Rama IV

à Paris. C'est lui qui a permis d'implanter en France le portrait d'apparat. Grâce à la qualité exceptionnelle de ses portraits, il étendit la renommée des Pourbus à l'Europe entière. Parmi ses œuvres marquantes, signalons le Portrait de Henri IV (cuirassé), le Grand Portrait en pied de la reine Marie de Médicis portant la somptueuse robe aux fleurs de lys de son sacre, un autre portrait de Marie de Médicis en habits noirs de deuil, ainsi que des tableaux à caractère religieux tels que Saint

régente de France par ses actions eut l’intention de gouverner la France comme il lui aurait du être donné. Elle était reine de France sous Henri II, cependant elle ne fut jamais vue comme tel. En effet, la loi Salique imposée par le Valois entre le IV et le VI siècle fait en sorte d’interdire l’accès au pouvoir à n’importe qu’elle femme5. Celles-ci peuvent agir symboliquement comme reines seulement quand le roi est trop jeune pour accéder au pouvoir ou par l’incapacité du roi. Donc par conséquent

détachent d'elle progressivement, à partir de 1591, les royalistes et les villes les unes après les autres. Malgré cet affaiblissement et la perte des alliés, la Ligue continue le combat contre Henri de Navarre, devenu Henri IV. Elle ne désarme qu’au moment où Henri IV abjure sa foi protestante suite à la conférence de Suresnes. Il est sacré roi à Chartres le 27 février 1594 et entre dans la capitale quelques mois plus tard. La chute de Paris marque pour la Ligue le commencement de la fin. Il

autres villes ; et également à des facteurs politiques : Dagobert Ier a créé la foire du Lendit au VII siècle , c'est un marché qui s'étend de la plaine de Saint-Denis à Paris , la foire du Lendit est à son apogée entre 1300 et 1360. En 749 Childebert IV ordonne que l'abbaye de Saint-Denis reçoive des droits : taxe etc, sur les marchants présents à cette foire qu'il soit à Paris, Saint-Denis ou dans les environs. Saint-Denis était dirigé par un abbé qui pratiquait une politique en faveur de son développement

Les Ménines (en espagnol : Las Meninas1, les demoiselles d'honneur), également connu sous l'appellation La famille de Philippe IV, est le portrait le plus célèbre de Diego Velázquez. Il a été peint en 1656. Le tableau est présenté au Musée du Prado2 de Madrid. La compositioncomplexe et énigmatique de la toile interroge le lien entre réalité et illusion et crée une relation incertaine entre celui qui regarde la toile et les personnages qui y sont dépeints. Cette complexité a été la source de nombreuses

travailler dans l'atelier d'Andrea del Verrochio où il est le condisciple de Léonard de Vinci entre autre. Dès 1472, son succès grandissant, il quitte son statut d'apprenti et reçoit ses premières commandes. A tel point que sous la demande du Pape Sixte IV, il part à Rome afin de contribuer aux fresques de la Chapelle Sixtine avec d'autres grands maîtres de l'époque. Le Pérugin y peint trois scènes, dont deux en collaboration avec Pinturicchio (le Baptême du Christ et Moïse voyageant en Égypte) puis une

oppositions, et même, défis à l’autorité temporelle : Prenons l’exemple du Royaume de Naples et de Sicile, la papauté revendique une souveraineté sur le Sud. Pour la succession de Jeanne II, contre Alphonse d’Aragon choisit par la défunte reine, Eugène IV soutient la cause de René d’Anjou, ce qui engendre une guerre dont Alphonse sort victorieux qui reçoit par un accord en juin 1443 l’investiture du pape pour son royaume. Cependant, le conflit reprendra avec le règne de Ferrante (Ferdinand Ier) et Paul

principes qui révèle également l'influence flamande dans le Portrait d'un jeune homme portant le sceau de Cosme l'Ancien et plus tard en 1478, le célèbre Portrait de Julien de Médicis. À partir de 1481, Botticelli est appelé à Rome par le pape Sixte IV pour décorer la chapelle Sixtine accompagné par Cosimo Rosselli, Domenico Ghirlandaio et Le Pérugin pour illustrer les vies de Jésus et Moïse sur les murs latéraux de la chapelle. La rivalité qui existe entre le pape, un Della Rovere et les Médicis

n’empêche que de droit, Henri de Navarre devenait incontestablement dès 1589 Henri IV, sur les fondements de la loi Salique ; il lui restait à affronter la Ligue. La mort de Charles X en 1790, sans qu’il puisse être sacré, facilite la tâche d’Henri IV. En effet, le vide politique va pousser le Duc de Mayenne à convoquer les États-Généraux en 1793, pour élire un nouveau souverain, et déclarant même être prêt à reconnaître Henri IV s’il abjure sa religion protestante. Seuls les partisans de la Ligue y seront

Thomas d’Aquin), et cela doit être conforme à la raison reflet de l’image divine. Deux limites au pouvoir royal : lois de Dieu et lois naturelles. Consultation de moins en moins féodale et de plus en plus technique. 1285 : début du règne de Philippe IV Le Bel (1285-1314) : demande des contributions de plus en plus nombreuses. 1295 Philippe le Bel lève les subsides sur le clergé sans demander l'autorisation au Pape 1296 Boniface VIII refuse que le clergé paie quoi que ce soit mais des représailles