Réanimation

en tant qu'infirmière en réanimation. Ce service est dédié à la prise en charge du patient et de la famille dans un contexte de pathologies complexe, menaçant le pronostic vital à court et moyen terme. Une fois le diplôme d'état d'infirmier en main, je postulerai directement dans cette unité. Aucune formation complémentaire n'est requise, mais une expérience est exigée. Lors de ma dernière année d'étudiante, je mettrai à profit mes stages notamment celui en réanimation chirurgicale pour acquérir

Les professionnels de santé en réanimation, leur rôle. Les déterminants de la décision médicale. Professeur D Devictor Réanimation pédiatrique et néonatale Hôpital de Bicêtre. 78 rue du Gl LECLERC. Le Kremlin Bicêtre. 94275. Fr Département de recherche en éthique Université Paris Sud 11. denis.devictor@bct.aphp.fr Les déterminants de la décision médicale sont multiples. Certains sont cliniques et basés sur l’analyse médico-scientifique de la situation, analyse qui est de nature essentiellement

pendant les soins. Toutefois, ce thème étant très vaste et complexe, je ne parvenais à orienter mon travail vers un service et un type de patients précis. Cependant, parmi toutes mes expériences, j’ai été le plus marquée par mon stage en service de réanimation, lors de ma 2ème année d’école d’infirmière. En effet, durant ce stage j’ai été amenée à observer des situations auprès de patients comateux, avec lesquels la communication était quasi inexistante. Cette expérience a suscité beaucoup de questions

Société Française d’Anesthésie et de Réanimation COMITE D’ORGANISATION Pr Emmanuel LESCANNE, ORL & CCF, Tours Pr Vincent COULOIGNER, ORL & CCF pédiatrique, Paris 15e Pr Gilles ORLIAGUET, Anesthésiste Réanimation, Paris 15e Dr Anne GUIDAT, Anesthésiste Réanimation, Lille GROUPE DE TRAVAIL Président : Pr Emmanuel LESCANNE, ORL & CCF, Tours Dr Bruno CHIRON, Anesthésiste Réanimation, Blois Pr Isabelle CONSTANT, Anesthésiste Réanimation, Paris 12e Pr Brigitte FAUROUX, Pneumologue

du décubitus qui en découle. - Le besoin d’être propre : ne peut être maintenu par le patient de par sa perte d’autonomie. - Le besoin de dormir et se reposer est altéré par la perturbation du rythme nycthémérale lié à la vie du service de réanimation. - Le besoin d’éviter les dangers : le malade présente une baisse des défenses immunitaires accentuée par la présence de matériels invasifs (Sonde d’intubation, cathéters, sonde à demeure…) - Le besoin de maintenir une température : qui peut

1. Lieux de stage : J’ai choisi d’effectuer mon stage du semestre 5 en service de réanimation pneumologie. Le stage a débuté le 15/09/2014 pour une durée de 10 semaines. Ce service de pneumologie et réanimation médicale se situe dans un Centre Hospitalier Universitaire (CHU). Il occupe sur 3 étages la totalité du bâtiment M. Il comporte : - un secteur d'hospitalisation traditionnelle de 25 lits auquel s'ajoute un lit d'hospitalisation de jour "chimiothérapie" (environ 1200 séjours par an

toujours pas. Il commence alors la réanimation en faisant un massage cardiaque. L’infirmière du secteur compose le numéro d’urgence pour que le service de réanimation mobile intervienne le plus vite possible. Nous disposons dans le service d’un chariot d’urgence qui est très vite amené sur les lieux. L’interne et l’infirmière alterne pour le massage cardiaque et moi j’attends devant la chambre l’équipe de réanimation. Une fois celle-ci arrivée, le médecin de réanimation intube monsieur T afin de pouvoir

prise en charge globale des malades hospitalisés. Le constat d’une prise en charge insuffisante de la douleur post-opératoire (DPO) en 1997 a motivé l’élaboration d’une conférence de consensus, organisée par la Société Française d’Anesthésie et Réanimation (SFAR), sous l'égide de l’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES), publiée le 12 décembre 1997 [1]. Dix ans plus tard, des progrès ont été réalisés, comme le prouve l’audit national réalisé en France entre 2004 et 2006

Analyse de la pratique semestre 5 Pour débuter cette troisième année, je suis envoyé suite à ma demande en service de réanimation pédiatrique et néonatale. Durant ces 10 semaines de stage, j'ai effectué 5 semaines en service de réanimation pédiatrique et 5 semaines en service de réanimation néonatale. Mon choix de m'occuper d'enfants en milieu hospitalier remonte à ma première année d'étude d'infirmier. De plus , il semblerai que mon future vision professionnel s'oriente vers un service technique

la durée de cette phase est plus aléatoire et ne permet pas une prise en charge temporelle. Il est important de savoir qu'un patient dans le coma végétatif sortira de la réanimation dés lors qu'il sera sevré du respirateur et ne sera pas forcément réveillé. Par contre, dans un coma artificiel, le patient se réveillera en réanimation. Donc, dés que le patient est en phase de réveil, l'infirmière doit le noter dans le dossier de soins mais aussi noter les signes que le patient a tenté de faire pour communiquer