Rapport Entre Dom Juan Et Tartuffe

d’après. Je ne pense cependant pas qu’un metteur en scène doit être prêt pour un projet. Il a juste l’envie d’avancer avec lui. Quand on est metteur en scène, on traverse sans cesse des univers différents, on est en pleine mutation. On fait comme des entrées et des sorties de scène en changeant à chaque fois de masques. Pour Les Fourberies de Scapin, on est revenu, avec mon dramaturge Marco Sabattini, aux origines de Molière, à des textes en italien et en espagnol. Molière m’est apparu avec sa parole

un texte théâtral 1. Molière, L’Avare, Les personnages 2. Molière, L’Avare, IV, 7 3. Molière, Le médecin volant, scènes XV, 1671 4. Molière, Dom Juan, Acte III, scène 1, 1665 5. Molière, Tartuffe ou l’Imposture, I, 4, 1664 Corpus 3 : préparation aux épreuves écrites du baccalauréat – Manuel scolaire rouge – p.217-219 1.Molière, préface du Tartuffe (1664) – 2.Pierre Nicole, Traité de la comédie (1667) – 3.Racine, préface de Phèdre (1677), Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les spectacles (1758)

Charakterkomödie .... 26 »Dom Garcie de Navarre«: eine Tragikomödie der Eifersucht........................... 27 »L'École des maris« und die Weltanschauung des aufgeklärten Bürgertums ... 28 »Les Fâcheux«: ein gesellschaftliches Kuriositätenkabinett .............................. 31 » L'École des femmes«: grande comédie und Literaturskandal......................... 32 Molières Replik in der » Critique de l'École des femmes« ................................. 35 »Le Tartuffe«: der fast vollkommene Triumph

est un mime. La parole est indissociable du théâtre. Argument 2 : Le théâtre est avant tout constitué de monologues, de tirades, de dialogues et d’apartés qui présentent une certaine unité. La double énonciation complète cette unité et crée un lien entre personnages et public. Argument 3 : Les paroles construisent l’intrigue et ses rebondissements, en permettent la compréhension. Le texte constitue la trame et le message de la pièce, et précise tous les éléments nécessaires à la dynamique de celle-ci

A la fin de l’année 1664, Molière dont le Tartuffe vient d’être censuré décide d’écrire Dom Juan. Il reprend un mythe qui parcourt toute l’Europe, un mythe bien connu du public du XVIIème siècle. En cette période classique, règne de « l’honnête homme », le personnage espagnol excessif intéresse le moraliste qu’est Molière mais, non sans ambiguïté, le dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, de bien des critiques qu’il dirige contre

cercle littéraire de Madeleine de Scudéry, dont elle admirait les œuvres2. Roman fondateur, La Princesse de Clèves est évoqué comme l’un des modèles littéraires qui ont inspiré Balzac, Raymond Radiguet3 ou même Jean Cocteau. L’histoire se déroule entre octobre 1558 et novembre 1559, à la cour du roi Henri II. Les personnages de La Princesse de Clèves sont des personnages historiques, quoique quelques détails soient modifiés. Mythologies Roland Barthes Le catalogue des mythes contient un certain

comportement physique de l’hypocrite : gestes et intonations de la dévotion, de la compassion, du repentir, du désir amoureux, du calcul. * comparer les deux portraits de Tartuffe faits par Dorine (I, 4) et Orgon (I, 5) avec sa 1ère apparition sur scène (III, 2)==> les attentes concernant un personnage * le 1e entretien entre Tartuffe et Elmire : mise en espace et en gestes du désir amoureux et de sa justification (III,3) * la scène de repentir (III,6) : un retournement de situation * une

largesses de son élève mais voudrait qu'il soit capable d'apprécier la danse à sa juste valeur. Le Maître d'arme enseigne le maniement du fleuret à M. Jourdain. Très sûr de lui et de la supériorité de la science du combat, il provoquera une dispute entre lui, le Maître à danser et le Maître de musique par son mépris pour leurs arts. L'ensemble tournera à la bagarre quand le Maître de philosophie viendra y mettre son grain se sel. Le Maître de philosophie plus rhéteur que véritable philosophe, décrètera

Molière Scène d’exposition` ; Acte I, scene 1       En effet c'est une scène d'exposition à deux personnages : Alceste le bourru, et son ami, Philinte l'amical. Une querelle s'instaure entre les deux hommes. Le héros de la pièce est présent dès le début. En effet nous entrons dans une dispute entre Alceste et Philinte : le premier cherche le conflit alors que le second est bien plus conciliant. Ils sont amis. Cette amitié nous apparaît plus solide que la simple politesse, mais Alceste refuse

favorable à la critique (II). Toutefois, si le théâtre est propice à la critique, il n'est pas, ou n'a pas toujours été, libre (III). Comme l’a dit Bertolt Brecht, «Le théâtre consiste à fabriquer des représentations vivantes d’événements rapportés ou inventés, qui opposent des hommes, et cela aux fins de divertissement ». Ainsi, lorsqu’ils vont au théâtre, les spectateurs désirent, avant tout, se distraire en s'amusant (A) ou bien en cherchant de l'émotion (B). Ils cherchent, en quelque sorte