Réalité

L'action, composante essentielle de l'intrigue théâtrale, fait partie de cette réalité. Tu es invitée à réfléchir à l'essence du théâtre : mauvaise copie de la réalité ou vérité profonde au-delà du clinquant et de la fausseté ? Par ex. les classiques avaient compris qu'il ne fallait surtout pas montrer directement l'action (règle de bienséance) surtout parce que sa représentation ne peut jamais donner l'illusion de la réalité et donc que le propos du dramaturge en sortait forcément affaibli. Le théâtre

qu’il s’agit de faire l’essai de quelque chose, c’est une connaissance immédiate, préréflexive car en contact immédiat et direct avec le réel, le concret, contrairement à la théorie qui s’inscrit dans l’abstrait. Le sujet découvre cette chose, cette réalité concrète ou métaphysique, en lui-même de manière intuitive par sa sensibilité externe, la perception et sa sensibilité interne, les sensations. Par ce processus, c’est d’elle que relève la compréhension c'est-à-dire la saisie par l’esprit de l’ensemble

philosophique, puis en considérant ce point de vue la se demander alors si l'apparence sensible est une source fiable de connaissance puis finalement que ce rapport à la réalité par les sens doit être doit être complété par d'autres fonctions. Les apparences sont souvent trompeuses : elles nous masqueraient la réalité, donc nous éloignerait de la vérité et fausseraient nos jugements de valeur (=> subjectif : comporte une part d'appréciation personnelle ; objectif : fait référence à des

ce qui caractérise la manière qu’a le sociologue de mettre en forme la réalité de ces actions réciproques qu’il veut observer. Il nous dit alors que le discours sociologique se caractérise par l’emploi de la distinction purement conceptuelle entre contenu de socialisation et forme de socialisation. Simmel définit le contenu de socialisation comme « (...) tout ce que les individus, le lieu immédiatement concret de toute réalité historique, recèlent comme pulsion, intérêt, buts, tendances, états et

nous fait-il mieux percevoir le monde? On cherche alors à déterminer si la création artistique est une reproduction fidèle de ce qui existe déjà, une imitation, ou bien si l'artiste donne accès à un autre monde, un aspect original et différent de la réalité dans laquelle nous vivons. Nous étudierons dans un premier temps l'art, comme imitation. Puis dans un second temps, nous aborderons l'art comme la propre vision de l'artiste. Et enfin, nous verrons l'art comme une révélation. D'après la conception

[masquer] * 1 Imagination précédant la réalité * 2 Imagination en tant que réalité * 3 Imagination et croyance * 4 Conception de l'imagination * 5 Distinctions o 5.1 Pouvoir d'imager (Einbildungskraft) o 5.2 Forme des objets qui affectent nos sens o 5.3 Produit des représentations du temps * 6 Voir aussi * 7 Bibliographie * 8 Liens internes Imagination précédant la réalité[modifier] Quand deux perceptions existantes

leurs œuvres une banale photographie de la réalité. Certes le Romancier réaliste ou naturaliste est soucieux de rendre compte d’une réalité, à travers différente description, de longueur différente toute les unes plus réaliste que les autres, le romancier rend compte de cette réalité. Par exemple, la description de la salle à manger de la Pension Vauquet dans le livre de Balzac, « le père Goriot ». Est une description qui rend bien compte de la réalité à travers différents éléments. Tout d’abord

pas source de vérité humaine. En effet "Toutes oeuvre d'art est un beau mensonge" Il s'agira donc de comprendre à quel type de mensonge Stendhal fait réference en écrivant ceci (et le rapport qu'entretient le roman avec la réalité) Pour commencer le romain n'estp as la réalité (...) (Tu avais mis comme exemple Le Rouge et le Noir) et je dois faire un 2nd paragraphe qui commence avec : D'autre part le roman invente un monde tiré de l'imagination de son auteur . Ensuite tu avais fait "Il y a un peuy

illusions quand on y est totalement pris. L'illusion s'ignore. Il est impossible de sortir seul de l'illusion, il faut qu'on nous guérisse de nos illusions. Ici, dans la caverne les prisonniers prennent l'illusion pour la réalité, donc ils ne souffrent pas. Ils prendront conscience de la réalité quand ils sortirons. Il y a deux types d'illusions : le premier est l'illusion des sens comme l'illusion d'optique. Ce type d'illusion pose le problème de la confiance que nous pouvons faire à nos sens. Le second

ensemble de questions qui sont « en haut » de la physique dans le sens où elles sont plus abstraites ou générales. Une question métaphysique est une question très générale ou abstraite sur la nature de la réalité. Une subdivision principale de la métaphysique est l’ontologie, qui interroge la réalité des choses qui existent. Ainsi Dieu et le moi sont des questions ontologiques. - L’éthique/morale/axiologie (théorie de la valeur). Cette catégorie porte sur les questions relatives à la subjectivité