Raymond du Temple

L’Atlas de la mémoire dans l’œuvre de Georges Perec Mémoire de master présenté par Simon Miaz sous la direction de Muriel Pic Institut de littérature française Faculté des lettres et sciences humaines Université de Neuchâtel Juin 2010 Simon Miaz Temple 9 2052 Fontainemelon 032.853.15.15. L’Atlas de la mémoire dans l’œuvre de Georges Perec Table des matières !"#$%&'(#)%" ***************************************************************************************************************** +! !! ,-.#/012&32/02454%)$3

Fayard. M. A~ vm. Date 80uscrit un abonnement an 58 F 1 Etranger 70 F o d'un o de six mois 34 F 1 Etranger 40 F règlement joint par o mandat postal o chèque bancaire 0 chèque postal Ren voyez celle carte à La Quinzaine Unir.lre 43 rue du Templ'~. Paria 4. c.c.P. 15.SH.53 Paris TBLEVISION Du fond des âges Eugène Le Roy /acquou le Croquant Calmann-Lévy éd., 357 P . L'Ennemi de la mort Calmann-Lévy, 326 p. Il avait toutes les qualités pour ne pas • réussir » : timide, fier, intransigeant

didactiques... On dit en général que la tonalité dépend de l'émotion, du sentiment que l'auteur souhaite faire passer à son lecteur. Exercices d'application : Quels critères peut-on choisir pour définir au mieux chacun des textes suivants ? 1. « Dans un temple en stuc de pommes le pasteur distillait le suc des psaumes. » Robert Desnos 2. De la pollution. – Récupération du verre. « Quelques gestes simples pour protéger l’environnement. Participez à la récupération du verre. Pour une tonne de verre

descendants de « nègres ». D'autres auteurs, comme Mubabinge Bilolo, reprendront et développeront cet argument. La plupart des égyptologues contestent cette thèse en se basant sur les milliers de représentations humaines figurant dans les tombes ou les temples d'époque pharaonique : lorsque les Égyptiens y font figurer d'autres peuples, comme les Syriens, les Libyens, ils leur donnent d'autres traits et d'autres vêtements (les Syriens portent la barbe et une robe, par exemple). Or ils ont maintes fois représenté

qui désigne ce qui est inviolable. Pour les Grecs, cette immunité est conférée tant à des individus (athlètes, ambassadeurs) qu'à des sites (temples). A Rome en revanche, l'asile ne désigne qu'un lieu, refuge inviolable dont la nature est toujours religieuse. Cette traditionnelle inviolabilité des lieux saints se retrouve aussi chez les Hébreux. Les temples de Jérusalem et de Léontopolis (Egypte) peuvent accueillir les meurtriers, responsables involontaires de la mort d'un homme, mais non les assassins

réciproques qui à long terme s’équilibrent avantageant de la même façon chacune des parties concernées. » L’Antiquité nous a légué des constructions monumentales dont on peut aujourd’hui encore admirer les vestiges (pyramides d’Egypte, temples Grecs et Romains, temples Maya, …), dont le but initial n’était absolument pas tourné vers l’échange marchand. Au-delà de ces caractéristiques, on peut quand même rappeler que l’Antiquité est aussi la période où se sont développés les premiers échanges marchands

criminels (vers 1683), mais aussi la déesse Vesta dont le culte était assuré, dans son temple, situé dans le Forum, par un collège de «vestales», des «vierges» (vers 1744), appelées en latin «virgo vestalis», qui, entrées entre six et dix ans, faisaient vœu de chasteté et d’ascétisme, accomplissaient un sacerdoce de trente ans durant lequel elles veillaient sur le feu sacré de la cité : «Ils la mènent au temple, où depuis tant d’années Au culte des autels nos vierges destinées Gardent fidèlement

criminels (vers 1683), mais aussi la déesse Vesta dont le culte était assuré, dans son temple, situé dans le Forum, par un collège de «vestales», des «vierges» (vers 1744), appelées en latin «virgo vestalis», qui, entrées entre six et dix ans, faisaient vœu de chasteté et d’ascétisme, accomplissaient un sacerdoce de trente ans durant lequel elles veillaient sur le feu sacré de la cité : «Ils la mènent au temple, où depuis tant d’années Au culte des autels nos vierges

effective des individus et des groupes ne parvient jamais à réaliser, alors que l’idée d’«éthique» laisse davantage entendre le souci d’une réflexion théorique, pour ne pas dire académique, comme celle qui nous conduit aujourd’hui à nous retrouver dans ce temple du savoir de l’ISSC/Gbado-Lite. Les philosophes grecs comme les citoyens grecs, pour leur part, ne connaissent que l’éthique. Ce qui intéresse en effet l’homme grec, c’est l’ethos des hommes, entendons leur attitude et leur conduite face aux difficultés

Nemrod parle le pré-babélien. Mais c’est une hypothèse qui ne peut pas tenir, vu que Dante croyait que l’Hébreu était la langue mère. Deuxième hypothèse (rappel) Cette seconde approche nous est donnée par des exégètes voire des savants comme Raymond (???) qui essaient de trouver un sens authentique à ces mots. Mais c’est toujours plus ou moins tordu vis-à-vis du contexte général (ils se basent sur des langues orientales pour appuyer leurs idées). Troisième hypothèse Pour d’autres, il est