Rayon de courbure

accélération [pic] est porté par la normale à la trajectoire. Il passe donc par le centre O du cercle ; on dit qu’il est centripète. Une force centripète permet de maintenir un objet dans une trajectoire elliptique, qui est dirigée vers le centre de courbure. Dans un mouvement circulaire uniforme, le vecteur accélérateur [pic] est centripète et de valeur constante : [pic] = Le vecteur accélération dans la base de Frenet L’ensemble des deux vecteurs unitaires ([pic], [pic]) constitue la base de

des matériaux. Ces ondes sont appelées ondes électromagnétiques, et correspondent à toutes les manifestations de la lumière, dans tous les domaines de longueur d'onde (ondes radio, domaine micro-onde, infrarouge, domaine visible, ultraviolet, rayons X et rayons gamma). La discipline qui étudie les champs magnétiques statiques (ne dépendant pas du temps) est la magnétostatique. Les applications de la maîtrise de ce champ sont nombreuses, même dans la vie courante : outre le fait que celui-ci est

de transfert et diffraction - Tâche d’Airy - Résolution L’optique p q - … Ce que perçoit l’œil q p ç Une science vieille de 2000 ans • Grecs: Aristote (384-322 av JC) : éther (pas de vide) Euclide (325-265 av JC) : loi de la réflexion, rayon lumineux Ptolémée (100-170 ap JC) : étude de la réfraction (p la loi) ( p ) (pas ) Héron d’Alexandrie (100 ap. J.-C.) : trajet le plus court Ibn Al-Haytham (965-1039) : concept d’image, formation des images /l’œil y ( ) g g 13ème siècle: miroirs, besicles

mobile M parcourt l'axe OX d'un mouvement rectiligne uniforme de vitesse . Il n'est donc soumis à aucune accélération. Un disque centré en O porte le repère xOy. Si le disque ne tourne pas, la trajectoire de M sur le disque à partir de 0 suit un rayon jusqu'au bord du disque (figure 1). Mettons le disque en rotation à une vitesse uniforme de radians.s-1. La trajectoire sur le disque (c'est à dire la trajectoire telle que la voit un observateur fixé au disque) sera alors une spirale (figure 2),

existence demeure entourée de mystère. Contrairement aux arcs-en-ciel, dont la position semblent changer en fonction de celle de l'observateur, l'aurore boréale naît toujours en des points précis dans la haute atmosphère, qui ont l'apparence d'arcs ou de rayons semblables à des flammes. Mais leur lumière étrange et irréelle n'est pas le résultat d'une combustion ; elle ressemble plutôt à la lueur provoquée par des décharges électriques dans un milieu fluorescent. Les aurores boréales et australes apparaissent

captée par la cornée est concentrée vers le cristallin a travers l’iris. L’iris peut s’ouvrir ou se contracter selon la luminosité afin d’assurer le passage d’une énergie lumineuse suffisante. La lumière traverse ensuite le cristallin qui dévie les rayons lumineux et rend possible la formation d’images sur la rétine. Lorsqu’on fixe un objet,son image se forme sur la fovea.C’est la zone de la rétine ou l’acuité visuelle est la meilleure. Elle est uniquement constituée de cônes et représente un millième

PILOI' Il, I:N 1, O I)I' L BI SI, On retient la cotation la plus cle~ ée >?>1>0 1)['  40 41 - DEFORMATIONS EN FORME D'OGIVE EN FORME DE POIRE ,~ ' S I ' se caractérisant par une diminution du rayon de courbure des plaques de sommet avec inversion des rayons de courbure de part et d'autre des plaques de sommet 42 - APLATISSEMENTS BUSE CIRCULAIRE BUSES DE TYPE "PASSAGE" et DE TYPE "ARCHE" ~ --♦ --_ , , . 1 -----_ ~~ , , , , . , ~ ~ 42 .3 . . .. , ,. ~, ,

auquel sont proportionnelles les forces de pesanteur, est faible par rapport à sa surface. II en est ainsi : - dans les très petites gouttes, car leur surface (4πr2) devient de plus 4 en plus grande par rapport à leur volume ( π r 3 ) lorsque leur rayon r diminue. Ainsi, les très 3 petites gouttes sont-elles presque rigoureusement sphériques (on rappelle que la sphère est la figure qui a la surface minimum pour un volume donné), tandis que dans les plus grosses, la pesanteur joue un rôle de plus en

avait développé la théorie corpusculaire de la lumière. Au XVIIIème siècle la vitesse de la lumière été connu précisément et la notion de vitesse de libération existait déjà. Ainsi en 1772 John Michell publia un compte rendu consacré à la courbure d’un rayon lumineux au bord d’un astre. Mais c’est plus tard en 1784 que Michell 3 écrivit une lettre à Henry Cavendish physicien et chimiste britannique, qu’il avait rencontré à Londres, et à qui il a avait exposé ses idées. Cette lettre d’une

transparent, homoène et limité par deux surfaces sphérique et une surface plane. Propriétés fondamentales des lentilles convergentes : Tout rayon passant par le centre optique O d’une lentille ne subit pas de déviation. Tout rayon incident parallèle à l’axe optique d’une lentille convergente émerge en passant par le foyer principal image F’. Tout rayon passant par le foyer principal objet F d’une lentille convergente émerge parallèlement l’axe de optique. A travers une lentille divergente