Récepteur membranaire

celle décrite précédemment il existe des différentes formes de neurones Souvent liés à la localisation et à la fonction b selon la fonction Fig 4 Trois classes de neurones Chapitre 5 - 2 / 14 Les neurones afférents propagent les signaux electr des récepteurs vers les centres nerveux du SNC. Les neurones efferents propagent les signaux electr à partir des centres vers les cell jouant le rôle d’effecteur : cell musculaires ou glandulaires Les interneurones (99% des cell nerveuses) Neurones afférents et

cellules détectent une présence de microorganisme grâce a des récepteurs de l’immunité innée (récepteur membranaire capable de reconnaitre de se fixer à des molécules caractéristiques a des microorganismes) elles libèrent des médiateurs, chimiques de l’inflammation Ces médiateurs sont responsables D’une vasodilatation D’une augmentation de la perméabilité vasculaire (gonflement) D’une excitation des nocicepteurs cad des récepteurs sensoriels sensibles a des douleurs La vasodilatation teste

Noyau Non entourés dʼune membrane Ribosomes Microtubules - Microfilaments Cytosquelette Centrioles 5 Cellules eucaryotes et procaryotes Une cellule eucaryote possède « un vrai noyau ». Le matériel génétique est délimité par une structure membranaire. Les organismes sont différents et variés et appartiennent au règne animal OU végétal. Levure Poisson zèbre Ascaris Drosophile L’ ultrastructure est générale et commune à l’intérieur de chaque règne. Une cellule procaryote a son

enzymes, ions...). Ils ne sont reconnus que par leur cellule cible grâce à des récepteurs qui leurs sont spécifiques. Ces derniers sont situés à la surface ou à l'intérieur des cellules, voir ds leur noyau. *Dans la communication synaptique l'act° du neuromédiateur sur le récepteur post-synaptique permet la transmission de l'influx nerveux. *Dans la communicat° endocrine l'hormone se fixe sur un récepteur membranaire spécifique, un second messager est produit en réponse à l'intérieur de la cellule

donc la nécessité de faire baisser cette valeur. Cette hormone agit par l’intermédiaire de son récepteur, appelé « récepteur à l’insuline ». C’est un récepteur comportant 4 sous-unités : deux chaines α extracellulaires comportant le site de fixation à l’insuline et deux chaines β transmembranaires qui comportent une activité enzymatique « tyrosine kinase du coté cytosolique. L’activation de ce récepteur va conduire à une cascade de transduction cellulaire qui va permettre l’entrée du glucose dans

des sillons plus profond délimitant sur chaque hémisphères cérébrales les 4 lobes. Dans chaque lobes il existe plusieurs aires corticales (ex : aire auditives, olfactive, sensitif, motrice) avec un aire primaire qui reçoit des stimulations, des récepteurs sensoriels et une aire secondaire qui analyse les message reçus et leur donnent un sens (ex : aire visuel primaire : elle reçoit les couleurs, les formes, les mouvements…, l’aire visuel secondaire qui permet aux images d’avoir un sens). L’hémisphère

vésicules de stockage Lors de l’arrivée du potentiel d’action pré-synaptique dans le bouton synaptique de l’arborisation terminale du neurone, le neuro-transmetteur * Est libéré dans la fente synaptique par exocytose * Se lie aux récepteurs membranaires situés sur la dendrite du corps cellulaire du neurone post-synaptique. Naissance d’un potentiel d’action post-synaptique identique au potentiel d’action pré-synaptique dans la dendrite du corps cellulaire du neurone. La plupart des neuro-transmetteurs

richesse en acide arachidonique de la membrane. Dans cette membrane sont implantées des glycoprotéines dont les principales sont la glycoprotéine IIb IIIa et la glycoprotéine Ib. Cette membrane est riche en récepteurs divers, le plus important dans la physiologie plaquettaire étant le récepteur à la thrombine récemment individualisé.  Fig 2: La membrane plaquettaire Double couche de phospholipides et glycoprotéines Sous la membrane plaquettaire on trouve un réseau musculo-squelettique fait de micro

2Cellules immunitaires dans un milieu conduisant à l'élimination des lymphocytes T CD4Milieu 3Cellules immunitaires dans un milieu conduisant à l'élimination des lymphocytes T CD8 Les lymphocytes T peuvent se distinguer par certains de leurs marqueurs membranaires, exemple : marqueurs CD4 et CD8.A ces milieux de culture, on ajoute des cellules infectées d'une souris de même espèce ou non et on évalue la destruction des cellules de souris introduites (lyse) par les cellules immunitaires présentes :Cellules

douleurs sévères, mais son utilisation est délicate. Des expériences ont montré que des protéines, les bêta-arrestines 2 présentes naturellement dans l’organisme, exercent une inhibition de l’action de la morphine : elles désactivent les récepteurs membranaires sur lesquels se fixe cette dernière. On devine les perspectives ouvertes par ces résultats pour le traitement des douleurs sévères : des médicaments inhibant l’action des bêtaarrestines 2 permettraient de soulager la douleur à moindre dose