Redistribution des richesses

les accidents du travail. Les risques les plus coûteux couvert par la Sécurité sociale sont la vieillesse et la maladie puisqu’ils représentent 78% des prestations sociale. De plus, les dépenses de Protection sociale représentent environs 30% des richesses produites chaque année. La sécurité Sociale est également un élément régulateur de l’économie puisque sans elle, les personnes les plus soumises aux risques ne pourraient plus dépenser ( ( Consommation ( ( Production ( ( Chômage On distingue

ont développé des stratégies spécifiques : la stabilisation en cas de déficience du marché, l’allocation pour produire les biens collectifs et la redistribution pour atténuer les inégalités sociales. Rôle de l’Etat dans l’économie. En intervenant en économie, l’Etat exerce trois fonctions qui sont : l’allocation, la stabilisation et la redistribution. B.1. La fonction d’allocation L’Etat a la charge de produire tous les biens que le secteur privé n’a pas intérêt à produire soit à cause des investissements

Il y a une sècheresse qui touche la région depuis les années 80 et qui engendre des terribles famines ainsi que des tensions entre les différentes ethnies, ils doivent se battrent pour les ressources et survivre. – L'inégalité de la redistribution des richesses acquis grâce à l'exploitation du pétrole. Acteurs principaux, enjeux implicites et explicites, comment et conséquences. |Acteurs principaux |Enjeux et but |Enjeux et but déclarés |Mise en œuvre

est un or noir, de par la convoitise dont il fait de plus en plus l’objet, son exploitation n’éclaircit pas pour autant l’avenir des pays producteurs. Ceux-ci, au nombre de 41 sur les 54 Etats africains n’ont que peu tiré profit de leur précieuse richesse géologique, et ce pétrole souvent abondant a même pu générer une certaine paralysie économique et politique… Ce paradoxe peut surprendre, pourtant on ne peut en conclure rationnellement que l’huile de roche est vouée à pétrifier l’Afrique par une

LEXIQUE DES NOTIONS DU PROGRAMME DE TERMINALE NOTIONS ESSENTIELLES (Chaque notion peut faire l’objet d’un sujet) (Les notions sont rangées dans l’ordre du programme) Valeur ajoutée : richesse créée par une unité productive (entreprise, secteur institutionnel, ou branche) au cours d’une période donnée (Calcul : VAB = CA – CI) PIB (produit intérieur brut) : mesure de la production de l’ensemble des unités résidentes (calcul : PIB = VA + TVA+ droits de douane - subventions à l’importation

secteurs industriels qui ont une place importante dans l’économie : tout d’abord le reste du monde qui importe et exporte, donc qui accroît la richesse des pays ; les ménages qui reçoivent des salaires, paient des impôts, des cotisations sociales et consomme. Les administrations qui produisent des biens marchands et effectuent des opérations de redistribution ; les ISBLSM (institution sans but lucratif au service des ménages) qui produisent des services marchands pour les ménages. Enfin les sociétés

il s'ensuit que c'est l'ensemble qui s'en trouve lui-même affaibli. En conclusion de quoi, il convient de veiller à répartir correctement les richesses si l'on veut éviter des dysfonctionnements. → tenir compte de la capacité contributive des contribuables et instituer une progressivité de l'impôt qui est ici considéré comme un instrument de redistribution et d'égalisation. → approche communautariste qui relève du principe, posé par J.-J. Rousseau (« l'imposition n'en doit pas être faite seulement

distributions de ressources interdites par cette conception de la justice permettraient néanmoins aux gens d’être plus heureux. La notion de justice sociale, fondée sur un égalitarisme implicite, fournit l'alibi de toute politique démagogique de redistribution et devient le paravent le plus cynique de l'égoïsme : pour ceux qui parlent de "justice sociale", il n'est pas question de partager avec les moins riches qu'eux, mais bien d'accroître leur propre revenu aux dépens des autres. La justice selon

sociales. Les inégalités sont des différences procurant des avantages ou des désavantages plus ou moins légitimes. Peuvent-elles être favorables à l’augmentation de la production de richesses (moteur du développement) ? Quelles inégalités, dans quels contextes et par quels processus, pourraient entraîner la création de richesses ? Pour répondre à ces questions, il conviendra, d’abord, de montrer comment certaines inégalités peuvent être source de croissance économique, pour ensuite, établir que la

performances non demandées (calcul de l’accroissement total du PIB en Corée entre 1990-2003) Entre 1990 et 2003, le niveau de vie (= PIB/ hab.) des coréens du Sud a augmenté en moyenne de 4,6% par an (= TCAM), soit une augmentation totale de 87,7%. Cette richesse produite par et disponible pour chaque habitant s’établissait à 17971 dollars en parité de pouvoir d’achat. 3- Calculez l’accroissement du PIB/ habitant en Inde et au Burundi entre 1990 et 2003, ainsi que l’accroissement de leur IDH.[doc.1](3 points)