Réalisateur

trop « classique ». Présenté au 61ème festival de Berlin en février 2011, le projet de « Dreileben » auquel appartient Beats Being Dead émerge du désir de trois réalisateurs : Dominik Graf, Christoph Hochhäusler et Christian Petzold. Par « Dreileben », il faut comprendre « trois vies ». Après une correspondance par emails, les trois réalisateurs allemands décident de livrer trois points de vues uniques autour du même fait divers qu'est l’évasion d’un tueur supposé psychopathe dans une petite ville imaginaire

de métaphysique. Il pose les questions fondamentales a l’être. Il décrit le monde selon son univers, ses pensées. Son œuvre est un perpétuel décalage avec la réalité, le réalisateur français Quentin Dupieux témoigne lui aussi avec son tout nouveau film « Réalité ». « Stalker » rappelle plusieurs films d'époque et de réalisateurs différents. « Stalker » est un film qu' il faut visionner plus d'une fois pour le comprendre. Contrairement a « Mulholland Drive » de David Lynch, qu'il faut visionner au

la nouvelle vague qui révolutionna le cinéma français et qui se décomposent en plusieurs phénomènes simultanés : l’irruption dans le long-métrage d’une centaine de nouveau réalisateurs, l’évolution des mécanisme de tournage rendant les productions de films sensiblement moins coûteuse et donc plus abordable pour les réalisateurs ayant peu de moyen pour réaliser leur film. La complexité du monde du cinéma aujourd’hui se doit d’être enseigné dans des écoles pour comprendre cet univers, en fait un une

tout les dialogues. Né à Paris en 1906, Marcel Carné a suivi des études de photographie avant de travailler comme assistant réalisateur, critique cinématographique, et finalement réaliser ses propres films. C'est ce long-métrage Quai des Brumes de 1938 qui instaura Carné comme l'un des plus grands réalisateurs français. Il inspire encore aujourd'hui de nombreux réalisateurs français et étranges. Quai des Brumes met en scène un déserteur de l'armée française, interprété par Jean Gabin, qui rejoint

la « happy end » demandée par les producteurs ne convient pas à tous les films… D'ailleurs, la Directors Guild of America (syndicat de réalisateurs US), permet aux « réalisateurs honteux » de signer leurs film sous le pseudo de Alan Smithee. Parfois, plusieurs versions du montage sont conservées, on parle alors du director's cut, pour celle voulue par le réalisateur.  

II- Citique du village des Ombres Fouad BENHAMMOU est un jeune realisateur,qui n’est son premier film, il a déjà fait connaitre son nim dans le cinéma ou la television avec le lendemain matin mais aussi grace a la realisation de deux clips du chanteur et animateur CAUET et une emission pour les adolescent qui passé a la deux, KD2A. Le vilage des ombres et le film qui m »a fait connaitre et rencontrer ce formidable realisateur. Le village des Ombres nous montre qu’il existe encore aujourd’hui

films de science-fiction dans lesquelles les faits relatés ne sont pas représentatifs de notre société car ils racontent des faits imaginaires, inventés par le réalisateur dans le but de rendre son histoire intéressante ou d'en le but de faire passer un message tel que dans le film La Guerre des mondes à travers lequel le réalisateur nous fait finalement comprendre que si nous sommes encore « les maîtres » sur cette planète c'est parce que nous sommes ceux qui se sont le mieux adapté à notre

cette époque que commence la transcription cinématographique. Aujourd’hui, l’adaptation des films est très fréquente Face au succès de certains livres, de nombreux réalisateurs se lancent dans leurs adaptations cinématographiques. Nous allons retracer le parcours de l'écriture au film. Adaptation un roman un film : Lorsque un réalisateur adapte un roman en films il peut choisir de ou respecter une adaptation fidèle ou bien de se créer sa propre adaptation libre. Ou encore il peut recréer l’œuvre c’est

grands réalisateurs comme Woody Allen, David Lynch, Martin Scorsese, Wong Kar Wai ou encore Ethan et Joel Coen. En 1999, le journaliste devient réalisateur et dirige Hélène de Fougerolles et Gad Elmaleh dans son premier court-métrage De source sûre. L'année suivante, il réalise Demain est un autre jour, un autre court métrage avec Christian Charmetant, Antoine Duléry et François Berland, ses deux premiers films révèlent déjà un goût prononcé pour la comédie, un registre que le réalisateur débutant

C’est le début d’une interminable course à la manipulation d’images, voire d’imagerie pour recréer un monde disparu en quelques mois.Après une dizaine d’années de silence radio du côté du cinéma allemand (de la fin des années 1980 marquées par des réalisateurs comme Fassbinder, Herzog ou Schlöndorff, à la fin des années 1990), le pays, qui connut ses plus belles années cinématographiques avec le mouvement expressionniste (il faut remonter pour cela aux années 1910-1920 !), semble faire son retour sur