Rangers de New York

-Insolubilité dans les bidonvilles -absence de réseaux sanitaire Pollution liées aux embouteillages Insuffisance de réseaux de transport Mauvaise gestion des déchets ETUDE DE CAS 2 New York, une mégalopole du nord P145 - Documents 2 et 3 1-elle est inégale. 2- les loyers son élevés. 3- problème de ghetto phénomène de gentrification : rénovation des cartiers pauvres – les pauvres sont donc chassés. Documents 1 et 4 4-

des galeries d'art, des manifestations répertoriées sur les calendriers internationaux... • Avoir plusieurs sièges sociaux d'entreprises mondiales, ou être un lieu important de négoce et d’échanges. Pendant le XXe siècle, Londres, Paris et New York ont toujours été considérées comme les Trois Grandes, c'est-à-dire, les métropoles qui influençaient le plus le reste du monde. Intéressons nous maintenant plus précisément au cas de Londres. Brève présentation de Londres : Londres est la capitale

différentes sessions de formation organisées au cours du séjour. le marché américain des vins (mission économique new york) La France a récemment perdu son titre de premier pays consommateur au profit des Etats-Unis, dont la consommation de vin a atteint 26,5 millions d’hectolitres en 2008. Même si les Etats-Unis sont un important pays producteur et occupe le 4ème rang mondial, 27% des vins consommés sur leur territoire sont importés, ce qui en fait un marché de choix à l’export. Le

capital circule sur toute la planète. Les banques, les assurances, les fonds de pension placent leurs avoirs sur les marchés financiers, là où le profit est le plus grand. 5 places boursières dominent ( 50 % de la capitalisation boursière mondiale) : - New York - Londres - Tokyo - Euronext (Belgique,France, Pays-Bas, Portugal) b) les IDE ● Les IDE (investissements directs étrangers) et les remises (transferts financiers) participent à la mondialisation financière. La répartition des IDE est très inégale

Collection de photographies des années 80 Le Pressionnisme de Graffiti Quik Le 21 juillet 1971, le New York Times révèle une nouvelle expression graphique, le Tag, et son auteur, le légendaire Taki 183. Aux premiers traits du marqueur s’ajoute très tôt la pression de la bombe aérosol, dont la couleur enrichit les œuvres et avive les rivalités artistiques. L’art sous pression est né à New-york « Le Pressionnisme, 40 ans de Graffiti » retrace cette histoire avec plus de 500 tableaux, la plupart

prise de décision dans les espaces urbains. Le phénomène le plus saillant est l’apparition de mégacités : 28 aujourd’hui (dont 6 en Chine), 41 sans doute en 2030.  D’autres métropoles, moins nombreuses, sont considérées comme des villes-monde (New York, Londres, Paris, Tokyo, Singapour, Hong Kong…) car elles réunissent de nombreux critères et notamment une forte attractivité internationale, une bonne insertion aux réseaux de transports. Elles développent aussi des stratégies de communication

fini. L’homme, au téléphone, me sourit à son tour, me tendit dix dollars et s’engouffra dans une des tours. Je dépliais délicatement son billet, le rangea dans ma poche et le regarda s’éloigner, heureux d’avoir gagné cette somme. Le soir tombait, New-York se réveillait à nouveau. Je rentrai dans mon nouveau chez moi. Ce chantier en construction près de Central Parc, à un croisement de la cinquième avenue. En chemin, je pris un hot-dog, à Willy, le marchand ambulant. Sa carriole sentait les oignons

« vide » Lee Miller est au centre de la photo. A gauche on peut apercevoir la photo d’Hitler qui regarde en direction de la statut venus a droite (venus représente la beauté incarné)qui la statut regarde vers Lee Miller. On peut apercevoir des bottes (rangers) par terre a cote d’un uniforme militaire. On peut aussi apercevoir que toute la photo et un carré déjà les carré sur le mur la photo a été pris en « carré »On peut apercevoir une croit gammé avec la chaise et le meuble a coté. sa vie: Lee Miller

Edward Hopper est né le 22 juillet 1882 à Niack, à New York dans une famille de modestes commerçants. Pendant son enfance il était assez seul, il n’avait pas beaucoup d’amis, il préférait lire ou dessiner. Il travailla pendant plusieurs années comme illustrateur en ne peignant qu’occasionnellement sur son temps libre. Puis par la suite il décida de se consacrer entièrement à la peinture et étudia donc à la New York School of Art de 1900 à 1906, et avait comme professeur Robert

s'installe à Manhattan, suit des cours du soir et exerce divers métiers. Au retour de la Guerre de Corée et grâce aux subventions de la GI Bill, il réussit à entrer à l'Université de New York. Après l'obtention de son master à l'Université de Brooklyn en 1958, il enseigne l'anglais aux lycées McKee et Stuyvesant à New York City, où il devient membre de la Fédération américaine des enseignants. En 1996, il reçoit le National Book Critics Award, puis le Prix Pulitzer l'année suivante, pour son récit autobiographique