Ray Bradbury Fahrenheit 451

politique en particulier. C'est ce que fait le metteur en scène Michael Moore pour tenter de déstabiliser la mentalité de certains Américains notamment par rapport au port d'arme autorisé aux civils dans Bowling for Columbine en 2002 et aussi dans Fahrenheit 9/11 en 2004. Il parvient en effet à poser les bonnes questions, celles qui amènent chacun à réfléchir, et ce, sur un ton toujours humoristique ou cocasse pour ne pas laisser le spectateur sombrer dans une déprime devant les accumulations de faits

2000.- 445 p..- Science-fiction Bradbury, Ray.- Chroniques martiennes.- Denoël, 1997.- 366 p..- Présence du futur Résumé : 2030. Les Terriens arrivent enfin sur Mars. Pour y découvrir une bien curieuse planète, dont les habitants ont des yeux d'or et lisent dans vos pensées, ont construit de superbes cités, ont peut-être atteint la suprême sagesse... Le rêve martien vient relayer le rêve américain? Jusqu'au jour où il tourne au cauchemar. Bradbury, Ray.- Fahrenheit 451.- Denoël, 1995.- 290 p..- Présence

organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur. Cette forme littéraire a été rendue célèbre par Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne de Karin Boye (1940), 1984 (1948) de George Orwell, Fahrenheit 451 (1954) de Ray Bradbury et Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine. Mais quelles sont les véritables propriétés et but d’une dystopie, et comment a t-elle pu se faire une place dans la littérature entre le XIX et XXeme siècle? Le origines même du mot sont

devenus des classiques du genre dystopique : Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine, Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne (1940) de Karin Boye, 1984 (1949) de George Orwell, Limbo (1952) de Bernard Wolfe, Fahrenheit 451 (1953) de Ray Bradbury, La Grève (Atlas Shrugged, 1957) de Ayn Rand, La Planète des singes (1963) de Pierre Boulle, Un bonheur insoutenable (1970) de Ira Levin, ou encore La Servante écarlate (1985) de Margaret Atwood. Les mondes terrifiants décrits dans

jamais intéressé. Le livre “Le Spleen de Paris” me semblait alors indifférent aux autres romans que j’avais pu lire. J’attends d'un livre qu’il soit inspirant ou intriguant de la première page, à la dernière comme l’incroyable livre Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. Les poèmes: Je suis moi même très intéressé par les poèmes. Je trouve cependant les anciens poèmes, pour la plupart, compliqués et souvent difficiles à exploiter. De plus, les thèmes abordés à cette époque ne sont pas très variés

siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique, moins parfaite et plus libre. » — Nicolas Berdiaeff Ce monde qui se veut parfait évoque déjà celui du Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ou d’Un bonheur insoutenable d'Ira Levin. Toutefois, Le Meilleur des mondes est plus souvent rattaché à la littérature générale qu'à la science-fiction, comme d'ailleurs 1984 de George Orwell auquel il est souvent comparé, les deux ouvrages

finir par devenir fou. En effet, être différent des autres, c’est également pouvoir être fou. Bien sûr, il peut arriver que ce soit le reste du monde qui soit fou, hypothèse certes assez rare, mais plausible ; c’est le cas dans le livre de Ray Bradbury, Fahrenheit 451, où le personnage de Montag semble s’imposer comme la seule personne rationnelle face à un monde où la lecture est devenue un acte abolie et ignoble. Néanmoins, dans une démocratie que l’on peut qualifier de libre comme la nôtre, cette

personnage de roman remet en question la société à laquelle il est attaché, que d’autres fois il se met en retrait de sa communauté et que quelques fois il s’oppose à la société. Effectivement, certains personnages comme Montag dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury remet en cause son mode de vie et celui de ses semblables et pour cela enfreint certaines règles en lisant des livres pour savoir si les interdictions de lire sont fondées. Nous pouvons donc dire que contrairement à ses compatriotes Montag

le merveilleux, le fantastique : The Black Cat, The Fall of the House of Usher, The Tell-Tale Heart,  La science-fiction : les contre-utopies de H.G. Wells ; The Time Machine (1895), The War of the Worlds (1898), Dune de Frank Herbert, Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, 2001, A Space Odyssey de Arthur C. Clarke, Brave New World de Aldous Huxley ou encore The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams,  L'absurde : des scènes de Beckett (Waiting for Godot - 1953) ou de Pinter (The Caretaker -

Big Brother. Ce Big Brother est partout, il voit tout, entend tout et sait tout. Winston Smith, bien que la situation le dérange, est contraint de se plier aux lois. Nous retrouvons la même chose dans un autre livre de science fiction, Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, où le personnage principal, Montag, est lui aussi soumis à la société, très puissante à chaque fois. Les deux personnages sont conscient de la situation et veulent changer les choses, certes, mais à chaque fois, la société les devancent