Rayon de la mort

Geissler : c’est un tube de verre utilisé pour démontrer les principes de la décharge plasma. Il a été inventé par le physicien allemand Heinrich Geissler en 1857. Un rayon cathodique est un faisceau d'électrons. Présentation de Crookes : William Crookes est un chimiste et un physicien britannique, né à Londres le 17 juin 1832 et mort à Notting Hill en Londres le 4 avril 1919. Il fit ses primaires à l'école de Chippenham. Sa carrière scientifique a débuté très tôt, dès ses 10 ans, lorsqu'il est admis

les UV peuvent provoquer des brûlures (un coup de soleil). Puis la peau pèle signalant la mort de plusieurs cellules. Plus les couches profondes de la peau sont touchées, plus la brûlure est grave. • Pourquoi la peau rougit en cas de coup de soleil ? La peau rougit car les ultra-violets B agressent les cellules de la peau, en particulier l’épiderme ce qui créé une réaction inflammatoire. • Pourquoi les rayons ultraviolets sont dangereux ? Ils sont dangereux car s’ils transpercent la peau, certaines

l'eau fait du bruit "la rivière chante" et l'eau s'écoule "follement". On peut aussi voir que le paysage est très éclairé. Le reflet de l'eau sur les herbes projette une lueur argentée. "Le petit val qui mousse de rayon " signifie que cette scène se passe durant la journée puisque le rayon représente le soleil.  Dans le deuxième quatrain, un soldat dort sur l'herbe. Pourtant le cresson est de couleur bleu, ce qui n'est pas très normal puisqu'il devrait être vert. L'auteur a voulu rendre le lecteur

rien à la vie en ville, ayant vécut toute son enfance à la campagne, mais fait preuve d'une détermination qui la pousse à donner le meilleur d'elle-même, souvent pour gagner son salaire et permettre à ses frères de vivre confortablement. Suite à la mort de leurs parents, Denise se fit la promesse de ne jamais se marier pour continuer à veiller sur ses frères, ce qui peut expliquer qu'elle ne se soit pas mariée à Valognes, son département d'origine qu'elle partage avec Deloche. Jean Baudu Frère

Nous allons vous présenter certaines œuvres de Victor Hugo. Commençons par les œuvres poétiques: Les rayons et les ombres publié en 1840, est une œuvre littéraire dont les Rayons sont l'allégorie de la connaissance et les ombres celle de l'ignorance. Dans ce recueil, le poète a pour but d'éclairer les ombres grâce aux rayons, ensemble ils forment la vie. Les châtiments qui parut en 1853 est une satire politique. Ce recueil fait ressortir une fureur vengeresse contre Napoléon III, son coup d'état

Auchan: Rayon Images et Sons. Sommaire p.3 remerciements p.4 Introduction p.5 Activité p.6 Conclusion 2 Remerciements Leroy Jean-Baptiste à Odomez le 28/06/2013 13 rue du bois de l’abbaye 59970 Odomez Stagiaire Lycée Notre Dame des Anges Saint-Amand-les-Eaux à Mr Cédric Servent et son équipe, Objet :

‘’Comme un dernier rayon…’’ Poème de cent vers «Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Animent la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaie encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posée sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint

......................................................................................................p.3 I- Petite introduction à la radioactivité..................................................................p. 4 De la découverte des rayons X à la radioactivité : chronologie des faits..............p. 4 Généralités sur la radioactivité.............................................................................p. 6 Définitions Rayonnements Unités Expositions II-

procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |      verdure, rivière, herbes, soleil, montagne, rayons. |États opposés | |Nature | |      Le champ lexical de la nature nous suggère davantage | |

du commentaire du poème « Le dormeur du val » Le dormeur du Val C’est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait