Récepteur membranaire

à la cat des rétrovirus, transmis par voies sexuelles, sanguines ou au cours relation mère-enfant (grossesse, allaitement, accouchement). Cellules cibles = cellules immunitaires (LT4, macrophages, monocytes) ces cellules possèdent des protéines membranaires (CD4) auxquelles le virus se fixe par l’intermédiaire des protéines de son enveloppe (GP120). Ce qui lui permet de pénétrer ds la cellule hôte. Rencontre cellule-virus se fait dans ganglions lymphatiques. Transcriptase inverse permet rétrotranscription

L'hormone mâle, ou testostérone, est une molécule synthétisée par les cellules interstitielles du testicule, ou cellules de Leydig. Comme toutes les hormones, elle est déversée dans le sang et agit sur les organes dont les cellules possèdent des récepteurs spéci­fiques : glandes annexes de l'appareil reproducteur. mais aussi musculature, centres nerveux, ... L'hormone mâle est enfin une des hormones indis­pensables à la spermatogenèse. Elle stimule les cellules des tubes séminifères et apparaît donc

exocrine du testicule (excrétion des spermatozoïdes) alors que la LH assure la multiplication des cellules de Leydig et la sécrétion de testostérone, fonction endocrine du testicule. La stéroïdogenèse est commandée par la LH qui se fixe sur des récepteurs membranaires des cellules de Leydig, les cellules de Leydig sécrètent alors des androgènes essentiellement de la testostérone (T) ; la testostérone pénètre dans le cytoplasme sertolien où elle se lie à l’ABP pour conditionner le développement de l’épithélium

(réflexe). Notre main est dotée de récepteurs. Un récepteur pend au bout d’une fibre. Les fibres se comptent par centaines. Ces fibres se mettent en vaisseaux, en nerfs et ce nerf va entrer au niveau cervical dans la moelle épinière. Effecteurs Muscles Aires spécialisées Récepteurs nociceptifs Stimulus brûlure Hypothalamus Retrait de la main CRH Cortisol Hypophyse Cortex surrénal ACTH Voies afférentes par rapport aux récepteurs nociceptifs.

xénobiotiques, etc. 1.1. Importance physiologique des EOR et signalisation oxydative 1.1.1. Rôle physiologique Le rôle des EOR dans l’initiation et/ou le fonctionnement propre des diverses voies de signalisation en réponse à la stimulation de certains récepteurs par des cytokines, des facteurs de croissance ou par des hormones a été bien étudié dans la littérature (Usatyuk & coll., 2003. Sigaud & coll., 2005). Les EOR peuvent donc être considérés comme des molécules de signalisation qui peuvent agir à différents

sécrétées. Certaines ont été étudiées de longue date, comme les toxines diphtérique et tétanique. Leur classification la plus évidente repose sur leur mode d'action : certaines d'entre elles agissent à l'extérieur de la cellule en se liant avec des récepteurs cellulaires ou en réalisant des pores dans la membrane. D'autres sont capables d'induire la translocation d'un fragment catalytique dans le cytoplasme de la cellule. | Mots-clés : toxines, pathogenèse bactérienne, petites protéines G, cytosquelette

de températures) * Hydrolyse * pH= potentiel Hydrogène. Quand l’eau libère son H le pH diminu. En solution biologique il y a le solvant (eau) et le soluté. Vmax= saturation. Diffusion simple : diffusion à travers les phospholipides membranaires ou protéines canales. Diffusion facilité : grâce a une perméase (protéine enzymatique). A | B | | | Solvant bio : eau X : soluté A : pression osmotique grosse, donc concentration plus grande B : pression osmotique petite, donc concentration

Lorsque les molécules à absorber sont des molécules et non des cellules on parle d’endocytose qui procède ainsi : 1. La cellule creuse une dépression à sa surface (pas de pseudopodes). 2. Les éléments sont aspirés dans la dépression. 3. Une fusion membranaire permet d’isoler les éléments dans une vésicule d’endocytose. Peut se produire chez la plupart des cellules animales. Exocytose L’exocytose est utilisée pour exporter des produits de sécrétion trop volumineux (trop volumineux ou trop dangereux

trompe le complexe hypothalamo-hypophysaire et empêche l’ovulation (pilule contraceptive) - la pilule agit également sur la qualité de la glaire cervicale et donc sur le passage des spermatozoïdes - le RU486 est une molécule qui se fixe sur les récepteurs à la progestérone (analogue structural) et en bloque l’action : l’endomètre se détache empêchant l’implantation de l’embryon ou provoquant un avortement (pilule contagestive) - la pilule dite du lendemain, fortement dosée en oestrogènes et/ou progestérone

fibres.  Fibres à réponse rapide : *Localisées essentiellement au niveau des cellules du faisceau de His et du réseau de purkinje. *Caractérisé par : -Une phase (0) liée à l’ouverture du canal sodique rapide, dés que le potentiel membranaire atteint (–55) m. -Une DDL lente dont le mécanisme est probablement du à l’instabilité ionique (entrée du Na+ dans la cellule). -Un potentiel diastolique maximum de (– 90) mv. Fac- med-bat-labo-physiologie/Dr : GUEDJATI 5mv ms Potentiel