surnoms distincts : le 24 octobre est appelé « jeudi noir », le 28 octobre est le « lundi noir », et le 29 octobre est le « mardi noir », dates-clés de l'histoire boursière. Cause(s). -La spéculation

économies-mondes britannique et états-uniennes. Sujet 3 : Les Trente Glorieuses, une évolution économique et sociale. Introduction : Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la France connaît des transformations économiques profondes qui entraînent des mutations sociales majeures. En même temps, la fin des Trente Glorieuses accentue, au début des années 1970, ces mutations durables. I. Les métamorphoses économiques et leur incidence sur la structure de la société française A. Le développement du

un peu plus du tiers. ( Le nombre total d’actifs augmente durant tout le 19ème siècle, mais de moins en moins rapidement; proche de + O.6 % l’an vers 1800, le taux d’accroissement est inférieur à + 0,3% à l’aube du 20ème siècle. Toutefois, ce ralentissement est surtout le fait des hommes : la part des femmes dans la population active progresse à partir de 1850 pour atteindre 36 % à la veille de la Première Guerre mondiale. ( Le diagnostic habituel — l’offre de travail n’a commencé à croître en France

l’entrepreneur qui choisit les combinaisons productives, qui prend les décisions d’investissements, ou bien celles concernant la recherche des produits nouveaux. Il prend un risque en pariant sur l’avenir. S’il refuse d’assumer les risques, il contribue au ralentissement de la croissance. b. Le rôle de l’état. Le rôle de l’état est essentiel dans une économie de marché. L’éco de marché suppose l’utilisation de règles pour mieux fonctionner. L’état doit les construire et les faire respecter. Il favorise le

un peu plus du tiers.  Le nombre total d’actifs augmente durant tout le 19ème siècle, mais de moins en moins rapidement; proche de + O.6 % l’an vers 1800, le taux d’accroissement est inférieur à + 0,3% à l’aube du 20ème siècle. Toutefois, ce ralentissement est surtout le fait des hommes : la part des femmes dans la population active progresse à partir de 1850 pour atteindre 36 % à la veille de la Première Guerre mondiale.  Le diagnostic habituel — l’offre de travail n’a commencé à croître en

semblent annoncer « la fin des classes sociales » A. Une tendance à la moyennisation 1. La remise en cause de la bipolarisation de la société Croissance des 30 glorieuses, Société de consommation de masse ; développement de l’Etat Providence La tertiarisation de l’économie et de la population active (70%) est le phénomène majeur de la période. La place des services (commerce, tourisme, social) a nettement pris le pas sur l’agriculture et l’industrie. La «fin des paysans» et le déclin des ouvriers,