Réflexe de flexion

2 : bloc moteur presque complet (bouge les pieds)  3 : bloc partiel (bouge pieds et genoux)  4 : faiblesse détectable à la flexion de la hanche  5 : pas de faiblesse de la hanche en position couchée  6 : flexion des genoux debout avec appui  7 : flexion des genoux debout sans appui  ● ● ● ● Stades de Guédel :  Stade 1 : relaxation – réponse à toute stimulation verbale  Stade 2 : excitation  Stade 3 : anesthésie et analgésie complète ­ réflèxes laryngo­pharyngés perturbés  Stade 4 : paralysie respiratoire       

avec lui en mobilisant les os du squelette. Les actes moteurs peuvent être très simples ou hautement intégrés et mettent en jeu une coordination musculaire importante. L’effecteur de la motricité somatique est le muscle squelettique. La contraction réflexe du muscle ou sa contraction en réponse à l’ordre donné par le SNC entraîne le déplacement du squelette. On distingue les contractions toniques des muscles qui assurent le maintien de la posture des contractions phasiques qui entraînent le déplacement

inférieur à celle d’un adulte. Les réflexes : L’être humain vient au monde avec un bagage de réflexes, c-à-d de réactions physiques automatiques en réponse à des stimulations. 2 catégories : Réflexes adaptatifs : présents à la naissance et qui persistent toute la vie. Réflexes primitifs : présents à la naissance, mais qui disparaissent avec l’âge. Réflexes adaptatifs : Nous protègent toute notre vie contre des stimulus potentiellement dangereux. Réflexe pupillaire : contraction involontaire

genou) pour effectuer une poussée maximale vers le haut. Les mains sont sur les hanches pour éviter une participation des bras. Countermovement jump : il s’effectue dans les mêmes conditions mais cette fois, le sujet est autorisé à effectuer une flexion préalable à l’extension (il s’agit donc cette fois d’un test pliométrique) La différence CMJ-SJ rend compte d’une qualité d’élasticité musculaire du sujet. Drop jump : l’athlète se laisse tomber de différentes hauteurs (20 cm, 40cm, 60cm, 80cm) sur

domaine psychomoteur. Six catégories furent reconnues : les mouvements réflexes, les mouvements fondamentaux, les capacités perceptives, les capacités physiques, les habiletés motrices et la communication gestuelle. Cette taxonomie, selon l'auteur, présente une structure hiérarchique, bien que, comme l'indiquent De Landsheere et De Landsheere (1975), le principe en soit plutôt vague. Les catégories 1.00 Les mouvements réflexes Dans cette catégorie se retrouvent les réponses involontaires à des

appelé kiné-respiratoire, consiste à dégager le nez de l’enfant avec du sérum physiologique puis à appuyer avec les deux mains sur la poitrine. Aidé par un bâton en bois placé dans sa bouche l’enfant expectore alors le rhume qu’il n’a pas encore le reflexe d’évacuer seul. Cet exercice est indispensable pour éviter l’infection. Le patient suivant a subi une fracture de l’humérus. Le traitement consiste à masser le bras en touchant les ligaments pour les détendre, à étirer et balancer le bras d’avant

de traction trop importantes sur le muscle quadriceps lors de l’amortissement d’une chute ou d’un saut, tandis que les coups directs entraînent souvent des fractures comminutives. Les traumatismes indirects peuvent aussi survenir avec le genou en flexion, la patelle forçant contre le fémur du fait de la contraction du muscle quadriceps (HARARI et coll., 1990). 1.3.1 Signes Cliniques Les chiens atteints présentent une boiterie postérieure, généralement sans appui, associée à un grasset

la prise en charge d’un patient comateux Il s’agit d’une urgence vitale, mettant en jeu le pronostic vital à court terme : - par la cause du coma (méningite par exemple) - et par ses conséquences (inhalation des vomissements par disparition des réflexes protégeant les voies aériennes par exemple). Le coma est un bon exemple de la pratique de la médecine d’urgence, qui doit prendre en compte, dans un délai très bref, les trois points suivants : - l’évaluation de la gravité (arrêt respiratoire

hypoesthésie dans le même territoire que la douleur, sans valeur de complication. Perte de force musculaire dans le territoire de la racine, pouvant faire indiquer une intervention urgente afin de préserver la récupération du déficit. Abolition du réflexe achilléen dans les atteintes S1. Troubles sphinctériens entrant dans le cadre d’un syndrome de la queue de cheval Examens complémentaires TDM, IRM. Etiologies 1 - Hernies discales Elles sont le plus souvent dégénératives : L’usure du disque

parasympathique favorable à la digestion 6°Sensorielle -augmentation perception des sensations 7°Appareil locomoteur lié au mouvement -diminution tonus musculaire : état de tension permanente des muscles , fonction tonique et clonique : origine réflexe *tonus musculaire en étroite corrélation avec tonus psychique *diminution douleur 8°Fonctions mentales - développement de l'émotion , la pensée ,l' attention -meilleur sommeil -manifestations comportementales : gestes , mimiques 9°Cardiaques