Redingote

homme prend la « belle » veste du narrateur pour la revendre contre du tabac, alors que le narrateur prend la vieille veste de l’autre homme. Chapitre XXIV :Le condamné se sent mal d’avoir laissé l’autre homme lui prendre sa redingote contre cette vieille veste. Chapitre XXV :On met le condamné dans une autre cellule, il demande de quoi écrire, on lui donne. Un homme reste près de lui. Chapitre XXVI :Il reste six heures à vivre

pieds deux soldats du roi, un Suisse et un cuirassier terrassés. La Liberté guidant le peuple, Eugène Delacroix, 1830, Paris, Musée du Louvre - photo Erich Lessing Un ouvrier manufacturier : béret, pantalon à bretelles, tablier. Bourgeois en redingote, avec cravate, chapeau haut de forme. Etudiant en bicorne de l’Ecole Polytechnique. Journalier en blouse bleue Gamin en gilet et béret. Peut-être celui qui inspira le Gavroche de Victor Hugo ? Or c’est une erreur : la France peinte ici est un

ŒUVRE PICTURALe Caspar David Friedrich (1774-1840), “Le voyageur contemplant une mer de nuages”, 1818 (Hambourg, Kunsthalle) Description Au premier plan, on voit un homme vêtu selon les critères vestimentaires du XIXeme siècle. Il possède une redingote, des bottes et une canne. Le personnage est de dos et se tient debout sur le sommet d’une falaise en observant le paysage. La falaise est de couleur sombre et ainsi, permet le glissement du regard vers la silhouette de l’homme puisqu’il est habillé

de la scène. C’est tout à fait ce qu’on retrouve aux lignes 6-16 de l’extrait, où l’écornifleur décrit ses actions et ce qui se passe autour de lui. Il semble vraiment disposer la scène pour déclamer ses vers :« Je me détourne pour ouvrir ma redingote » [ligne 8] « Je dispose mes papiers sur la table » [ligne 14]En tout cas, il faut remarquer que ici les didascalies ne figurent pas, comme dans les pièces théâtrales, en italique ou en plus petits caractères que le reste du texte, mais elles sont

Septième partie (Juillet 1883)Septième partie (Juillet 1883) La mort du Prince 21 ans plus tard : grande ellipse temporelle qui oblige narrateur à signaler ce qui s’est passé tout ce temps : vieillissement des personnages (Angelica), accumulation de décès dans la famille, dans le bilan qu’il fait de sa vie : mort de « la petite Maria-Stella » (gangrène due au diabète, souffrances physiques), de son fils Paolo, de Pirrone, disparition de son fils préféré Giovanni (car celui qui lui ressemblait

Maintenant, Dieu merci, je n'espère plus. Voici ce qui vient de se passer : Au moment où six heures et demie sonnaient non, c'était l'avant-quart - la porte de mon cachot s'est rouverte. Un vieillard à tête blanche, vêtu d'une redingote brune, est entré. Il a entrouvert sa redingote. J'ai vu une soutane, un rabat. C'était un prêtre. Ce prêtre n'était pas l'aumônier de la prison. Cela était sinistre. 32 Il s'est assis en face de moi avec un sourire bienveillant ; puis a secoué la tête et levé les yeux

jaunes Ètait descendu en mettant un pied sur la roue, et il aida M. Dufour ‡ dÈcharger la grand-mËre. Alors on dÈtela le cheval, qui fut attachÈ ‡ un arbre; et la voiture tomba sur le nez, les deux brancards ‡ terre. Les hommes, ayant retirÈ leurs redingotes, se lavËrent les mains dans un seau d'eau, puis rejoignirent leurs dames installÈes dÈj‡ sur les escarpolettes. Mlle Dufour essayait de se balancer debout, toute seule, sans parvenir ‡ se donner un Èlan suffisant. C'Ètait une belle fille de dix-huit

l'accoutrement de ce dernier. Daniel Mesguich a donc pris la liberté de l'interpréter selon sa vision des choses. Monsieur Dimanche arrive sur les planches vêtu d'une chemise, assortie d'une cravate, le tout habillé d'une tunique protégée par une redingote noire. Il porte plusieurs accessoires comme la kippa ou encore une paire de lunettes rondes, ce qui accentue son aspect judaïque. On peut également formuler l'hypothèse que les torches enflammées présentes dans la mise en scène de ce passage symbolisent

'il Des carrioles arrivaient des communes voisines, déchargeant au seuil des portes les hautes Normandes en robes sombres, au fichu croisé sur la poitrine et retenu par un bijou d'argent séculaire. Les hommes avaient passé la blouse bleue sur la redingote neuve ou sur le vieil habit de drap vert dont les deux basques passaient. Quand les chevaux furent à l'écurie, il y eut ainsi tout le long de la grande route une double ligne de guimbardes rustiques, charrettes, cabriolets, tilburys, chars à bancs

passions humaines : « ces passions communes aux hommes de tous les échelons de la société et qui ont agité le cœur humain de la même façon, qu’il palpitât sous une cuirasse en acier du quinzième siècle, la veste de brocart du dix-huitième ou la redingote bleue et le gilet en basin blanc d’aujourd’hui. » (ch. 1) Walter Scott semble donc penser que l’homme est resté fondamentalement le même d’une époque à l’autre. Les mœurs et les traditions ont certes changé, mais la nature humaine reste inchangée