Rapport élevage Bovin

développé, alors que les bovins étaient plus rares. Un passage de l'historien Polybe atteste que la viande de porc occupait une place essentielle des populations italiennes, ce qui n'était pas le cas pour les autres pays du pourtour de la Méditerranée. L'élevage bovin tenait surtout à ce que les bœufs étaient les seuls animaux de trait disponibles pour l'agriculture, ils étaient employés principalement pour les labours. Il n'y avait pas de séparation entre agriculture et élevage : le bétail était généralement

part importante des surfaces agricoles (70 % pour 54 % au niveau national), des zones humides (3e région française) et des espaces littoraux, et la part faible des forêts (11 % contre 28 %). •  L’agriculture productiviste a imposé l’association élevage bovin, céréales et plantes sarclées, et se spécialise localement dans le vignoble (pays nantais, Anjou, Saumurois), les vergers (val d’Anjou) et le maraîchage (pays nantais). Cela n’empêche pas la région d’être première pour les surfaces cultivées en

GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT TUNISIE PROGRAMME D’AJUSTEMENT DU SECTEUR AGRICOPROLE Rapport d’évaluation de performance de programme (REPP) DEPARTEMENT DE L’EVALUATION DES OPERATIONS (OPEV) 27 août 2001 TABLE DES MATIERES Page MONNAIES, SIGLES ET ABREVIATIONS, PREFACE, NOTATIONS, DONNEES DE BASE DU PROGRAMME, RESUME DE L’EVALUATION (i-ix) 1. LE PROGRAMME 1.1 1.2 1.3 1.4 Contexte économique Formulation du programme Objectifs à l’évaluation Financement 1 1 2 3 4

limite car les USA sont très dépendants de leurs importations. Primaire: 1er puissance agricole au monde, produit + du 1/3 de la valeur de la production mondiale. → maïs, soja, agrumes, coton, arachides, produits liés à la pêche, sucre, blé, bovin, vin. Exportation US ~ 15% au monde. (1er puissance agricole.) Espace agricole très étendu, diversifié, climat variable, degrés de mécanisation très élevé, grandes exploitations, rendements élevés car utilisation massive d'engrais et d'OGM, gestion

terres : Mato Grosso. On a des exploitations bien reliées au port. L’intérieur du pays se consacra à l’élevage sous forme extensive dans de très grands domaines : fazendas : plus de 10 000 hectares. : Élevage de bovins, vache etc. * Dont le brésil, premier producteur de café, canne à sucre, bovin en 2008 Aussi, troisième producteur de porcs 102 000. Donc de grands producteurs mondiaux. A partir des années 1920, industrialisation du pays qui dispose aujourd’hui d’une gamme diversifiée l’industrie :

| | |Laisser émerger librement les propositions en veillant qu’il n’y ait pas de contresens par rapport aux notions vues les années | | |précédentes et inviter les élèves à vérifier leurs hypothèses. | | |Phase 2a : recherche travail

En élevage porcin, les consommations d’énergie varient beaucoup selon le type d’élevage, naisseur ou naisseur-engraisseur. Une truie nécessite 983 kWh/an chez le naisseur-engraisseur, alors que chez un naisseur, elle n’exige que 403 kWh/an. La consommation d’énergie totale dans les élevages de porcs est de 1,2 TWh. Il s’agit à 70 % d’électricité, utilisée pour les besoins de chauffage (46 %) et de ventilation (39 %). La consommation éner- gétique peut varier de 1 à 3 entre les élevages les

pose un problème de conscience, en particulier la balance entre la douleur infligée et le bénéfice pour le patient. Le problème de l’usage des animaux dans un but thérapeutique a suscité deux approches, l’une privilégie le côté utilitaire l’autre le rapport risque-bénéfice de l’usage de l’animal. En effet, l’élevage d’animaux en vue de xénogreffe présuppose des conditions particulières, draconiennes en ce qui concerne leur reproduction et le maintien de leur état sanitaire exempt d’organismes pathogènes

Rapport de stage Cabinet vétérinaire du dr SOULIE 1, avenue Jean Jaurès 42110 Feurs tél : 04 77 27 14 36 MAITRE DE STAGE : DOCTEUR VETERINAIRE SOULIE Philippe Année scolaire : 2009-2010 Sommaire I : Identification du lieu de stage : a) nom de l’entreprise b) sa date de création c) son secteur d’activité d) sa taille e) son statut juridique f) son histoire et son emplacement

développement : le marché des produits bio à progressé de 32 % en 2 ans. Le marché des produits alimentaires issus de l’agriculture biologique a atteint 3,4 milliards d’euros TTC en 2010 (+10,8% vs 2009), avec des prix globalement quasi stables par rapport à l’an passé. Le marché des produits alimentaires bio se porte bien. Le développement de la production va de plus en plus permettre de satisfaire les attentes des consommateurs avec des produits de plus en plus de proximité. Les achats à l’étranger