Réalisateur

artistique Baba Camara Madou Camara Kouda Camara Balla Moussa Keita Koumba Doumba Doumbouya Yaya Traore L'enfant noir Le père de l'enfant La mère de l'enfant Oncle Moussa La première épouse de l'oncle Moussa Le marchand d'or Fiche technique Réalisateur Scénariste Producteurs Production Laurent Chevallier Laurent Chevallier Béatrice Korc Moussa Kémoko Diakité Rhéa Productions, France Office National du Cinéma de la République de Guinée Onacig, GuinéeBissau Les Films du Paradoxe, France http://www

rencontre avec Michel Romanoff, prince héritier du trône de Russie, influencera beaucoup sa vie. William a très rapidement grimpé les échelons et accéder au poste de directeur de production avant d'être happé par la publicité. Il travail avec des réalisateurs comme Ridley Scott et Adrian Lyne. Si le milieu ne lui plaît pas, il apprend beaucoup ''en particulier, la rigueur et la difficulté de mettre très vite en œuvre une création dont la finalité est de produire un impact puissant''. Il a alors l'opportunité

titre du film à pour but de nous donner la principale cause du conflit au départ, qui est la similitude des noms entre les deux Lebowski. Un des thèmes principaux est le bowling. Un sport simple et non valorisé, tout comme Jeff le "Duc". Les réalisateurs identifient le parcours des actions et péripéties de Jeff, à la boule de bowling qu’il affectionne. Car tout les deux, se laissent porter par leur destin. Un second thème dans ce film est l’amitié. Elle est surtout véhiculer entre deux personnages

codé et les revendaient lorsqu'ils partaient à la retraite. C'est toute une industrie qui est dévoilée dans le film et on peut alors faire le rapprochement entre l'illusion et le cinéma. Le travail de ces magiciens semble se rapprocher de celui du réalisateur aujourd'hui, à savoir créer l'illusion par les effets spéciaux comme l'a commencé Georges Méliès. On peut prendre par exemple l'astuce du « Mélomane » ou ce dernier met une cagoule noire afin de « décrocher » ses têtes une à une. Tous ces trucages

III. Un exemple type: James Bond 1. Comme nous l'avons vu dans les deux parties précédentes, l'agent secret est un réel mythe au cinéma, c'est le métier le plus utilisé par les réalisateurs de film. Beaucoup de film contiennent ces légendes, cela a toujours attiré le public... Puis vint James Bond. S'il ne devait en rester qu'un, ce serait cet agent secret. Il faut dire qu'en termes de légitimité, il est difficile de faire mieux. Avant de sauver le monde sur grand écran, le matricule

Wilder est basé sur des ambigüités. Notamment une ambigüité sexuelle que l’on retrouve dans le film même si le travestissement des deux personnages principaux est abordés de manière humoristique la plupart du temps. Grace notamment aux costumes, le réalisateur peu aborder le sujet de l’homosexualité. En effet, lors de certains passage on peut voir les deux personnages principaux tantôt avec un visage de femme et un corps d’homme tantôt le contraire. Ainsi lorsque Joe avoue à Sugar sa vrai nature, bien

tourné en extérieur «Quo Vadis » L’Amérique se met au diapason et se lance dans l’histoire du Far-West. Avec D W Griffith, réalisateur, le cinéma connait son véritable essor, il crée la grosseur des plans et met au point le découpage technique, document de base qui organise et facilite mieux la réalisation d’un film. D W Griffith, ce génie inégalable, est le premier réalisateur proprement dit qui se lance dans les premiers films à gros budgets, les superproductions tels que : « Naissance d’une nation

veut dire qu' une gloire militaire s'obtient par le sacrifice humain. Réalisateur: Stanley Kubrick (1928-1999) est un réalisateur, scénariste et producteur américain autodidacte. Il est notamment l'auteur de films très novateur qui, dans des genres très différents, ont marqué l'histoire du cinéma: Dr Folamour (1964); 2001, l'Odyssée de l'espace (1968); Shinning (1980); Full Métal Jacket (1987). En plus d'être réalisateur il est aussi photographe. Photographie de

Coen. Le premier plan du film, magnifique, confirme évidement qu’on est au pays des Coen. Ce long fondu du noir laisse apparaître un cadavre, seul devant un bar, sous une nuit d’hiver (on repense à la neige de Fargo, un des chefs-d’œuvre des réalisateurs). Comment ne pas penser également à la scène d’ouverture de A serious man (le conte du dibbouk, sous une nuit glacial, enneigée et cahotique), d’autant plus que la démarche est identique. Le conte du serious man, était une manière d’introduire

/ Soumah La "petite copine" / Marie Fofana Le tailleur / Fabien Ouaki FilmCouleurs (Super 16) Format1/1,66 Durée1h32 DistributionFilms du Paradoxe No de visa84 140 Dates de tournage1993/1994 Première présentationmai 1995 à Cannes (Quinzaine des réalisateurs) Sortie France11 octobre 1995 Rôles Interpréter sa propre histoire La situation des acteurs de L’Enfant noir est assez exceptionnelle dans l'histoire du cinéma. En effet, il s'agissait pour Laurent Chevallier de réaliser une fiction, donc a