Récepteur radio

APPROCHE DU MECANISME D’ACTION DES MEDICAMENTS 1 Plan : I- GENERALITES II-MECANISME D’ACTION DE MEDICAMENTS III-FACTEURS DE VARIATION DE L’ACTIVITE D’UN MEDICAMENT IV - RECEPTEURS DES MEDICAMENTS V – CONDITIONS NECESSAIRES POUR UNE INTERACTIONS MEDICAMENT-RECEPTEUR VI- QUANTIFICATION DES INTERACTIONS MEDICAMENTRECEPTEUR VII- EFFETS DU MEDICAMENT VIII- CONSEQUENCES CLINIQUES XI- CONCLUSION 2 I- GENERALITES  La compréhension des mécanismes d'action des médicaments va bien au-delà de l'amélioration

de l’Ach à faible dose ou après stimulation des nerfs parasympathomimétiques. Il existe des directs et indirects. Les Directs : Qui n’a aucunes actions sur les nerfs du para ou sur la libération des médiateurs endogène  agit directement sur les récepteurs de l’organe périphérique végétatif. Pour des doses physiologiques, on aura des effets « muscarinique ». Pour de fortes doses  effets nicotiniques (ganglioplégiques). Les Indirects : Agissent par l’intermédiaire du médiateur endogène, n’agissent

Un épitope, aussi appelé déterminant antigénique, est une molécule qui peut être reconnue par un paratope (partie variable d'un anticorps ou d'un récepteur membranaire des lymphocytes T : TCR), pour déterminer si elle appartient au domaine du soi ou au domaine du non-soi. Un antigène est caractérisé par ses épitopes, si ses épitopes sont reconnus comme appartenant au non-soi alors il est lui-même immédiatement reconnu comme appartenant au non-soi. Cette reconnaissance épitope/paratope est donc à

stimulation des récepteurs correspondants. Effets muscariniques Ils sont appelés ainsi car ils ressemblent à ceux de la muscarine, substance extraite d'un champignon. Il existe plusieurs types de récepteurs muscariniques appelés M1, M2, M3, les plus connus, M4 et M5, couplés aux protéines G. Schématiquement, les récepteurs M1 et M3 sont couplés à la phospholipase C qui entraîne une élévation de l'inositol-triphosphate, IP3, du diacylglycérol, DAG, et du Ca2+; les récepteurs M2 sont couplés

chronotrope, dromotrope et bathmotrope + Hypertension artérielle Acétylcholine : Il existe plusieurs types de récepteurs muscariniques appelés M1, M2, M3, les plus connus, M4 et M5, couplés aux protéines G. Schématiquement, les récepteurs M1 et M3 sont couplés à la phospholipase C qui entraîne une élévation de l'inositol-triphosphate, IP3, du diacylglycérol, DAG, et du Ca2+; les récepteurs M2 sont couplés aux canaux K+ dont ils favorisent l'ouverture et à l'adénylcyclase qu'ils inhibent. Effets cardiaques

Nernst) Gradient électrochimique : Vm-Eion avec Vm=potentiel membranaire Vm=f (conductances et potentiels équilibres) de chaque ions à l'intérieur et extérieur des cellules, autour de -60 mV (varie selon PA : hyper+dépolarisation / potentiel récepteur : détecte stimulation environnement hyper ou dépolarisation / potentiel synaptique : activation synapse / potentiel électrique : via jonction type gap) III) Paramètres qui caractérisent un canal ionique Dans les cellules, les conductances induisent

001m. L’interprétation de l’enregistrement de la contraction spontanée de l’intestin isolé en présence de l’acétylcholine a volume de 0;05 ml La paroi de l’intestin constitue par des fibres cholinergiques au niveau du quelle se trouves les récepteurs nicotiniques qui se liés a l’acétylcholine qui se traduit par un effet positif sur la motricité intestinale . Observation de l’enregistrement de la contraction spontanée de l’intestin isolé en présence de l’acétylcholine a volume de 0;5 ml

1. Propagation des ondes radio Les ondes radioélectriques ou ondes hertziennes sont des ondes électromagnétiques qui se propagent de deux façons : * Dans l’espace libre : propagation rayonnée, autour de la terre par exemple. * Dans des lignes : propagation guidée, dans un câble coaxial ou un guide d’onde. Dans ce projet, nous nous intéressons qu’à la propagation de l’onde électromagnétique d’un émetteur vers un récepteur, c'est-à-dire dans un canal radio mobile. Pour cela, nous présentons

protéines étrangères > cell. gréffées… Reconnaissance protéines antigéniques -> grâce récepteurs membranaires = récepteurs T des LTc > 2 chaînes polypeptidiques & site reconnaissance antigène -> spécifiques protéine antigénique => antigène donné comme les AC. ¤ Les LTc détruisent leurs cellules cibles : LTc -> destruct° cellules cibles => contact étroit. LTc reconnaissent cell. cibles -> fixation avec récepteurs T -> libération perforine > insert° membrane cell. cibles + format° canal => éclatement

est confronté à une conjonction d’infos différentes donc ça pourrait engendrer in vivo ce type de réactions cad potentialisation de l’activité synaptique. Cette LTP dépend de l’activité de certains récepteurs aux glutamates, de façon très forte (récepteurs NMDA ou glutamate). Si on perturbe ces récepteurs (via antagonistes aux NMDA par ex), ça bloque l’apprentissage => mise en évidence de phénomène de potentialisation chez l’animal en train d’apprendre une tache Ce mécanisme est bien à l’œuvre