Reflexe Myotatique

Matière d’examen, Biologie 5ème SC Générales juin 2023UAA6 : la communication nerveuseCompétences à développer · Expliquer de manière simple certains de nos comportements (réflexes, activité motrice volontaire). · Expliquer l’influence que des substances ou des habitudes de vie peuvent avoir sur le fonctionnement du système nerveux.Connaitre· Décrire l’organisation générale du système nerveux.· Réaliser le schéma légendé d’une coupe transversale de

permet donc de conseiller l'exécution des exercices de musculation dans le mouvement spécifique à la discipline (D'ou le grand intérêt de la musculation orientée et spécifique). D) Utilisation du réflexe myotatique: Il serait possible d'améliorer la synchronisation entre l'activité volontaire et l'activité réflexe des muscles lors de mouvements de type pliométrique (réduction de la phase d'inhibition constatée chez le débutant - voir schéma). Pour ceux qui venlent aller plus loin : LA MODELISATION

contraction d'un muscle extenseur obtenue en réaction à son étirement, puis l'inhibi­ tion de cette contraction réflexe lors de la traction sur le muscle antagoniste fléchisseur (Dewaele, 1994). Il affecte d'un signe plus (+) et d'un signe moins (-) les deux muscles dont les réactions sont croisées. Mais chez lui, initialement, l'idée d'une régulation de la longueur, que l'on nomme réflexe myotatique, n'est pas présente. Sherrington conçoit l'inhibition mais dans le cadre de deux influences antago­ nistes

macroscopique) Réseaux linéaires : cas des cônes rétiniens → discrimination spatiale - Réseaux convergents : cas des bâtonnets → détection de faibles intensités lumineuses (amplification) - Réseaux divergents : cas des structures mises en jeu dans le réflexe myotatique. Cf. aussi le traitement en parallèle de l’info sensorielle (coordination de la réponse). Réseaux en boucles. NB : quand l’interneurone est inhibiteur, plus la fréquence de décharge de l’origine augmente, plus la transmission est inhibée (rétrocontrôle

muscle. Lorsque l’étirement dépasse la valeur limite ils déclenchent le réflexe de contraction qui empêche d’aller plus loin dans l’étirement. Le centre de la douleur est lui aussi plus ou moins tolérant à l’étirement. Pendant l’entraînement, le muscle travaille en s’allongeant. Au fil des exercices, les fuseaux neuromusculaires s’étirent et deviennent plus tolérants à l’étirement tout comme le centre de la douleur. Le réflexe de contraction et la sensation de douleur viennent donc plus tard dans

ascenseur), il est comparé à un fil à plomb. L’utricule (outre) mesure les accélérations horizontales (ex : voiture), comme un niveau à bulles. La combinaison de ces 2 systèmes rend compte de tout changement d’attitude de la tête et a une action réflexe sur la posture en agissant sur le tonus des muscles extenseurs et plus particulièrement sur ceux du cou. 4) Le pelvis ou bassin Il est le centre de transmission des forces entre le haut et le bas. Il est porteur du haut et porté par les jambes

famille de neurotransmetteurs, comprenant l’adrénaline, la noradrénaline, la sérotonine et d’autres. Ce sont les neurotransmetteurs du système sympathique qui 3 tendent à augmenter l’activité des muscles lisses. Clonus : C’est un schéma réflexe anormal où un réflexe du tendon profond est hyper excitable et se répète de multiples fois. Par exemple, si le pied d’une personne atteinte de lésion médullaire est saisi et ensuite fléchi fermement, le pied subit plusieurs « à-coups », c’est-à-dire extensions

muscle. Lorsque l’étirement dépasse la valeur limite ils déclenchent le réflexe de contraction qui empêche d’aller plus loin dans l’étirement. Le centre de la douleur est lui aussi plus ou moins tolérant à l’étirement. Pendant l’entraînement, le muscle travaille en s’allongeant. Au fil des exercices, les fuseaux neuromusculaires s’étirent et deviennent plus tolérants à l’étirement tout comme le centre de la douleur. Le réflexe de contraction et la sensation de douleur viennent donc plus tard dans

domaine psychomoteur. Six catégories furent reconnues : les mouvements réflexes, les mouvements fondamentaux, les capacités perceptives, les capacités physiques, les habiletés motrices et la communication gestuelle. Cette taxonomie, selon l'auteur, présente une structure hiérarchique, bien que, comme l'indiquent De Landsheere et De Landsheere (1975), le principe en soit plutôt vague. Les catégories 1.00 Les mouvements réflexes Dans cette catégorie se retrouvent les réponses involontaires à des

situe entre les 2 cornes est une zone intégratrice qui assure le traitement du signal entre ce qui est sensitif et moteur. - Le réflexe myotatique déclenche un influx sensitif qui part d'un nerf, passe dans la moelle spinale via la racine puis la corne dorsale pour aller dans la zone intégratrice. Ceci déclenche la contraction active du quadriceps. C'est le mouvement réflexe déclenché notamment grâce aux zones intégratrices. - Au niveau thoracique uniquement, on a en plus une corne intermédiaire.