Ravage

supprimer les armées ainsi que juger les Nazis survivants. L’Allemagne ne formait donc plus un pays unifié mais plusieurs « états »gouvernés par des personnes non allemandes, c’est un nouveau début pour elle. Deuxièmement, dans de nombreux pays, les ravages dû à la guerre n’étaient pas des moindre, que ce soit au niveau des habitants qu’au niveau des habitations. En Allemagne, plus ou moins 7 000 000 personnes ont perdus la vie, civiles et soldats confondus, ce qui représente 12 % de la population d’avant-guerre

de gens misérables est dessinée au crayon, sur un fond jaunâtre, l’ensemble étant destiné à accentuer l’effet de misère. (visages creux, traits tirés et rides marquées, seul l’enfant est encore joufflu, la crise n’ayant pas eu le temps de faire son ravage). L’homme à la casquette au 1er plan, ainsi que celui au béret du 2è plan peuvent symboliser les ouvriers dont les salaires s’amenuisent au fil des jours . L’homme au chapeau et celui âgé à droite au 1er plan rappellent que les employés, donc la

arme économique pour combattre le communisme. Il correspond entre autre au côté économique de la Doctrine Truman développée en 1945, doctrine visant à limiter la zone d’influence de la sphère soviétique. La pauvreté, implantée en Europe suite aux ravages de la Seconde Guerre Mondiale, pourrait correspondre au berceau du communisme. Ainsi, dans un contexte de bipolarisation mondiale entre deux blocs que tout oppose, la France choisit son camp et se place sous la protection d’une superpuissance influente

travers le thème de l'alcool mais aussi du comportement de Gervaise qu'on voit à quel point l'hérédité est présente dans les Rougon-Macquart. 1)L'alcool L’alcoolisme est un thème récurrent et central du roman. Zola en décrit avec précision les ravages. L’alcool déshumanise. Il fait perdre toute dignité à l'homme, le rabaisse - il suffit de penser à Coupeau qui dort vautré dans ses vomissures. Le thème de l’alcool permet d’illustrer le déterminisme des caractères et la thèse naturaliste. Les parents

monde extérieur. - Le père Paneloux voit dans l’épidémie tout ce qui suit, sauf une grâce qui permet aux hommes de faire des actes de charité. Dans la ville, avec l'arrivée de l’été, les crimes se multiplient mais les habitants s'habituent aux ravages de l’épidémie. À l’approche de l’automne, Rambert rejoint Rieux et Tarrou dans leur lutte acharnée contre la peste. Plus tard, on assiste à l’agonie d'un jeune enfant, une mort et une souffrance atroce qui provoque chez Paneloux une prise de conscience

romans, des encyclopédies... Mais l'on oublie la cause de ce désintérêt ou du faible taux de lecture au Maroc. Ceci est dû essentiellement au système d'éducation au sein du foyer et à l'école, ainsi qu'au taux élevé d'alphabétisme dans notre pays et au ravage qu'a fait Internet. On constate qu'il y a beaucoup de jeunes qui sont très acharnés par la lecture, pour enrichir leur vocabulaire, pour s'instruire et pour se doter d'un fort bagage en terme de langues et visant une bonne communication. Cependant

par ses enfants chez sa fille Aïni. C'est une autre bouche à nourrir. C’est pour cette raison que Aïni est désemparée dans toute l’histoire. Le roman se referme sur le sourire de Omar, qui symbolise l’espoir d’un jour nouveau. L’incendie L’incendie ravage les montagnes paisibles de la région de Tlemcen, il détruit les gourbis agricoles et inflige le cœur des hommes. En vacances dans sa famille, le petit Omar, tourmenté, assiste à cet embrasement. Les fellahs s’insurgent, se révoltent et décrètent la

présentes, évocations qui ne peuvent venir du "papé" car celui-ci ne connait pas cet aspect de la guerre. Ainsi la "terre rouge" (l.32) peut-elle renvoyer au sang versé par les soldats morts au combat. Le narrateur ne cesse toutefois de nous décrire les ravages de cette guerre sur le monde paysan, comme on l'observe lorsqu'il fait référence aux manque de charrues (l.31 : "il n"y avait plus de charrues pour ronger la lande"), ou aux outils agricoles faisant défaut (l.33 "les bêches", l.33 "les houes", l.34

décidèrent de l’appeler tout simplement Ange, car il allait réellement être la lueur d’espoir permettant de sauver le monde. Lors de sa création, Ange eu un maitre, Nanahara, qui lui inculqua les bases d’une survie saine, dans ce monde qui fut vite ravagé par les conflits engendrés par Hades. Ange, afin de conserver la plus grande neutralité possible, a préféré choisir la classe des humains. Hades s’était renseigné sur toutes les classes du monde de Perfect world avant de s’y infiltrer frauduleusement

ratée???) ou au cours d'un évènement difficile à vivre, ou tout simplement par une gaffe, une bévue, une maladresse. ALors le "sij'avaissu" surviens, petite bestiole suspecte,  qui nous mène à la culpabilité. Si j'avais su...et bientôt nous voilà ravagé d'angoisse : j'aurai dû....je n'aurai pas dû.....il faut que je m'explique....non je ne peux rien y faire... Pourtant, lorsque nous regardons derrière nous, nous constatons que nos "si j'avais su" sont la plupart du temps à l'origine d'une belle