Reflexion Sur Le Secret Medical

humain, lequel apparaît hybride, exigeant une approche sui generis et se situant dans une position médiane entre les catégories d’objet et de sujet de droit. Un positionnement – certes nécessaire – sur le statut juridique du corps humain engage une réflexion bioéthique contemporaine sur deux aspects. Dans un premier temps, la détermination des pôles de l’existence juridique peut poser problème en raison du « décalage » des temps juridique et biologique : on plaide en vain pour anticiper l’avènement de

risques/ de crises, règles intérieures de protection de l’info (sécurité de l’info) La théorie de l’information - sources et données - elle circule - elle peut ê transformée facilement, dupliquée, transmissible - elle peut être exclusive, secrète -> peut donc être monnayable (délit d’initié) L’info c’est une donnée sur un fait générateur sous-jacent. C’est un flux - idée d’un message Elle est immatérielle et peut être évanescente. ≠renseignement= info obtenue au détriment de celui

le personnel soignant, en particulier les infirmières, et les familles de patients ? C’est cette question qui fut le point de départ de ce travail. Afin d’assurer un plus grand intérêt au sujet, le choix a été fait de limiter le périmètre de la réflexion aux cas de maladies chroniques graves, notamment lorsque le pronostic vital est engagé. En effet, on peut considérer que c’est dans ce cadre que la relation soignant/famille devient la plus importante, tant dans sa fréquence que dans sa profondeur

panel est très large : Les usagers peuvent y effectuer des activités physiques, sanitaires et sportives, artisitiques, intellectuelles et culturelles, créatives, festives et ludiques, ou bien encore d'approche pratique du quotidienn, et de sujet de réflexion et d'échange sur des thèmes personnels, intimes ou sociétaux. Dans le projet y est exclu toute «  idée contraignate de travail » pour les usagers ( même sinquelques petits atelier ponctuels et éphémères d'aide et de soutien à l'ESAT de la même

Promotion : 2007 - 2008 Date du Jury : Décembre 2008 L’entrée dans la démarche GPEC par les fiches emploi : un levier de dynamique institutionnelle La construction du répertoire des emplois à la clinique médicale et pédagogique Jean Sarrailh Magali MIOSSEC R e m e r c i e m e n t s Je tiens tout d’abord à remercier le directeur de la clinique Jean Sarrailh, René Douarin, pour avoir bien voulu m’accueillir

l’affection maternelle et la sécurité d’une appartenance familiale dont il à droit à avoir. Pourtant il y a des couples qui ont des enfants mais désirent à un moment de leur vie d’élargir le cadre familiale mais sont incapable à cause des difficultés médicale qui surviennent soudainement sans aucun alerte. Alors l’adoption, serait un moyen pour réunir au sein de la famille plusieurs membres. L’enfant réel du couple va se sentir heureux d’être élevé avec d’autres. Mais on ne peut pas nier la jalousie

1991. A cette époque, la requérante Madame Thi-Nho Vose, enceinte depuis 6 mois, s’est présentée à l’hôpital pour un examen de suivi. Le même jour, dans le même établissement, Madame Thi Thanh Van Vo une autre femme, devait subir une intervention médicale pour l’extraction de son stérilet. L’homonymie des noms a entrainé une confusion entre les deux patientes qui s’est avérée fatale, pour le fœtus de la requérante. Suite à ce drame, Madame Thi-Nho Vose a déposé une plainte à l’encontre le Docteur

Conformité ------------------------------------------------- Le secret bancaire I-Obligation des banques A - Informations concernées La banque détient des informations confidentielles qui ne peuvent être communiqué a des tiers. Le secret ne concerne que ces informations confidentielles qui portent sur des faits connus par la banque en raison de sa relation avec la clientèle. Pour être confidentielle les informations doit être précise ou chiffrés : * Opération effectuées * Flux enregistrée

sous-groupes : - Aspect médical et symptômes, - Vie quotidienne, - Prise en charge / accompagnement / structure, - Environnement / entourage / aidants. Cette catégorisation aurait pu être faite par l’équipe co-animatrice lors de la préparation des ateliers. Il nous a cependant semblé intéressant d’impliquer les aides à domicile participant aux ateliers, afin de les responsabiliser et de leur faire prendre conscience de leurs compétences à mener une réflexion sur un sujet spécifique

d'infirmière scolaire. Ils utilisent donc souvent le Recueil d’Informations Préoccupantes pour faire remonter les difficultés qu'ils rencontrent avec certains enfants. La communication est difficile entre l'école et les services sociaux. La question du secret partagé est problématique. Les professionnels de l'éducation nationale voudraient être informés de certaines situations familiales. Ils voudraient avoir plus de détails sur la suite des RIP qu'ils effectuent et sur les mesures mises en place. De plus