Réduction de coût

comptabilité analytique. Il convient d'établir une distinction entre les coûts directs et les coûts indirects de même qu'entre les coûts fixes et les coûts variables. L'entreprise doit choisir une méthode de calcul des coûts, calculer le coût moyen unitaire et le coût marginal en tenant compte de la relation entre les coûts et le volume de production A / LES COUTS DIRECTS ET LES COUTS INDIRECTS 1 / Les coûts directs Les coûts directs sont les coûts qui sont imputables de manière

questions I/ Le chômage s'explique-t-il par un coût du travail trop élevé ? Q1 : Qu'est-ce qu'une délocalisation ? Quand une entreprise ferme une unité de production dans un pays pour la transférer sur un autre territoire, on parle de délocalisation. Tout ou partie de la production n'est plus réalisé dans le pays où est domicilié l'entreprise, mais dans un autre pays. Q2 : Combien coûte un travailleur pour l'employeur en France et en Inde ? Le coût du travail ne comporte-t-il que le salaire ?

la moindre consommation d’énergie, ainsi qu’une moindre pollution. C’est depuis les années 1970 que les pays industrialisés ont réellement réaliser l’ampleur de ce problème qui ne peut plus être mis de côté. Selon un rapport commandé par l'ONU, le coût financier de la pollution et des autres dommages causés à la nature par les 3000 plus grandes entreprises du monde s'élevait en 2008 à 1 600 milliards d'euros, soit plus de 50 000 euros par seconde ! Plusieurs solutions peuvent être mis en avant

distinctes de flexibilité : la flexibilité des rémunérations qui réduit le coût du travail et la flexibilité quantitative du travail qui permet l’ajustement à la conjoncture. Les effets positifs sur le volume de l’emploi sont, cependant, en partie obtenus par l’évolution du marché des biens et services. La flexibilité des rémunérations peut concerner les salaires ou les primes. La première est plutôt associée à une réduction du chômage par les embauches supplémentaires qu’elle provoquerait, tandis

pourrait éventuellement être réduite de 1 ou 2 jours, au coût de 10.000 francs par jour de réduction. Similairement, la durée de D pourrait être réduite de 1 ou 2 jours, au coût de 15.000 francs par jour. Quelle stratégie recommandez-vous à l’entrepreneur si celui-ci vise seulement à minimiser ses coûts? Justifiez votre réponse. C2) Considérons le projet de l’exercice O7. Les ingénieurs de l’entreprise ont calculé le coût de réalisation de chaque activité pour les durées normales

Introduction La notion de « target costing ou coût cible ou genka kikaku au Japon» aurait émergé au Japon, chez Toyota, en 1965, et se développa au début des années 70 au Japon. Sa généralisation fut progressive et assez inégale, variant fortement selon les branches. On doit souligner que dans un premier temps les contributions académiques étaient quasiment toutes basées sur des analyses d’expériences de terrain japonaises et relatées par des auteurs japonais, à l’exception notable de COOPER

Graphique I-1: Amélioration des performances des turbines à gaz 23 Graphique I-2 : Coût des cellules photovoltaïques en fonction de la capacité installée cumulée 25 Graphique I-3 : Coût des cellules photovoltaïques en fonction des dépenses de RD&D cumulées 28 Graphique I-4 : Frontière de production et efficacité technologique 38 Graphique I-5 : Sentiers de pénétration des technologies 61 Graphique II-1 : Coût total des techniques en fonction de la part de marché de la technologie T1 76 Graphique

du prix de revient du produit se modifient 2-Les objectifs de la fixation des prix A. Objectif de profit / rentabilité Rentabilité = (prix unitaire X produit vendu) - (coût unitaire X produit vendu) B. Objectif de volume de vente / de pénétration Cette méthode doit entraîner, grâce aux économies d'échelle, des réductions de coûts. Il s'agit donc d’un prix de pénétration. Le prix est plus bas que celui de la concurrence directe et doit être dissuasif face à cette concurrence. Il sera fonction

de permanence des méthodes: les méthodes comptables sont supposées demeurées constantes d'un exercice à l'autre. * Principe du nominalisme ou coût historique: on ne change jamais la valeur d'entrée de l'immobilisation. On ne peut pas changer la valeur d'entrée d'un bien. Les faits économiques saisis par la comptabilité figurent au bilan au coût historique. * Principe de l'importance relative: le comptable doit distinguer ce qui est important de ce qui ne l'est pas, malgré l'impact de

Perthuis est professeur associé à l’Université Paris-Dauphine et Conseiller scientifique de la Mission Climat de la Caisse des Dépôts. Ses recherches portent notamment sur le fonctionnement des marchés du carbone et sur leur lien avec les politiques de réduction et d’adaptation. Christian.deperthuis@caissedesdepots.fr - + 33 1 58 50 22 62 A propos du Pacte mondial de l’Organisation des Nations-Unies Lancé en 2000, le Pacte mondial des Nations-Unies (Global Compact) constitue à la fois une plateforme politique