Récepteur membranaire

les cellules sentinelles. Ces cellules modifient leur comportement quand elles détectent un agent infectieux grâce à des récepteurs présents sur leur membrane. Suite à cette reconnaissance ces cellules et d’autres sécrètent des médiateurs chimiques de l’inflammation, comme le TNF ou l’histamine. Ces molécules permettent la mise en route de la réaction inflammatoire. Les récepteurs de l’immunité innée sont présents chez des organismes très divers ( insectes, plantes..) l’immunité innée repose donc sur

action sur nos récepteurs membranaires à l’adénosine. L’adénosine est un neuromodulateur du système nerveux central qui possède des récepteurs spécifiques. Quand elle se fixe sur ses récepteurs, l’activité nerveuse est ralentie et nous devenons somnolents. L’adénosine facilite donc le sommeil. La caféine est un antagoniste des récepteurs à l’adénosine. La molécule de caféine et celle d’adénosine ont une structure similaire. Par conséquent, la caféine va se fixer sur les mêmes récepteurs que l’adénosine

électriques entre le milieu intra cellulaire et le milieu extra cellulaire. On va enregistrer un voltage qui correspond au « potentiel membranaire ». L’intérieur est chargé plus négativement que l’extérieur. Le symbole – indique que l’intérieur du neurone est chargé plus négativement que l’extérieur lorsque le neurone est inactif, dans ce cas le potentiel membranaire correspond au potentiel de repos. Ce potentiel de repos est dû à une quantité ou concentration d’ions qui est différente entre le

fonctionnement cellulaire ?Qu'est-ce que la fluidité membranaire ?4II- QUESTIONS A CHOIX MULTIPLES (QCM) - Cochez les assertions justes. 51- Quelles sont les propositions en rapport avec l’organisation asymétrique de la membrane plasmique ? A- La présence de glucides sur la

entraîne une baisse de glycémie pouvant aller jusqu'à la mort. Glucagon : C'est une hormone (protéine) qui se fixe sur des récepteurs spécifiques se trouvant sur la membrane plasmique au niveau de la cellule hépatique, il déstocke le glucose. Insuline : L'insuline et glucagon sont deux hormones antagonistes, donc l'insuline ne pourra pas se fixer sur les mêmes récepteurs, même si la cellule cible est la même. 2.Les hormones Hormone : Messager chimique qui est sécrété par une

boule = hydrophile = en contact avec l’eau. * Lipides = ficelles = hydrophobe = en contact avec une substance « grasse ». * Les protéines contrôlent les échanges avec le milieu externe, assure la communication entre les cellules (= récepteurs membranaires) et serrent à la reconnaissance intercellulaire. 2.2°Les organites de la cellule : 2.2.1°Le réticulum endoplasmique : * Lisse = sans ribosomes, synthétise des phospholipides. * Rugueux = avec ribosomes, collecte les protéines synthétisé

plus important étant absorbé par un changement de longueur des lipides et de la répartition des lipides saturés et insaturé (les lipides courts ou insaturés sont plus fluides). La membrane est traversées par des protéines : transporteurs, canaux, récepteurs aux molécules extérieures, etc... Les cellules animales comportent en plus un type protéines particulier qui traverse la membrane et fixe d'un coté le cytosquelette et de l'autre les protéines du milieu conjonctif, assurant la continuité mécanique

l’énergie et de couper à l’excitation lors de la contraction. Dans le sarcoplasme sous-membranaire, on trouve tous les organites habituels (peu de REG) mais on trouve également du glycogène. La partie intermyofibrillaire est la plus importante : on y trouve de quoi produire de l’énergie (mitochondries, lipides, glycogène) et de quoi provoquer la contraction = triades [Dans le cytoplasme périphérique sous membranaire on trouve des centaines de noyaux, du golgi… le noyau qui renouvelle certaines protéines

contraction réflexe, il s’agit dune rétroaction négative ou rétrocontrôle. Le TP n°1 nous a permis d’élaborer un premier schéma des étapes du réflexe, des différents intervenants de ce système réglé, on observe les éléments suivants : 1. Les récepteurs sensoriels capables de détecter un étirement du muscle (stimulus mécanique). Il s’agit des fuseaux neuromusculaires localisés dans le muscle étiré, capables de convertir ce stimulus (mécanisme de transduction) en un message nerveux afférent, sensitif

neurones sensoriels : sont des récepteurs constituant le premier niveau cellulaire du système nerveux de la perception. Ils transduisent des signaux physiques ( lumière, son, température...) en neurotransmetteurs transmis à un neurone postsynaptique ( la synapse est une zone de contact fonctionnelle qui s’établit entre deux neurones, ou entre un neurone et une autre cellule comme les cellules musculaires ou les récepteurs sensoriels. Suite à une stimulation, les récepteurs sensoriels génèrent un influx