Récepteur membranaire

la surface de sa membrane et à la surface de celle de la cellule. En effet, la fixation du virus à ces cellules fait intervenir la protéine CD4 (spécifique au lymphocyte T4), reconnue par la protéine gp120 du virus, ainsi que d’autres protéines membranaires appelées corécepteurs, parmi lesquels on peut citer la protéine CCR-5, nécessaires à la pénétration du VIH dans la cellule. A partir de cette fixation, les deux membranes (du virus et du lymphocyte), fusionnent, ce qui permet la pénétration de

cellules dendritiques migrent vers les ganglions lymphatiques. Elles y jouent le rôle de CPA (Cellules Présentatrices d’Antigène), en effet elles présentent leur antigène (associé aux molécules du CMH) aux lymphocytes LT CD4+. Ces derniers possèdent un récepteur T spécifique d’un antigène. → Les CPA vont donc sélectionner les LT CD4+ qui sont capables de reconnaitre l’antigène présentés. C’est la sélection clonale. → L’interaction CPA – LT CD4+ déclenche la sécrétion d’IL 2 par les LT CD4+. L’IL 2 va

Partie 2 : DEFINITIONS Transduction : C’est le processus par lequel une modification du potentiel membranaire est générée au niveau d’un récepteur sensoriel à partir d’énergie finie par un stimulus adéquat. Récepteur : C’est une structure de reconnaissance de nature protéique disposée au niveau de la membrane postsynaptique et capable de reconnaitre de manière spécifique un neurotransmetteur. Récepteur sensoriel : C’est une molécule ou une cellule spécialisée capable de produire un message neveux

principales fonctions de la membrane cytoplasmique : reponse :limite entre milieu intra et extracellulaire ,transport passif ,facilité et actif(pompe ATP ),role d’information et communication par les recepteurs membranaires ,role phagocytose (cas de leucocytes ),reconnaissance de lantigene ,role récepteur pour les hormones et neurotransmetteurs . 4-décrire les principales liaisons entre les atomes et les molecules et donner des exemples :2 points -Liaison ionique exp NA+ ……+……CL- =…….NACL . -liaison

réponse fausse annule la note attribuée à l’item).1) Le potentiel local et le PA ont en commun :a- l’amplitude constante,b- la propagation sur une longue distance,c- la nécessité d’un seuil de potentiel,d- la variation de la différence de potentiel membranaire.2 ) Dans le reflexe myotatique, l’innervation réciproque : a- assure la coordination des mouvements des muscles antagonistes, b- met en jeu un interneurone inhibiteur et un interneurone excitateur,c- met en jeu deux synapses

central ( encéphale et moelle épinière ) et du système nerveux périphérique ( nerf moteur et sensoriel rachidien et chaîne nerveuse ganglionnaire sympathique). Les information circulent dans tout l'organisme le long des nerfs. Nerfs sensoriel : Récepteur sensoriel → Centre nerveux Nerfs moteur : Centre nerveux → Organe Le système nerveux centrale L'encéphale LE CERVEAU C'est la partie plus volumineuse de l'encéphale : 1200 à 1350 centimètre-mètre cube (étalé 2 mètre carré). Il est formé

a été clairement démontrée. Des études biochimiques, génétiques et fonctionnelles ont mis en évidence le rôle clé du Peroxisome Proliferator-Activated Receptor-gamma (PPAR-γ) dans la pathogenèse de rétinopathie diabétique. Cette protéine est un récepteur nucléaire qui agit comme un facteur de transcription pléiotrope, dont l’activité transcriptionnelle peut être modulée soit par des changements de conformation, soit par sa liaison à différents ligands. L’influence de PPAR-γ sur le métabolisme du

parle de la membrane de base 2. Composition chimique 2.1. Les lipides : ils représentent 40% du poids total de la membrane a. Composition : Phospholipides:50-60% ; Cholestérol: 17-23% ; Glycolipides: 7-8% b. Propriétés : les lipides membranaires sont amphiphiles c'est à dire qu'ils possèdent un pole hydrophile (=tête) et un coté hydrophobe (=Queue). {draw:frame} Fig.2-1:_Représentation schématique (à gauche) et le modèle compact (à droite) des différents parties de la molécule phospholipide

(courbe b). La flèche indique le moment d’une injection d’auxine de concentration égale à 10-5 mol/l. A court terme, l’auxine agit sur les cellules en croissance en activant des pompes à protons (H+). Les pompes à protons sont des protéines membranaires qui peuvent rejeter des protons hors de la cellule. Cette activité moléculaire nécessite de l’énergie. Le rejet de protons entraîne une acidification de la paroi. Cette acidification s’accompagne de la rupture de certaines liaisons, notamment entre

soma (corps cellulaire) équipé de l’appareillage commun à toutes les cellules (noyau, mitochondries, Golgi, réticulum...) 2. Le neurone est une cellule dite polarisée (asymétrique) avec d’un côté les dendrites, qui constituent le pôle normalement récepteur. Les dendrites font 1-2 mm de longueur, et présentent une arborisation variable (maximale chez la cellule de Purkinje). L’aspect distal peut présenter des épines, sites synaptiques dont la morphologie varie au cours des processus d’apprentissage