Réaction d'oxydoréduction

Polynésie 09-2009 EXERCICE III. OXYDATION DU PROPAN-2-OL (4 points) http://labolycee.org Dans cet exercice, on étudie l’évolution temporelle de la réaction d’oxydation du propan-2-ol par les ions permanganate. Cette réaction aboutit lentement à la formation de la propanone. L’équation (1) associée à la réaction s’écrit : 5C3H8O(aq) + 2MnO4–(aq) + 6H+(aq) = 5C3H6O(aq) + 2Mn2+(aq) + 8H2O(l) (1) La transformation associée sera considérée comme totale. Préparation du mélange

du temps donc la vitesse de réaction diminue également. 3.7. Transformation totale ou limitée. 3.7.1. On détermine l'échelle verticale de la figure 2: 8,0cm ( 1,6 soit 1,0 cm représente une absorbance de 0,2 Entre A = 1,4 et A = Af , il y a 0,3 cm, soit 0,3(0,2 = 0,06 donc Af = 1,46. soit [I2]f = [pic] = [pic] xf = [pic] xf = [pic] = 8,90(10–5 mol 3.7.2. ( = [pic] = [pic] ( = [pic] = 1 = 100 % La transformation est totale. 3.8. Le temps de demi-réaction est la durée nécessaire pour

plus ductile. En solution, l'aluminium se trouve le plus généralement sous la forme d'ions Al3+. Il s'oxyde lentement à froid et rapidement à chaud pour former l'alumine Al2O3. L'action des acides sur l'aluminium produit l'ion cité plus haut. La réaction de Al avec NaOH produit de l'aluminate de sodium NaAlO2 et du gaz dihydrogène H2, selon l'équation : Les hydroxydes d'aluminium s'obtiennent en général en précipitant une solution contenant des cations Al3+ à l'aide d'une base. Cette méthode permet

3) Événements ayant conduit à l'accident 4) L'accident 5) Le feu de graphite 6) En résumé II) La gestion de la catastrophe de Tchernobyl en 1986 1) La récolte à la main des débris radioactifs 2) Les différentes manœuvres pour éviter une réaction en chaîne 3) Le bilan des victimes de Tchernobyl III) Les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl IV) En France V) Conclusion I) L'accident de Tchernobyl : causes et déroulement 1) Le siteLorsque l'accident de Tchernobyl est

540(10–6 m3, donc x(t = 30) = [pic] = 2,21(10–2 mol (22,1 mmol donc cohérent avec la courbe x = f(t)). 2.2.Analyse du graphe x(t) 2.2.1. Le temps de demi-réaction est la durée au bout de laquelle l’avancement a atteint la moitié de sa valeur finale. Graphiquement, on détermine t1/2 = 15 min. 2.2.2. La vitesse volumique de réaction est définie par v = [pic] avec VT = Cte. Ainsi la vitesse, à la date t, est proportionnelle au coefficient directeur de la tangente à la courbe

SPC L'or: Découvert -5000. -Utilisation : Bijoux, plaquages, architecture. -Inoxydable. -Jaune. Le cuivre: Découvert -3000. -Utilis: plaques de couvertures de toits, casseroles. -Oxidable. -Orangé. Le fer: Découvert -1000. -Utilisation: Automobile, armes, rails. -Oxydable. -Gris. Le zinc: Découvert: -1000. -Utilisation: gouttières, plaques de couvertures de toits. -Oxydable -Gris L'argent: Découvert: -3500. Utilisation: Monnaie, bijoux, circuits électroniques. -Oxydable. -Gris. L'alluminium:

gamma » : un oxydant peut oxyder tout réducteur dont la droite d'équilibre se trouve au-dessous de la sienne. La constante de réaction sera d'autant plus grande que les droites sont éloignées. Remarque : si les droites sont proches, la règle doit être appliquée avec prudence : en toute rigueur c’est l’affinité qui permet de trancher quant au sens de déplacement d’une réaction. Autre critère : deux espèces ne peuvent coexister que si leurs domaines de prédominance présentent une partie commune. 4.2

d'ATP dans le tube 3, on peut donc ce dire que l'ATP est indispensable pour qu'il y ai émission de la lumière. On voit aussi qu'avec la comparaison du tube 1 et 3 le dioxygène est aussi indispensable. L’ATP est indispensable à la réalisation de la réaction d’oxydation catalysée par la luciférase mais rien dans les données du document 1 ne permet de préciser son rôle précis. Document 2 : Quand on mesure la diminution de la concentration en dioxygène on évalue l'intensité de la respiration des mitochondries

l'équation bilan de la réaction suivante : Fe3+ (aq) + SCN- (aq) ( Fe(SCN)2+ (aq) Pour le second, on introduit une pointe de spatule de sel de Mohr (contenant des ions fer III), un peu d'eau distillée et quelques gouttes d'acide sulfurique ainsi qu'une à deux gouttes d'une solution de thiocyanate de potassium. On constate que rien ne se produit. On ajoute alors 1 mL d'eau oxygénée, on observe comme lors du premier test, la formation d'une coloration rouge. Dans cette réaction les couples mis en jeu

| Comment protège-t-on le fer ? Par couche de peinture, ou de zinc (galvanisation) ou de chrome avant mais plus maintenant car chrome cancérigène. La couche de rouille n’empêche pas la réaction d’oxydation avec l’air de se poursuivre jusqu’à disparition totale du fer. Par contre, l’alu ou le zinc s’oxyde mais la couche d’oxyde protège ensuite le métal et donc la corrosion s’arrête 4 Ont-ils la même densité ? Si on pèse la masse